Les effets destructeurs du “bac pour tous” sont le prolongement logique de la suppression des notes, contre le mérite à l’école. C’est donc une assurance et une bénédiction de la paresse “pour tous”. Belkacine bouscule les principes de justice à l’école, comme Taubira avec l’amour des délinquants et la conduite sans permis. C’est pourquoi les mauvais deviennent les bons. C’est pourquoi les derniers seront les premiers.

C’est pourquoi les cancres, les ignorants et les paresseux de la république socialiste pourront toujours avoir l’avantage de la médiocratie de l’État-PS sur ceux qui travaillent et ceux qui méritent. Comme c’est le cas de la Légion d’Honneur “pour tous” les médiocres et tous les copains de la république socialiste.

Ceux qui font des efforts pour réussir à l’école, et dans la vie professionnelle, sont à l’image des ouvriers de la vigne de l’Évangile. C’est pourquoi Belkacine refuse de “séparer le bon grain et l’ivraie”, le mérite de la médiocrité et l’effort méritant de la paresse crasse. On peut alors citer l’Évangile de Matthieu.

Le Chapitre 20 met en scène la parabole des ouvriers de la onzième heure :

Le Royaume des cieux est comparable à un maître de maison qui, de grand matin, embauche des ouvriers pour sa vigne… Plus tard, il en voit d’autres qui sont sans travail, et il leur propose des contrats aidés. Il leur dit : Vous aussi, allez à ma vigne, et je vous donnerai ce qui est juste. Plus tard encore, il fait de même. Vers le soir, à la onzième heure, il en trouve d’autres qui sont sans travail : Pourquoi êtes-vous restés là tout le jour, sans travail ?

C’est que, disent-ils, personne ne nous a embauchés. Il leur dit : Allez, vous aussi, à ma vigne.

Le soir venu, le maître de la vigne dit à son intendant : Appelle les ouvriers, et remets à chacun son salaire, en commençant par les derniers pour finir par les premiers. Ceux de la onzième heure s’approchent et reçoivent chacun une pièce d’argent. Les premiers reçoivent, eux aussi, chacun une pièce d’argent.

Ils murmurent contre le maître de maison : Ces derniers venus n’ont travaillé qu’une heure, et tu les traites comme nous, qui avons supporté le poids du jour et la chaleur. Mais il réplique : Je ne vous fais pas de tort. N’est-il pas convenu avec moi d’une pièce d’argent ? Prends ce qui est à toi et va-t’en.

Je veux donner aux derniers autant qu’à vous. Ne m’est-il pas permis de faire ce que je veux ?

Ou alors ton oeil est-il mauvais parce que je suis bon ?

“Ainsi les derniers seront premiers et les premiers seront derniers”.

Le propriétaire du vignoble donne l’instruction à son administrateur de “faire passer la bonté avant la justice”. C’est une image de “l’amour inconditionnel de l’Évangile”, en opposition à la rigueur de la Loi.

Il faut se rappeler que Jésus a pu être qualifié, par certains, de nouveau Moïse, comme la nouvelle Alliance a été vécue, par certains, en opposition à l’ancienne Alliance et à la Loi de Moïse…

Le Chapitre 13 de l’Évangile de Matthieu rapporte la parabole du “bon grain et de l’ivraie”. Il en va du Royaume des cieux comme d’un homme qui a semé du bon grain dans son champ.

Pendant que ses gens dormaient, “son ennemi est venu, il a semé de l’ivraie” en plein milieu du blé et il est parti. Quand l’herbe eut poussé et produit l’épi, alors apparut aussi l’ivraie.

Les serviteurs du maître vinrent lui dire :

Seigneur, n’est-ce pas du bon grain que tu as semé dans ton champ ? D’où vient qu’il y a de l’ivraie ?

Il dit : “C’est un ennemi qui a fait cela”.

Les serviteurs lui disent : Veux-tu que nous allions l’arracher ?

Non, dit-il, de peur qu’en arrachant l’ivraie, vous n’arrachiez aussi le blé avec elle.

Laissez l’un et l’autre ensemble jusqu’à la moisson.

Et à la moisson, je dirai aux moissonneurs :

Enlevez d’abord l’ivraie et jetez-la au feu pour la brûler.

Quant au blé, ramassez-le dans mon grenier.

Les commentateurs ont bien noté que c’est “l’ennemi” qui est venu semer son ivraie.

On traduit l’ivraie “Zizania” en grec.

En français, c’est ce qui a donné le mot “zizanie”, une spécialité de la politique de Hollande !

C’est pourquoi ils précisent qu’il s’agit de la mauvaise herbe.

Ce sont les sauvageons du ministre Jean-Pierre Chevènement qui décrivait, en son temps, les jeunes voyous, les éternels impunis de la politique bienveillante de la ministre de l’injustice…

L’idéologie de l’amour inconditionnel de l’Évangile anarcho-nihiliste pour les délinquants et la politique pénale de l’impunité des sauvageons, c’est l’absolu de la tyrannie de la bienveillance socialo-populiste.

L’Évangile anarcho-nihiliste milite contre le respect de la loi et pour la priorité du non-droit !

Selon l’Évangile de la diversité scolaire et de la mixité sociale de Belkacine :

Laissez les l’un et l’autre ensemble jusqu’à la bénédiction du “bac pour tous”.

Ensuite, Hollande, le bon Dieu de l’assistance socialo-populiste “pour tous” reconnaîtra les siens parmi les indignés et les profiteurs de la république socialiste, les copains et les coquins. 

Le monde de l’Évangile de Hollande-Belkacine propose le salut “pour tous” ceux qui croient dans les effets bienfaisants de l’égalitarisme, de la médiocratie socialiste et de l’assistance “pour tous”.

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