Cela avait suscité l’indignation de la gauche bien-pensant (pléonasme) qui avait hurlé à l’homophobie. Tout d’abord, l’étendard LGBT qui avait été retiré de l’Assemblée Nationale où il avait été déployé. Ensuite, le 6 août, la dégradation à la peinture d’une plaque commémorative dans le 2e arrondissement de Paris (Bourse) qui rendait hommage à Bruno Lenoir et Jean Diot, les deux derniers Français condamnés à mort, le 6 juin 1750, pour homosexualité.  Notons que 40 ans après les derniers gays exécutés, on exterminait les catholiques à tour de bras. Là, bizarrement, pas beaucoup de plaques commémoratives. Il faut dire qu’Hidalgo et son petit caniche Ian Brossat (connu dans certains milieux sous le sobriquet de « la rose rouge ») se réclament comme héritiers politiques des tueurs.  Sur twiter, Hidalgo déclara le 6 août :

« Je suis choquée par cette nouvelle démonstration honteuse d’homophobie ! Cette plaque rend hommage à Bruno Lenoir et Jean Diot, derniers condamnés à mort pour homosexualité. Cet acte ne fait que renforcer notre détermination à lutter contre les discriminations ».

Pour Brossat :

« En 2015, nous avons apposé une plaque en mémoire de Lenoir et Diot, les 2 derniers condamnés à mort en France en raison de leur homosexualité.
Pour la 2e fois cette année, cette plaque a été vandalisée. Honte à ces vandales, en espérant qu’ils seront identifiés et condamnés
 ». On sait qu’à l’ouest, communisme et homosexualité faisaient bon ménage (Philby, Aragon), mais en URSS, il en était tout autrement… Si on en croit le documentaire de Frédéric Mitterrand J’étais la folle de Brejnev, « l’homosexualité a été férocement réprimée en U.R.S.S. durant le régime soviétique : arsenal juridique, déportations au goulag, disparitions et exécutions. La persécution fut mise en œuvre dès la Révolution et poursuivie jusqu’à l’avènement de la Glasnost de Gorbatchev. Elle permit d’incriminer toutes sortes de personnes suspectes au regard de la paranoïa policière, fut combinée à d’autres dispositions du code pénal afin d’alourdir le caractère criminel des « coupables ». La découverte d’une pseudo « conspiration homosexuelle » en 1933 fut ainsi l’un des volets de la politique des purges staliniennes. Mais si les victimes de ces répressions sauvages ont fait l’objet de témoignages, d’études historiques, les homosexuels ont été tenus à l’écart de des réhabilitations et aucun véritable bilan n’a été établi. »

Brossat devrait se méfier de ses amis…

La mairie de Paris va porter plainte « pour dégradation de bien aggravée par la circonstance que le bien appartient à une personne publique et est destinée à une décoration publique », une infraction qui expose à cinq ans d’emprisonnement et 75 000 euros d’amende. On la sent nettement moins motivée quand les profanations touchent les églises…

Pour justifier son acte, Christophe Martin cite notamment son opposition à l’adoption homoparentale et à la reconnaissance du genre non-binaire, deux revendications qualifiées d’« excessives ». Il dénonce en outre les « Gay Games », qui se déroulent à Paris du 4 au 12 août, affirmant leur avoir souhaité, dans un accès de colère, « un attentat ». Enfin, il évoque l’affichage de drapeaux arc-en-ciel, symboles LGBT, à l’occasion de la Gay Pride, en juin dernier, sur la façade de l’Assemblée nationale. « Par respect pour l’histoire de France, je ne peux pas laisser faire ça », explique-t-il. Ancien toxicomane viré par plusieurs associations militantes pour avoir participé à la Manif pour tous (les sbires de la gaystapo ne plaisantent pas avec la loi interne) , Christophe Martin affirme aujourd’hui être soigné et assume entièrement son acte. « On a une culture française à respecter, insiste-t-il. Le communautarisme LGBT va à son encontre en revendiquant n’importe quoi. ».

Cette affaire montre en tout cas l’imposture des mouvements dit LGBT qui prétendent parler au nom de tous les invertis alors qu’ils ne représentent qu’eux-mêmes. Même chose chez les féministes, le CRIF, le CRAN et autres moustiques suceurs de subventions, qui ne représentent qu’un petit quarteron de militants gauchistes.

Hristo XIEP

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