franceinfoDans les instruments de l’orchestre propagandiste de Radio France-sic, il n’y a pas seulement le pipeau et le violon. Il y a également la grosse caisse…  Les mêmes interviews, les mêmes infos rabâchées toute la journée… les mêmes mensonges aussi.

Aujourd’hui, deux invités que l’on aurait aimé éviter. La première est une certaine Christine Mauget, du Planning Familial, ce qui a été précisé, mais également du Parti Communiste, ce qui bien sûr ne l’a pas été. Incapable de donner le nombre de pays dans le monde interdisant l’avortement, marmonnant de manière incompréhensible, elle a pointé du doigt les « méchants pays » qui veulent persister à laisser vivre les bébés : Malte, la République Dominicaine, le Salvador, qu’elle répéta en boucle comme un mantra. Amusant, elle en a oublié 3 : le Chili, le Nicaragua – deux anciennes dictatures communistes et surtout… la Corée du Nord communiste qui a interdit depuis le 8 octobre 2015 toute forme d’avortement alors qu’il était autorisé jusqu’au 7 mois depuis 1950, symbole du mépris de la vie fondement de l’idéologie communiste. La Corée du Nord a d’ailleurs deux politiques d’avortement : l’interdit et l’obligatoire.  Toute femme enceinte incarcérée dans le système concentrationnaire communiste coréen est obligatoirement soumise à l’avortement forcé. Corée du Nord soutenue par le parti politique où elle milite… Ce n’est pas le seul pays ayant une politique bizarre en matière d’avortement : en Israël, 42 % des avortements autorisé par les médecins ont pour motif… le fait que la mère n’était pas mariée ! Bien entendu, pas un mot sur l’interdiction de l’avortement dans les pays musulmans.

Le second est « l’historien » maison Thomas Snégaroff qui a repris une chronique de Radio France du 17 septembre 2015, en version encore plus politiquement correct si besoin en était. Suite à la victoire écrasante du « non » au référendum hongrois contre l’imposition par Bruxelles des colonies de peuplement extra-européennes, « l’historien » reproche aux Hongrois de refuser aux autres ce qu’eux-mêmes avaient bénéficiés en 1956 : des pays d’accueils. En oubliant bien sûr que les conditions n’étaient pas du tout les mêmes.  D’abord les Hongrois se sont réfugiés dans des pays dont ils partageaient la culture et la religion et dont ils respectaient les us et coutume, au point d’en devenir plus patriotes que leurs nouveaux compatriotes (le cas du général Marton en est l’illustration. Ensuite, se révoltant contre le régime le plus criminel du 20e siècle, ils avaient été abandonnés par ceux-là même qui es avaient encouragés à la résistance. Les réfugiés hongrois ne représentaient que 200.000 personnes, soit 2 % de la population du pays, soit 3 fois moins que ceux qui transitent actuellement via ce pays. Rappelons aussi qu’en 1989, la Hongrie avait ouvert en grand ses frontières pour permettre aux Allemands de l’est de fuir leur état-prison (pour gagner sans le savoir une autre prison, mais ce n’est pas le débat…)

Pour parodier quelques slogans de la radio d’Etat : « France Infos se moque du monde », « La seule radio de désinformation continue », « Trois points, fermez la radio », « Le mensonge en continue », « L’info au pif », « c’est toujours l’heure des faux… »

Hristo XIEP

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