Deux gamines voilées et masquées intégralement, baignaient leurs burqas dans la mer sur une plage de Marseille lorsque deux gendarmes sont intervenus pour leur expliquer qu’elles étaient en infraction, mais la mère en véritable furie s’en est pris aux gendarmes, il faudra l’intervention des CRS pour en venir à bout. Conduite au poste de police elle sera jugée pour “outrage, menaces et apologie du terrorisme”. 

“La scène se joue vendredi soir, plage de l’Huveaune, avenue Mendès-France, à Bonneveine (8e). Deux mineures complètement voilées se baignent, mais les forces de police leur expliquent qu’elles sont en infraction. Les deux jeunes filles sortent de l’eau et ne font pas de difficultés, mais c’est leur mère qui s’agace de la situation et va s’en prendre de façon virulente aux policiers qui interviennent.

Les forces de l’ordre tenteront de ramener le calme, mais ce sera difficile. Face à l’outrance de la situation, la mère, âgée de 38 ans, a été interpellée et conduite au poste de police. Même les CRS ont dû intervenir. La mise en cause fait l’objet d’une procédure pour “outrage, menaces et apologie du terrorisme”. Elle a été interpellée et entendue. Elle fera finalement l’objet d’une convocation devant le tribunal correctionnel de Marseille où elle sera jugée prochainement. La loi du 11 octobre 2010, parfois appelée loi sur la burqa, interdit de “dissimuler son visage” dans l’espace public.” (La Provence)

Pas d’amalgame ni de stigmatisation, sauf contre les autochtones!

On apprend par ailleurs aujourd’hui qu’une autre rixe a eu lieu entre communautés dimanche à Carbuccia en Corse du Sud, mais là, il est impossible de trouver un témoignage. Les deux parties ont porté plainte de part et d’autre, selon Corse-Matin, tandis que BFMTV ajoute que l’altercation s’est déroulée près de la rivière Gravona sur le pont de Carbuccia:

Tout serait parti d’un échange de regards qui a mal tourné entre un groupe de jeunes originaires de l’île et un père de famille d’origine maghrébine vivant en Corse, d’après le procureur de la République d’Ajaccio. Eric Bouillard précise toutefois, qu’à ce stade de l’enquête, “le mobile raciste n’est pas établi”. Après l’altercation, les deux parties ont porté plainte réciproquement.

Tous ont été entendus par les enquêteurs mais personne n’a été placé en garde à vue. Le père de famille, qui a eu le nez cassé, évoque des propos racistes. Le jeune, qui serait à l’origine du coup, mineur, porte lui aussi des marques de lutte correspondantes à des traces légères données par un objet coupant.

“Eric Bouillard précise toutefois, qu’à ce stade de l’enquête, “le mobile raciste n’est pas établi”, rapporte BFMTV !!! Comme si dans le contexte actuel en France, de massacres et agressions diverses d’origines islamiques, les soupçons ne pouvaient que se diriger contre les Français de souche

… Sans compter qu’un jeune qui riposte à une attaque “d’un objet coupant” avec son poing, ne peut être qu’un “raciste”… Quand à chaque fois ces rixes opposent des musulmans d’âge mûrs armés face à des adolescents ou des femmes désarmés…

Une histoire qui ressemble donc beaucoup à celle de Sisko, où des maghrébins d’âge mûr, aux cris d'”Allah akbar”,  s’en sont pris à des baigneuses avant de s’attaquer à des adolescents à coups de hachettes et de couteaux, pour des histoires vestimentaires d’ordre musulman, avant que des habitants de Sisko -eux-mêmes violemment agressés- aient pris la défense des jeunes et des touristes au cours d’une violente bagarre.

L’affaire de Sisko a pu être révélée grâce aux témoignages-vidéos des personnes agressées, lesquels ont échappés à la vigilance des autorités  et médias camoufleurs qui eux, tentent de faire reporter la faute sur du racisme insulaire, alors que les agresseurs s’écriaient “allah akbar!”… 

Une tentative renouvelée aujourd’hui-même à I-Télé où un petit reportage a tenté de faire porter le chapeau à l’extrême-droite, ce qui va dans le même sens que le soupçon de racisme évoqué par le parquet pour l’affaire de Carbuccia, alors que le soupçon premier devrait naturellement se porter sur la partie musulmane dans le contexte des attentats affreusement meurtriers, du meurtre du père Jacques Hamel, de l’affaire de Sisko et de celle des Hautes-Alpes au cours de laquelle un Marocain de 38 ans a agressé au couteau trois jeunes-femmes pour de semblables questions vestimentaires musulmanes. Et de combien d’autres affaires ? On n’arrive plus à en tenir le compte.

Mais le parti politiquement correct est plus que jamais déterminé à pactiser avec l’ennemi… La trahison est aujourd’hui pire que le danger encouru et l’aggrave amplement.

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emiliedefresne@medias-presse.info

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