« L’État islamique commet des attentats pour favoriser Marine Le Pen. »

Ce commentaire délirant, un parmi beaucoup d’autres du même calibre émotionnel, contre la candidate aux présidentielles est sorti de la bouche enfarinée du pseudo-philosophe français Marek Halter !

« La présidente du Front National, continue-t-il, est idéalement leur cheval de Troie pour infiltrer dans la société la haine, l’intolérance, le racisme, pour faire émerger l’extrême-droite et les extrémistes en général et ainsi faire toujours plus de prosélytes. »

Les socialos-gauchistes, confrontés à leur incapacité à faire régner l’ordre et la sécurité en France, après le dernier attentat islamiste advenu sur les Champs-Élysées hier soir, s’en prennent donc impudemment à Marine Le Pen, bouc émissaire de leurs peurs et de leur incompétence.

Selon de nombreux commentateurs progressistes, la présidente du Front National jubilerait de ces attaques islamistes. Il y en a qui sont mêmes convaincus que Daesh veuille favoriser l’arrivée de Le Pen au pouvoir. Le premier ministre Cazeneuve, plutôt que de faire son mea culpa pour avoir laissé se propager le djihadisme en France et avoir laissé grandes ouvertes les frontières à des immigrés mahométans infiltrés par des militants islamistes, est un des premiers à invectiver la candidate Front National qu’il accuse d’« exploiter sans vergogne la peur et l’émotion à des fins exclusivement politiciennes ».

De tels commentaires abscons témoignent de l’état de déliquescence de la classe politique au pouvoir, totalement aveuglée par l’idéologie immigrationniste au point d’être incapable de reconnaître l’ennemi là où il se trouve et de le désigner.

« Penser que l’État islamiste choisisse Marine est une aberration qui nécessite un internement et un traitement sanitaire obligatoire » a fustigé, en Italie, l’homme politique Matteo Salvini, leader de la Ligue du Nord. Si des millions de Français ont décidé de la choisir, c’est pour les problèmes de travail, pour les problèmes sociaux, pour les problèmes causés par cette Europe. »

Il est certain que l’urgence migratoire et l’alerte terroriste en France sont des points importants de l’agenda politique français et du programme de Marine. Et les nombreuses attaques islamistes sur le territoire français lui donnent amplement raison. C’est à un arrêt de l’invasion qu’il faut œuvrer !

A Marseille, mercredi dernier, un jour avant ce nouvel acte terroriste, elle a d’ailleurs répété sa proposition d’imposer un « moratoire » sur l’immigration légale dès son arrivée au pouvoir, « pour arrêter ce délire, cette situation incontrôlée, qui nous entraîne vers le fond ».  Ce moratoire, a continué la candidate, doit permettre de « faire le point de la situation, avant de mettre en place de nouvelles règles et une nouvelle régulation, beaucoup plus drastique, plus raisonnable, plus humaine, plus gérable ». Et de conclure en spécifiant :« Moi présidente, le rétablissement des frontières sera mis en place dès le lendemain de ma prise de fonctions ».

Marine Le Pen, revenant aux fondamentaux du Front National en matière d’immigration et de sécurité a précisé :

« pour beaucoup de Français, l’immigration massive est une oppression ». « Elle n’est pas une chance pour la France, c’est un drame pour la France. Elle n’est une chance que pour mes concurrents, comme MM. Mélenchon, Hamon ou Macron ».

Francesca de Villasmundo

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