Novlangue, propagande bien-pensante, terreur des mots et de la réalité, détournement du message évangélique à des fins coraniques : l’Église du pape François, sous couvert d’humanitarisme inter-religieux, est devenue la meilleure alliée de l’islam conquérant en terres chrétiennes. A l’islam il faut tout pardonner, tel est l’arrêt pontifical et épiscopal qui sort des caves du Vatican ! Parce que ses adeptes terroristes qui se font exploser dans la foule ou écrasent des passants ne sont pas de cette religion mahométane de paix, nous disent et redisent ces ecclésiastiques en dhimmitude.

Cet altruisme conciliaire funeste et mortel pour l’Europe et la foi chrétienne sert avantageusement la religion mahométane, ce faux ami, qui use et abuse du mensonge islamique, la taqqiya, qui autorise la tromperie et la dissimulation envers les « mécréants ». Tromperie que les élites religieuses, laïques et politiques occidentales ne veulent pas voir ni concevoir tout à leurs illusions qu’il est possible d’édifier sur les fondements que sont le mélange des religions et le brassage des populations un nouveau monde fraternel, “le meilleur des mondes” possible.

La dernière toquade pour l’islam nous vient d’Angleterre pour se jeter dans le Tibre : afin de disculper la religion du Coran dans l’attentat de Londres de la semaine dernière, à Westminster Bridge, le pape François va recevoir mercredi 5 avril quatre imams « anglais » en audience privée. Le cardinal Vincent Nichols en a fait l’annonce hier à l’Agence SIR.

Son discours bobo vaut la peine d’être traduit :

« La semaine prochaine j’emmènerai quatre religieux musulmans d’Angleterre chez le pape François afin de dire que les chefs religieux veulent et sont engagés dans la construction de rapports. »

Concernant l’attaque terroriste à Westminster, le message du cardinal pourrait figurer dans une anthologie de Novlangue :

« c’est clair, affirme-t-il, que ce qui est arrivé n’a rien à voir avec les frontières. L’assaillant [c’est devenu le gentil mot à la mode pour désigner obscurément un terroriste, ndlr] était un homme né en Angleterre, qui a grandi en Angleterre. Il a vécu il est vrai en Arabie et il est devenu musulman. Mais il faut dire que c’était un homme avec une longue histoire de violence. Il a été 5 ou 6 fois en prison et qui l’a connu parle d’un homme très en colère. Cet incident [quel gentil euphémisme pour attaque terroriste !, ndlr] doit donc être vu dans sa réalité. »

Pour le futur ajoute le cardinal anglais

« il y a une chose très importante à apprendre, c’est de ne pas permettre aux communautés de s’isoler [voilà des mots qui contredisent ce qu’il a dit auparavant, on croyait que c’était juste un individu isolé et détraqué qui avait fait le coup!, ndlr]. Je pense, continue Nichols, que les personnes de foi ont beaucoup à offrir. Le dialogue entre personnes qui croient en Dieu crée un espace commun. Et de ce point de vue c’est un devoir pour les leaders religieux de se parler, de se rencontrer, d’explorer ensemble des solutions communes, d’affronter la question du credo religieux qui conduit à l’extrémisme et à la violence. Attention cependant à ne pas reléguer la foi dans une sphère privée parce que cela contribue encore plus à l’isolement de la communauté et ne contribue pas à l’édification d’une société inclusive. »

Joli morceau du parfait petit propagandiste œcuméniste, vantant les joies du « vivre-ensemble » syncrétiste et prescrivant du pasdamalgame à haute dose ! Pas une seule fois le cardinal ne prononce un mot en rapport avec l’islam, n’évoque l’islamisme du terroriste, son look islamiste, sa foi musulmane, son parcours musulman, la ville d’où il vient…

Pour information, Khalid Masood, le terroriste mahométan qui a commis le massacre de Westminster, venait de Birmingham, la voiture venait de Birmingham, les complices sont de Birmingham.  25 % de la population de Birmingham est musulmane, dans certains quartiers et écoles s’applique la charia, en 2002 elle a eu le premier maire musulman de Grande-Bretagne, Mahmood Hussain.

Or «Birmingham, comme le rappelle Jean-Yves Le Gallou, éminent spécialiste de la réinformation dans son émission de décryptage des médias, c’est l’endroit où Enoch Powell avait prononcé son célèbre discours mettant en cause sur les dangers de l’immigration en Grande-Bretagne, en 1968. C’est le discours qu’on a appelé, parce qu’il citait Tite-Live, “le discours des rivières de sang.” C’est un discours prophétique. C’est le premier homme politique, homme d’État européen qui pose la question de l’immigration. La carrière d’Enoch Powell sera brisée après cela. »

Enoch Powell finira diaboliser pour avoir dit la vérité sur l’immigration et prophétisé “les rivières de sang.” A Birmingham. L’histoire rattrape le présent. Mais les aveugles veulent rester aveugles… Et l’islam conquérant a trouvé en l’Église conciliaire et ses hiérarques des alliés contre-nature complaisants pour se refaire une virginité religieuse au sein du Vatican !

Francesca de Villasmundo

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