contraception-danger-MPIToute hormone féminine à haute dose a pour effet de bloquer l’ovulation donc de servir de contraceptif. C’est le principe du Dépoprovera à base de progestérone : ce produit implanté sous la peau ou injecté, permet une contraception durant trois mois ; ce qui évite par exemple de prendre une pilule tous les jours. La fondation Melinda Gates a décidé de réduire la natalité en Afrique par ce moyen. Or, (friday-fax 18 octobre), c’est une véritable coalition des responsables religieux et des défenseurs des Droits de l’Homme  de ce continent qui ont demandé au Congrès Américain de ne plus allouer de fonds ayant pour but de diffuser ce produit vers l’étranger. Pourquoi ? Parce que dès 1996, Nature Medecine (2,1084), la plus célèbre revue médicale au monde, publiait un ensemble de 21 recherches établissant que le Depoprovera multipliait par huit les contagions par le virus du sida et accélérait l’évolution de la maladie chez les malades contaminés. Ceci conforté par une série de publications du Lancet non moins connu.

Kwame Fozu, président de Rebecca Project (pour les droits humains), une puissante organisation américaine défendant notamment « les filles et les femmes vulnérables » a déclaré que l’idée de Gates était inappropriée. Normalement l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) recommande l’usage conjoint du préservatif ce qui est un paradoxe étrange, car le Depoprovera est précisément implanté (ou injecté) à titre contraceptif. Or cette précaution est totalement ignorée d’ International  Parenthood, la plus grande officine mondiale de promotion de l’avortement et de la contraception. Notre lecteur trouvera sur rebecca.project.org  (depo-provera deadly reproductive violence against women) un très long et dense rapport sur cette question. Ce dernier titre : « Cette politique malfaisante pour la santé a des implications racistes violant la morale médicale ». Il y est établi une relation avec Magaret Sanger, fondatrice du Planning Familial dont les objectifs racistes étaient l’élimination des noirs notamment dans le cadre du Klu Klux Klan.

Peut-être, pensons- nous que cette affaire ne nous concerne pas. Par-delà les nombreuses et terribles complications de l’usage de ce produit présentées dans ce rapport, une simple question se pose. Pourquoi la diffusion du sida favorisée par ce contraceptif largement utilisé en France notamment dans le cadre des dispensaires du Planning, n’est même pas mentionnée dans la dernière édition du Dictionnaire Vidal 2013 qui en met (p.612) sept colonnes écrites en lettres minuscules sur ce produit ? Qui fait les frais de cette omission ?

Nous retrouvons tout simplement l’idéologie contraceptive qui n’a que faire des dommages collatéraux.

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