[youtube http://www.youtube.com/watch?v=V1ZbHckg0FM&w=420&h=315]

Dans l’angle de la vidéo en bas à gauche se trouve le nom de l’école. Une rapide enquête sur Internet nous montre une école  très huppée et très branchée, où l’apprentissage de l’égorgement d’un animal n’est rien que de très banal… Une école ordinaire d’Egypte du XXIè siècle en somme!  Que nous vante aussi cette vidéo!

Entre l’éducation d’un petit chrétien et l’éducation d’un petit musulman, il y aura toujours la banalisation de l’égorgement d’un petit mouton… Pour un petit catholique le sacrifice de l’agneau c’est l’image du Christ qui s’est offert pour le rachat de nos péchés, c’est aussi les moutons des bergers de la crèche à Noël. C’est l’exaltation de la vie.

Ce rituel, au contraire, est tout-à-fait banal pour un jeune musulman, il fait partie de son éducation, c’est pourquoi cette école est elle aussi tout-à-fait banale et même plutôt haut de gamme.

Même après avoir passé des générations en Algérie, nos compatriotes pied-noirs, même aux pires moments de la guerre d’Algérie, n’ont jamais adopté ces gestes typiquement musulmans. La preuve que le Grand remplacement a bel et bien commencé c’est qu’il se trouve maintenant, de jeunes français de souche pour adopter ces coutumes barbares. 

(Attention âmes sensibles: lien vers la vidéo de l’égorgement des 18 soldats syriens!!!)

Voici ce que dit de ces égorgements, José CASTANO, un pied noir qui sait de quoi il parle:

(…) Des égorgements et décapitations, il s’en produit, chaque jour, des dizaines –voire, des centaines- en terre d’Islam sous la sombre indifférence d’un monde par trop égoïste et blasé de tant de violence comme, l’exécution cet été, par l’Etat Islamique de 700 personnes d’une tribu syrienne fidèle à Bachar El-Assad et, à Racca (Nord de la Syrie), de soldats de l’armée régulière dont les têtes ont été plantées sur des poteaux en guise de trophées et largement diffusées sur le net. Début novembre, 600 autres membres d’une tribu Bounemer, en Irak ont connu le même sort…

Le 16 novembre 2014, une nouvelle vidéo mise en ligne par l’Etat Islamique met en scène la décapitation de dix-huit soldats syriens et de l’otage américain Peter Kassig… (…)

Depuis le début de ce conflit, nos médias n’ont eu de cesse –comme pour minimiser l’horreur de ces exécutions- de véhiculer l’idée qu’Hervé Gourdel, James Foley, Steven Sotloff, David Haines avaient été décapités… comme la guillotine permettait de le faire il y a encore un demi-siècle, en France. Cela fait plus « propre » et heurte moins les sensibilités… mais la vérité est tout autre. Ces hommes ont été égorgés comme des moutons, exécutés avec une bestialité innommable dans le but de terroriser la victime, la faire souffrir et la reléguer au rang d’animal… ce qui rend actuelle la remarque de Confucius : « Lorsque les mots perdent leur sens, les gens perdent leur liberté ». Cette barbarie accomplie, on les a alors décapités, puis on a posé leur tête sur leur corps. Et quelle que soit la victime sacrifiée, le but à atteindre et les procédés utilisés sont les mêmes…

(…) le choix de l’égorgement au couteau ne doit rien au hasard… « Dans une société acclimatée à la violence par arme à feu, au cinéma et à la télé, l’Etat Islamique devait se démarquer et gravir un degré supplémentaire dans l’horreur », explique le criminologue Patrick Morvan. « Cette barbarie sanglante est une opération de communication », précise-t-il. (…)

Et cette décapitation relève, en réalité, d’une culture, d’une coutume, d’un rituel, d’une tradition institués par Mahomet qui déclara dans un hadith : « Ô gens de Qoraïch ! Écoutez bien ! Au nom de celui qui détient mon âme entre ses mains, je suis venu à vous par l’égorgement ! »

Et, joignant le geste à la parole, le fondateur de l’Islam ordonna la décapitation, en l’an 627, de tous les hommes pubères de la tribu juive des Banu Qurayza après la « bataille de la Tranchée » (800 à 900 personnes) et la réduction de leurs femmes et enfants en esclavage.

« L’Envoyé d’Allah les fit chercher et les décapita dans les fossés alors qu’ils lui étaient amenés par groupes. Ils étaient 800 à 900 », rapporte à cet effet l’historien musulman Ibn Ishaq dans sa biographie de Mahomet (« Sîrat Rasûl Allah », c’est-à-dire « Biographie du Messager de Dieu »), écrite entre l’an 740 et l’an 770.

            Depuis lors, pour justifier leurs décapitations, les barbares se réfèrent au Coran qui, dans sa Sourate 8, 12-13, précise :

« Et ton Seigneur révéla aux Anges : « Je suis avec vous : Affermissez donc les croyants. Je vais jeter l’effroi dans les cœurs des mécréants [les non-musulmans]. Donc frappez-les au-dessus des cous [décapitez-les] et frappez-les sur tous les bouts des doigts [amputations]. Cela, parce qu’ils ont désobéi à Allah et à son messager ».

          Par ailleurs, quand les pères, chaque année lors de la « Fête du mouton » (l’Aïd el-Kebir),  apprennent à leurs jeunes garçons à égorger des moutons, ils les rendent, de fait, mentalement insensibles à cet acte barbare qu’ils considèrent naturel, adéquat et juste, approprié à la situation dans laquelle il est accompli.

Devenus adultes, ils pérennisent à leur tour cette coutume de l’abattage qui, inéluctablement, débouche sur d’inévitables agressions barbares comme, entre autres, celle pratiquée sur les sept marins italiens à bord de leur navire dans le port de Gigel (anciennement Djidjelli), sur les sept moines trappistes français du monastère de Tibhirine enlevés en mars 1996 et retrouvés décapités deux mois plus tard et sur les deux religieuses espagnoles qui aidaient des familles malheureuses dans un quartier pauvre à Alger… autant d’actes monstrueux commis au nom de cet islam que la « bien pensante » qualifie toujours de religion « de paix et d’amour, pacifique et tolérante ».

           Les âmes chagrines disent que la conscience se révolte au spectacle de certains crimes. Nous sommes ici –comme hier, en Algérie– en présence du plus monstrueux florilège de crimes qui puissent se concevoir. Ce n’est pas de guerre –au sens conventionnel du terme qu’il s’agit- mais d’extermination ! De massacres perpétrés dans des conditions atroces sur des innocents. Les images qui représentent ces égorgements, ces décapitations, ces visages mutilés au couteau, ces corps déchiquetés, ces femmes vitriolées, lapidées après avoir été violées, reculent les limites assignées à l’horreur. Ni l’amour, ni les bienfaits ne suffiraient à vaincre ce fléau, car ces trésors prodigués pendant des mois, des années, seraient –comme hier, en Algérie- ramenés au néant par un seul cadavre abandonné la gorge ouverte au travers d’une piste ou pendu à l’entrée d’un village.

           Churchill s’est écrié un jour : « Un peuple qui oublie son passé se condamne à le revivre ! ». Dans cette logique, la guerre d’Algérie a produit des monstres tout aussi ignobles que ceux qu’il nous est donné de découvrir aujourd’hui et c’est parce que l’on s’est toujours désintéressé de ce douloureux passé que l’on voit, désormais, reproduites à l’identique, ressurgir tant de créatures du diable… et le diable n’apparaît qu’à celui qui le craint.

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