Quelques heures nous séparent de l’élection du prochain président des Etats-Unis. A ma gauche, Hillary Diane Clinton, en perte de vitesse. A ma droite, Donald John Trump, en net regain de forme. Où en sont les deux candidats à la veille du grand jour ?

Si Trump devient le 45e président des Etats-Unis, il pourra décerner la médaille d’or du Congrès, la médaille présidentielle de la Liberté où pourquoi pas les deux à la fois à Julian Paul Assange.  Ce dernier, par ses révélations, a montré la face la plus nauséabonde de la chouchou du régime.  Le patron du FBI, James Brien Comey, avait ainsi accepté de rouvrir l’enquête dite « des emails », montrant la vraie face de la « candidate du bien » : non seulement elle utilisait une messagerie non sécurisé (et ce, malgré les mensonges de Barack Hussein Obama qui prétendait le contraire), mais en plus, sa femme de ménage étrangère (et citoyenne d’un pays qui vient de retourner ses alliances et est désormais hostile aux Etats-Unis !). De plus, des liens existaient entre sa fondation et des organisations finançant des groupes terroristes. Il a fait marche arrière, probablement suite à des offres qu’il n’a pas pu refuser comme disait en son temps Don Vito « Corleone » Andolini (et si trouver une tête de pigeon dans son kebab est répugnant, que dire d’une tête de cheval sur son lit…)

Nicolas Bonnal, brillantissime expert du symbolisme hollywoodien enfin revenu de ses périples sud-américains et  que je salue au passage, pointe à juste titre combien Trump était un golem qui s’est révolté (qui joue son propre rôle dans le film à code Zoolander) qui avait ses entrées à Hollywood jusqu’à ce que l’industrie du cinéma le renie, mais quia réussi à en prendre les codes, faisant de lui le meilleur communiquant depuis l’ancien acteur Ronald Wilson Reagan. Il fut notamment attaqué par Woody Allen (Allan Stewart Konigsberg)… qui partage une sordide proximité avec les Clinton : tout comme l’ex-Président, il a bénéficié largement du Lolita express, du magnat de la finance Jeffrey Edward Epstein. Le Lolita Express, MPI en avait parlé en son temps, était un réseau de prostitution de mineures destinés aux pontes du régime américain. Clinton, tout comme Allen, en furent de bons clients.  Allen qui bien entendu soutient son coreligionnaire Roman Polanski, violeur d’une fillette de 13 ans. Polanski dont la femme Sharon Marie Tate a été assassinée par une secte satanique, Polanski ayant frayé dans ces milieux. Milieux sataniques bien présents dans l’entourage de la candidate démocrate, à commencer par John David Podesta, si on en croit les documents fournis par Assange. Avec George Herbert Bush, nous avions déjà les lucifériens, il ne manquerait plus que les satanistes…  Notons que Podesta croit aux extra-terrestres (entités démoniaques, certains ufologues les partageants en « démons » (petits gris maléfiques liés au gouvernement américain) et « anges » (grands blonds bénéfiques qui auraient approché le gouvernement allemand)).

Le bimensuel économique suisse Bilan – pourtant totalement acquis à Clinton – admet dans un article du 7 novembre que Trump serait plus bénéfique qu’elle dans le secteur de l’énergie, de la pharmacie et de la restauration, aussi bénéfique qu’elle dans celui des banques et de l’aéronautique, Clinton étant jugée plus bénéfique pour le secteur de la Silicon Valley et pour le bâtiment.  Pourtant, Wall Street, persuadé de la victoire de Clinton, a ouvert en hausse. Et pour cause : le gros argent sait qu’avec elle, ce sera plus de dérégulation, plus d’immoralité, plus de profits…

La bataille n’est pas encore perdue, et notamment avec la Floride et la Caroline du Nord, voire le Colorado, qui sont en passe de basculer du côté de milliardaire. Plusieurs sondages le donnent vainqueur tant en Floride qu’au plan national, et ce, malgré une hostilité médiatique totale. En Caroline du Nord, un signe qui ne trompe pas est une démobilisation massive de l’électorat noir et – au contraire – une mobilisation extrême de l’électorat des « petits blancs », dont beaucoup de gens ne votant pas d’ordinaire.  Même chose en Floride, où 32 % des petits blancs démocrates vont voter Trump. La part de blancs diplômés allant voter Trump est de 15 points au dessus de la moyenne nationale ! (51 % contre 36%). Les Hispaniques de Floride ne votent pas tous à gauche, loin s’en faux. La vieille génération, ayant fuit la tyrannie communiste, vote Républicain à 64 %.

Un autre signe intéressant, c’est l’effondrement dans les sondages du candidat indépendant et gouverneur du Nouveau-Mexique Gary Earl Johson, un libéral (au sens européen du mot) favorable au mariage gay, à l’avortement et à la légalisation de la drogue, ce qui ne l’empêche pas ailleurs d’être un excellent gestionnaire.  Sa seule compétence d’ailleurs, car il est d’une inculture crasse, incapable de savoir ce qu’était Alep ! Donné à 8 % avec des pointes à 9, il est tombé sous la barre des 5 %, ses partisans préférant un « vote utile » en faveur de Trump.

Chez les démocrates, c’est un remake de « tous aux canots, on s’est mangé un iceberg ! » et la perte du Michigan et de la Pennsylvanie n’est même plus à écarter, même si Clinton est sure de gagner les deux gros états des deux côtes, la Californie de la débauche et la New-York de la corruption. Où l’inverse. Trump lui, est sur de gagner le Texas (2e plus gros état) et risque de faire basculer – si on s’en tient au taux de mobilisation des primaires –  la Floride, la Virginie, l’Ohio, le New Hampshire, le Nevada et l’Iowa. Ces gains permettraient à Trump de battre Clinton. La question est : pourra-t-il faire le Grand Chelem ? Si le scrutin est honnête, la réponse est oui. Nothing is impossible (et ce ne sont pas les Chicago Cubs qui me contrediront…) et à Trump moins encore.

Cependant, de nombreuses craintes quant à d’éventuelles fraudes sont pour le moins justifiées. On sait que des fraudes en faveur de Bush Jr eurent lieu en 2000. Que des fraudes en faveurs d’Obama (100 % des voix dans plus d’une centaine de bureaux de votes) eurent lieu en 2012. Mais confier les bureaux de votes électroniques à des sociétés liées au sinistre Sörös, notoirement lié à Clinton, et ceux dans 16 états, dont les swing states de Floride et l’Arizona, c’est jeter la suspicion sur un scrutin. Si jamais la fraude était avérée, alors les électeurs de Trump devront en tirer la conclusion qui s’impose… Trump peut du moins se consoler en se disant que la plupart des systèmes de pronostics politiques le donnent vainqueur.

Hristo XIEP

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