Vidéo du 16 janvier 2016 réalisée par une chaîne d’information russe, sous-titrée en allemand

Autre vidéo parue sur youtube sur le même thème qui fait le tour de l’Allemagne. Le criminel arabe se vante d’avoir violé une mineure encore vierge avec cinq autres acolytes. « Wir haben das Mädchen kaputt gemacht, aber sie lebt noch ! » (Nous l’avons démolie, mais elle est encore vivante !). Bien sûr, cette situation ne peut pas durer et, de plus en plus, on assiste en Allemagne à la (re)naissance d’une résistance de la société civile. En l’occurrence, de jeunes Allemands constituent des gardes civiles, c’est-à-dire des patrouilles dans les villes pour protéger « leurs » femmes. Côté police, il se passe aussi beaucoup de choses, mais c’est là un autre sujet.

Après le viol de la jeune germano-russe, Lisa âgée de 13 ans, la communauté russe de Berlin lance un avertissement : elle répondra désormais à la violence par la violence.

Le 11 janvier 2016 à Berlin, une fillette âgée de 13 ans appartenant à une famille de « rapatriés tardifs » d’Union soviétique (il y a trois millions de Germano-Russes qui ont rejoint leur patrie à la chute de l’URSS) a été enlevée, violée et battue par plusieurs hommes. Selon la description qui en est faite, les coupables sont originaires de pays arabes. D’après les proches de la famille, la police essaie de minimiser les faits et refuse d’ouvrir une enquête car seraient impliqués dans ce viol trois demandeurs d’asile. La télévision d’Etat a, elle aussi, totalement occulté le cas de Lisa.

Transcription en français de la vidéo russe sous-titrée en allemand
– En Allemagne se multiplient les cas de viols de mineurs par des émigrés. Et les citoyens dénoncent l’impunité et la tolérance sans limites dont jouissent les coupables/criminels.
– Sur les nouvelles mesures introduites en Allemagne, un reportage de Ivan Glogov.
– C’était le matin du 11 janvier. Lisa allait à l’école comme d’habitude. Elle prit le bus de 6h42 et descendit à la gare RER de Mahlsdorf.
– Or, elle n’est jamais entrée dans la gare du RER et a été portée disparue. Elle ne fut retrouvée que vingt-quatre heures plus tard.
– C’est Marina, la tante de Lisa, qui nous a raconté ce qui est arrivé à sa nièce, car les parents et l’adolescente sont en complet état de choc.
– Selon les dires de Lisa, un migrant d’apparence arabe qui parlait à peine l’allemand a abusé de la crédulité de l’enfant.
– Il s’est approché d’elle et lui a proposé de la conduire en voiture jusqu’à l’école. Lorsqu’elle est montée dans l’auto, elle a vu qu’il y avait d’autres hommes à bord.
– La famille craint que la publicité des faits par la presse ne conduise le service de protection de l’enfance et de la jeunesse à lui retirer l’enfant.
– Dans un premier temps, Marina ne voulait pas que l’on montre son visage, puis elle a changé d’avis. Vouloir cacher ces faits pourrait mettre en danger un autre enfant.
– L’enfant a raconté que, dans la pièce, il n’y avait qu’un lit et un matelas posé à même le sol.
– Ils l’ont jetée sur le lit et ont commencé à la violer.
– Qui étaient ces hommes et combien étaient-ils ? (question de Ivan Glogov)
– Réponse de Marina : Ils étaient trois et étaient apparemment étrangers.
– Selon la tante, ils l’ont jetée dans la rue quelque trente heures plus tard, l’enfant a été rouée de coups et violée.
– Dans le quartier berlinois de Marzahn, s’est aujourd’hui déroulée une manifestation spontanée. Les représentants de la diaspora russe se sont réunis devant la gare du RER. Beaucoup d’entre eux connaissent Lisa personnellement.
– J’ai vu cette enfant presque tous les jours depuis son plus jeune âge. Hier nous étions tous choqués.
– Ici, ils peuvent violer facilement les mineures. Et bien que j’ai deux fils, cela m’a beaucoup touché. Si c’est comme ça, nous répondrons à la violence par la violence. Il ne pourra en être autrement.
– Les femmes sont angoissées et disent que, désormais, elles accompagneront leurs enfants à l’école et iront les rechercher. Personne n’aurait pensé que dans un pays riche comme l’Allemagne de tels crimes pouvaient être commis.
– Je n’en ai pas dormi pendant trois nuits. J’ai une fille de 14 ans, et, pour se rendre à l’école, elle doit passer devant ce centre d’accueil de migrants.
– Selon les membres de la famille de Lisa, la police refuse tout simplement de rechercher les coupables.
– La mineure a été entendue par la police durant trois heures sans la présence des parents ni de celle du représentant des services sociaux. Par la suite, les policiers n’ont pas voulu reconnaître les faits comme relevant d’un crime.
– L’oncle de Lisa : « La police les couvre. Hier, ils ont fait pression sur l’enfant et l’ont obligée à dire qu’elle était consentante. Il semblerait qu’elle ait voulu séduire ces pauvres hommes !

Commentaire
Hormis la vague d’agressions sexuelles et de viols coordonnée et programmée de la Saint-Sylvestre, depuis des années, les crimes et délits commis en Allemagne par des immigrés et plus récemment par des « réfugiés » sont occultés par les services de police et la grande presse. Comme le rapporte un haut gradé de la police de Francfort (en Hesse)1 interviewé par le quotidien Bild le 10 janvier 2016, « pour les délits commis par des criminels possédant une nationalité étrangère2 et qui sont enregistrés dans un centré de réfugiés, nous classons immédiatement le dossier sans suite ». Le policier continue : « Il y a de strictes instructions venant de la hiérarchie pour ne pas reporter les crimes et délits perpétrés par les migrants. Seules des requêtes directes émises par des journalistes ou des médias peuvent être suivies d’effet. »

Il n’est pas le seul à déballer la vérité. De plus en plus de policiers commencent à parler dans ce régime de terreur freutée que connaît l’Allemagne depuis 1945.

Espérons que le cas de Lisa relayé par une télévision russe atteindra son but…

1 http://www.nouvelordremondial.cc/2016/01/10/policier-allemand-nous-avons-ordre-dignorer-les-crimes-commis-par-les-migrants

2 Soyons précis : du Moyen-Orient, d’Afrique du Nord et d’Afrique subsaharienne.

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