Le 19 décembre 2016 ont été perpétrés plusieurs attentats: à Ankara, le meurtre de l’ambassadeur russe Andreï Karlov ; à Moscou, l’assassinat dans son appartement d’un haut conseiller de Serguei Lavrov, ministre des Affaires étrangères de Russie ; en plein centre de Berlin, l’attaque contre le marché de Noël de la place Breitscheid (Breitscheidplatz); à Zurich, une fusillade dans la mosquée de la Militärstrasse, faisant un mort et trois blessés ; à Fürth (Bavière), une explosion près d’un centre culturel turc[1]. Que des hasards ?

A Berlin, le chauffeur du semi-remorque a été enlevé et abattu à 15h00. A 20h00, l’attentat sur le marché de Noël de la place Breitscheid faisait douze morts. Que s’est-il réellement passé à Berlin? Un jeune journaliste allemand, Martin Lejeune, nous aide à y voir plus clair[2].

De multiples questions restent pendantes. Où sont les vidéos des caméras qui jalonnent le parcours du camion dans Berlin? Où se trouve le fast-food turc où a été prise la photo ci-dessous, où se serait restauré le chauffeur? Pourquoi aucuns juifs ne se trouvaient sur le marché de Noël ce soir-là? Par quel hasard Shlomo Shpiro, un expert en terrorisme des services secrets israéliens, venait de quitter la Breitscheidplatz, et a été témoin de l’attentat alors qu’il se trouvait déjà dans le bus[3]? Le 20 décembre, lors d’une interview sur la chaîne ARD[4], ce politologue de l’université de Tel Aviv déclarait : «L’attentat de Berlin est le 11 Septembre de l’Allemagne. A partir de maintenant, la terreur fait partie du quotidien», et s’étonnait du manque de mesures de sécurité. «L’Allemagne a manifestement sous-estimé jusqu’à présent la menace terroriste», dixit le professeur Shpiro.

Le chauffeur du semi-remorque polonais Lukas Urban a été en contact pour la dernière fois avec la compagnie de transports polonaise (USŁUgi Transportowe) Ariel Zurawski à 15h00. Lukas Urban est le cousin du propriétaire de la société de transports, Lukasz Wasik. La date de livraison chez le client régulier, ThyssenKrupp Industrieservice GmbH situé Friedrich-Krause-Ufer 16, 13353 Berlin, a été repoussée du lundi matin au mardi 15h00. ThyssenKrupp[5] a informé le transporteur que la date du déchargement n’était plus possible le lundi [19.12]. Qui a déplacé le créneau horaire chez  ThyssenKrupp? Frank Nagel, responsable du site berlinois de ThyssenKrupp, a refusé de s’exprimer sur ce sujet.

La livraison se composait d’éléments en acier venant d’Italie. Après un long voyage, Lucas Urban fit une pause, voulait s’alimenter et prendre une douche. A 16h52, selon les données du GPS, le moteur a démarré alors qu’il se trouvait à l’adresse du site de ThyssenKrupp, 16, Friedrich-Krause-Ufer, et y resta jusqu’à 17h30 environ. A ce moment-là, le transporteur tenta de joindre le chauffeur à plusieurs reprises, mais le téléphone ne répondait pas. Dès lors, Lukasz Wasik supposa que son chauffeur était mort.

A 19h55, un nouveau signal du GPS a été détecté dans la rue de Budapest (Budapester Strasse), où le camion se dirigeait vers la Breitscheidplatz et se trouvait là, moteur en marche, encore longtemps après l’attaque. Puis le GPS a perdu la connexion avec le poids lourd. Celui-ci a dû être remorqué entre le 16 de la Friedrich-Krause-Ufer et la Breitscheidplatz, étant donné qu’il y eut un signal GPS, attestant que le camion se déplaçait, mais, comme démontré, avec le moteur arrêté.

Pourquoi le semi-remorque a-t-il été remorqué du 16 de la Friedrich-Krause-Ufer, 13353 Berlin, jusqu’à la rue de Budapest, 10787 Berlin? Parce que le moteur était coupé, pourquoi le propriétaire de la société de transports Lukasz Wasik n’a pas contacté les autorités ? Parce qu’il n’a pas reçu de signal GPS et ne voyait pas que le camion se dirigeait vers le marché de Noël. Car le moteur était coupé ! Sinon, il serait tout de suite entré en contact avec la police de Berlin.

Le chauffeur Lucas Urban n’était plus joignable depuis 15h00 et était mort. Tout d’abord, il a été annoncé que le chauffeur était mort de ses blessures sur le lieu de l’attentat. Puis qu’il a été abattu avec une arme de petit calibre.

Shlomo Shpiro, un expert des services secrets israéliens, a été témoin de l’attentat.

Le suspect, un Pakistanais du nom de Navid B. (né le 1.01.1993) a emprunté la route des Balkans avant de passer en Allemagne par Passau le 31 décembre 2016 et était hébergé à Berlin dans un centre pour réfugiés.

Il s’avère depuis que Navid B. n’est pas l’auteur de l’attentat. La police aurait retrouvé ce 21 décembre, comme par miracle, les papiers d’identité du véritable assassin sous le siège du conducteur, deux jours après l’attentat! Il s’agirait d’un Tunisien de 21 ans, Ahmed A[6]. Cela ne vous rappelle-t-il pas les attentats du 11 Septembre, de Charlie, etc. ?

Une fois de plus, cette histoire est pleine d’absurdités et l’on nous prend pour des débiles mentaux…

Sources

https://www.facebook.com/photo.php?fbid=939596376141625&set=a.372526862848582.1073741824.100002738150270&type=3&theater

https://twitter.com/Martin_Lejeune

https://www.instagram.com/Martin.Lejeune/

[1] http://www.islamiq.de/2016/12/19/explosion-nahe-eines-tuerkischen-kulturvereins/

[2] http://n8waechter.info/2016/12/terroranschlag-mit-lkw-zu-weihnachten-in-berlin-es-war-geplant/

[3] http://www.deutschlandfunk.de/anschlag-in-berlin-kaum-polizisten-kaum-sicherheitsleute.2774.de.html?dram:article_id=374434

[4] Son interview sur la chaîne télévisée ARD : http://www.daserste.de/unterhaltung/talk/maischberger/sendung/maischberger-extra-terror-schock-von-berlin100.html

[5] Notons que ThyssenKrupp (TK) collabore étroitement avec les services secrets israéliens. Le 22 novembre 2016, a été mise au jour une affaire de corruption entre TK et Israël concernant trois sous-marins (offerts en grande partie à Israël par l’Allemagne) devant être équipés d’armements nucléaires. Ce que les médias ont occulté. Le but de ces attentats commis en Europe avec l’aide des services secrets serait de justifier des guerres contre les Etats islamiques et de continuer à tuer. Par de telles attaques ciblées, l’Europe serait impliquée dans ce plan de guerre systématique et ainsi contrainte à croire qu’il s’agit d’une guerre pour lutter contre le terrorisme, là où l’enjeu réel est la constitution du Grand Israël. Autrement dit : déclencher une guerre entre Européens et musulmans, ce qui affaiblirait les deux camps et permettrait au sionisme de s’imposer comme le maître du jeu.

[6] http://www.journalalternativemedien.info/gesellschaft/jetzt-wirds-laecherlich-papiere-des-terrorfahrers-gefunden-kein-scherz/
http://www.allgemeine-zeitung.de/vermischtes/vermischtes/nach-berlin-anschlag-polizei-fahndet-bundesweit-nach-einem-tunesier-duldungspapiere-gefunden_17556469.htm

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