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Tout le monde est plus ou moins au courant du risque que représente l’exposition prolongée et répétitive au soleil en raison des rayons ultraviolets. Ceux-ci ont pour effet de détruire les fibres élastiques de la peau par dépolymérisation, ce qui entraîne un vieillissement prématuré de celle-ci. Beaucoup plus grave est l’irradiation des mélanomes (grains de beauté) qui se cancérisent. Cette variété de cancer est le plus grave de tous car le métastase se développe à une vitesse foudroyante. Les lampes à bronzer ont le même effet.

Les Américains qui mettent tout en statistiques estiment qu’entre 15 et 18 ans entre 30 et 40 % des jeunes bronzent grâce à divers procédés au moins dix fois par an : cabines de bronzage, appareils divers. Le risque d’apparition d’un mélanome malin se trouve présentement augmenté de 60 %. Les autorités ont réagi. Plusieurs Etats ont interdit les cabines de bronzage aux moins de 18 ans. D’autres exigent des autorisations parentales écrites. La vente des lampes à bronzage leur est interdite de même, comme il en est théoriquement de l’alcool.

Du mélanome au cancer du sein

Un parallèle a été effectué avec l’avortement des mineures. Le chiffre des avortements des mineures ne cesse d’augmenter en Amérique alors que parallèlement sur l’ensemble de la population féminine, celui-ci régresse de 3 % à 4,5 % chaque année depuis 2008. Comment expliquer ce paradoxe ? Tout simplement parce que dans un certain nombre d’Etats comme la Californie, les mineures peuvent se faire avorter sans le consentement parental. Alors que les conséquences sont autrement plus graves que celles provoquées par le soleil.

Une méta-analyse rassemblant 37 études a été faite par le Pr Coleman de la Bowling Green State University (Ohio) a établi que le risque de désordre mental chez les personnes qui ont avorté est augmenté de 81 %. Ce chiffre coïncide exactement avec celui donné par le British Journal of Psychiatry en 2011. Il est de 138 % si la femme a déjà eu un enfant. Ce sera l’anxiété ( +34 %), usage d’alcool (+110%), risque de suicide (+230 %) consommation de marijuana (+230%). Notons au passage que la Californie vient de légaliser la consommation de marijuana. Le risque de cancer du sein est évalué en augmentation de 44 %. Il peut monter à 89 % selon l’âge et après trois avortements. Ces statistiques ont été établies entre 1999 et 2009 sur 877,181 femmes dont 163,831 avaient avorté. Elles coïncident toutes avec les études chinoises présentées naguère sur Média Presse Infos.

Il y a donc là un étrange paradoxe. La société fait tout pour empêcher l’apparition de mélanomes malins et conjointement fait tout pour augmenter le nombre de cancers du sein par l’avortement. .

Qu’en est-il en France ? Exactement la même chose. Toute mineure peut aller se faire avorter anonymement et gratuitement à la condition qu’elle soit accompagnée par une autre personne elle-même majeure : ce peut être une simple copine de classe un peu plus âgée. Le gouvernement a une volonté criminelle d’augmenter le nombre d’avortements en les facilitant. En même temps il mène des campagnes médiatiques pour éviter que les gens se mettent au soleil…

De telles incohérences prêteraient à rire …ou plutôt à pleurer.

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