centre-hospitalier-d-Annecy

La spirale mortifère continue dans le secteur de la médecine. Désormais, certains hôpitaux vont être habilités à transplanter des organes prélevés sur des décédés, après l’arrêt du maintien en vie, autrement dit euthanasiés.
C’est FranceInfo qui a révélé la nouvelle. Le Centre hospitalier d’Annecy Genevois fait partie des premiers à pratiquer l’intervention. Une intervention rendue possible grâce à une convention spéciale signée entre l’Agence de la biomédecine et ledit hôpital.

Comment les choses se passent-elles concrètement ? Des patients, plongés dans un coma profond voire irréversible, voient leurs soins de maintien en vie diminués ou complètement stoppés. C’est ce que l’on appelle une euthanasie passive. Le décès, consécutif à cette diminution ou cet arrêt, permet à un autre service d’intervenir pour prélever les organes.

Il paraît qu’un protocole très strict a été mis en place pour éviter les dérives. Et une étanchéité complète entre les services est exigée pour éviter que la forte demande en greffons d’un service n’influence un autre où se trouvent des personnes maintenues en vie…

Le centre hospitalier d’Annecy a été le premier à signer ce genre de convention. Mais manifestement d’autres devraient lui emboiter le pas.

Roxane Dulac

Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !

MPI vous informe gratuitement

Recevez la liste des nouveaux articles

Je veux recevoir la lettre d'information :

Nous n’envoyons pas de messages indésirables ! Lisez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

36 Commentaires
Les plus anciens
Les plus récents Les mieux notés
Inline Feedbacks
Voir tous les commentaires

Abonnez-vous à CARITAS !

Ça y est, le numéro 1 de la tout nouvelle revue Caritas est chez l’imprimeur et en prévente sur MCP.

Nous vous l’avions annoncé dans un précédent mailing : la naissance d’une toute nouvelle revue de qualité, Caritas, la revue du pays réel, et la parution prochaine de son premier numéro de 86 pages. Bonne nouvelle, : ce numéro 1 de Caritas qui consacre son dossier à la Lutte contre la haine anticatholique vient d’être envoyé à l’imprimerie et sera bientôt dans les librairies et les boites aux lettres des abonnés.

Militez,

En achetant le n°1 de CARITAS : Lutter contre la haine anticatholique

En s’abonnant à cette nouvelle revue : la revue CARITAS !