La gauche chante toujours le même refrain utopique pour une Europe des droits de l’autre, universaliste, altruiste et ouverte à tous. Tout le monde dedans nous serine indéfiniment ces chantres du “vivre-ensemble”.  Les peuples peuvent crier  “protégez-nous”, ils ne veulent pas l’entendre, ces moralisateurs qui crient au scandale dès qu’on veut fermer les portes du Vieux continent qui n’en peut plus de ce trop-plein.

Angela Merkel vient de prendre une raclée électorale dimanche dernier. Son pays voit l’émergence de la force de droite nationaliste Afd, parti fermement opposé à l’immigration-invasion-colonisation. Les Allemands lui lancent le signal clair : Stop à l’immigration.

Et elle répond, à travers son porte-parole, Steffen Seibert  : “Le gouvernement continuera à soutenir pleinement sa politique en faveur des migrants, que ce soit au niveau intérieur qu’International.”  Aucun changement donc prévu dans sa politique migratoire : elle l’affirme haut et fort, persuadée que les Allemands ont voté Afd plus pour “protester” que par convictions, par “scepticisme envers les institutions” et peur des “autres religions”.  Sa trahison à la tête de l’État allemand, au nom du totalitarisme immigrationiste et mondialiste, fondement d’un monde pacifiste, uni, juste et nomade, l’aveugle au point de croire encore que les Allemands sont réformables, intégrables dans une Europe mosaïque et communautariste. Et que les lendemains heureux que chantent le marxisme sont au bout du chemin ! Mais dame Merkel n’a -t-elle pas été formée, formatée, de l’autre côté du mur de Berlin ? Ses passions de jeunesse imprègnent sa pensée et sa politique…

L’ancienne porte-parole pour le Haut-Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés, actuelle Présidente de la Chambre des Députés italienne, membre du parti italien, Gauche Ecologie Liberté, vogue sur le même refrain des illusions universalistes de la chancelière allemande. Union italo-germanique au secours de toute la misère du monde ! Même rengaine utopiste sous couvert d’altruisme patriotique et économique. La paladine du féminisme italien, Laura Boldrini, pas si choquée que ça par les agressions de Cologne, a invité, sur son compte Twitter, tous les migrants à entrer en Italie : “L’Italie est un pays à croissance zéro. Pour avoir 66 millions d’habitants en 2055 nous devrons accueillir un important nombre de migrants chaque année.” Soit entre 300 et 400 mille immigrés par an, a-t-elle précisé ensuite !

Et si les pays européens favorisaient la natalité de leurs concitoyens ? Voilà la vraie solution patriotique et nationale, respectueuse de l’identité des peuples et soucieuse de l’avenir économique des pays européens.

Mais voilà une solution archaïque, obsolète, voire insultante, pour ces furies du féminisme et de la libération du sexe faible qu’elles croient devenu fort, car elle ramène aux heures les plus sombres de l’histoire féminine si ce n’est du fascisme patriarcal, à la maternité soutenue et encensée, à la femme à la maison avec ses enfants… Plutôt trahir son pays et son peuple, favoriser l’invasion, substituer les autochtones par des immigrés, plutôt que de revenir à une politique nataliste.

C’est le Grand Remplacement institutionnalisé, la substitution de population plébiscitée par ces femmes politiques enragées par une volonté idéologique de détruire leur propre peuple.

Francesca de Villasmundo

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