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Alicia Gunn, une enseignante lesbienne en Ontario « mariée » à une autre femme, a révélé, lors d’une conférence entre enseignants, comment elle amenait ses classes de 4e et 5e années du primaire à se pencher sur l’homosexualité grâce à ce qu’elle appelle des problèmes de mathématiques liés à « la justice sociale ».

Cette enseignante dans une école primaire publique à Mississauga, en Ontario, a déclaré aux participants d’une conférence tenue le 10 avril 2015 à l’hôtel de ville de Toronto que l’introduction de questions LGBTQ en classe, en particulier en mathématiques, aide les élèves dès l’âge de neuf ans à « remettre en question la vision unique que beaucoup de nos enfants ont des familles LGBT ».

Alicia Gunn a expliqué aux participants de son atelier, intitulé « Équité et inclusion dans les programmes d’études », comment elle a profité du fait qu’une jeune élève avait été traitée de « lesbienne » pour parler à toute la classe de « trucs homosexuels ». Alicia Gunn est lauréate de plusieurs prix pour ses méthodes d’enseignement et a été mise en vedette par une agence gouvernementale de l’Ontario ! Elle a raconté comment elle a d’abord parlé avec l’écolière en lui disant qu’il « n’y avait rien de mal à être lesbienne ». « Et quand je lui en ai parlé, elle ne cessait de me dire : “Madame Gunn, je jure que je ne suis pas lesbienne. Je ne suis pas lesbienne” », a déclaré la conférencière aux
participants. « Et je lui répétais : “ça m’est égal si tu es lesbienne. Ça
devrait être OK d’être lesbienne.” »

Dans une tentative pour « rendre à cette fille sa dignité » [sic !], la militante lesbienne a décidé de faire une présentation à ses écoliers de la vie de célébrités considérées comme homosexuelles comme l’actrice Ellen De Generes, le joueur de basket Jason Collins ou encore joueur de rugby gallois Gareth Thomas. «Alors, nous sommes revenus sur le tapis pour parler de ce que ces gens avaient en commun. Et [les étudiants] ont dit, “Ils sont impressionnants, ils sont tellement cools, ils sont célèbres. Nous serions ravis de les rencontrer” », ajoute Alicia Gunn au cours de cette conférence. Alicia Gunn a alors révélé aux élèves de sa classe du primaire que tous ces gens étaient homosexuels. Et au lieu que ses élèves réagissent positivement comme elle l’avait espéré, les étudiants [loi naturelle obligeant] ont commencé à crier : «beurk ! » et « dégoûtant ! » et « ces gens sont malades ». C’est alors
qu’Alicia Gunn dit s’être rendu compte qu’elle devrait trouver une manière plus créative pour que ses jeunes élèves en viennent à penser différemment.
Pour mettre en place un « lavage » de cerveaux,  elle et quelques enseignants partageant le même militantisme LGBT, se sont réunis pour mettre au point une manière d’intégrer la promotion de l’homosexualité dans le programme, en commençant avec les mathématiques. Alicia Gunn a présenté lors de l’atelier sa leçon de
mathématiques sur les triangles. Elle l’a centrée autour du triangle rose que les nazis ont utilisé dans les camps de concentration pendant la Seconde Guerre mondiale pour identifier les délinquants sexuels, y compris les violeurs, les pédophiles, les zoophiles, ainsi que des homosexuels.

« Le triangle rose était un écusson infamant que les nazis faisaient porter aux homosexuels pendant l’holocauste. Donc, ce que nous avons fait c’est de jeter un coup d’œil à tous les écussons infamant que les gens ont porté », a-t-elle déclaré aux participants. « Maintenant, en mathématiques, nous en étions à considérer les différents types de triangles. Nous regardions les mesures d’angle intérieur pour être en mesure de dire si le triangle est isocèle, équilatéral ou scalène. Bon, ça, c’était l’aspect mathématique. Mais le plus important était la réflexion [pro-homosexuelle] qui l’accompagnait. » Après la leçon de géométrie sur le triangle rose, Alicia Gunn a raconté comment elle avait fait faire à ses élèves « des badges d’honneur » pour renverser le récit habituel, « parce que ce que le triangle rose est devenu, c’est un symbole de fierté ». Elle a raconté comment un étudiant a fabriqué un badge avec un cœur rose sur lequel on trouvait écrit « Le cœur rose montre
que je suis fier de qui j’aime. J’ai choisi la couleur rose parce que les
nazis avaient choisi des écussons roses pour humilier les homosexuels. Donc, je l’utilise pour montrer qu’on peut aimer qui on veut.» [zoophilie incluse ?!] 

Son projet de classe suivant a consisté à demander aux écoliers de trouver des Canadiens LGBTQ célèbres ainsi que les raisons de leur célébrité. Elle demanda à sa classe de se pencher parmi ces personnes sur « Jenna » Talackova, un homme biologique qui s’était démené et avait réussi en 2012 à participer au concours de Miss Univers Canada. Talackova qui avait subi une chirurgie de « changement de sexe » à l’âge de 19 ans avait d’abord été exclu du concours conformément à une règle qui exige de toute concurrente qu’elle soit « naturellement née femme ». [ah cette tenace discrimination !]

Les écoliers montèrent une exposition intitulée Jolie et fière où à l’aide
de photos et de coupures de presse sur Talackova, les élèves prétendirent que « Jenna » « avait remporté le concours » alors qu’il n’avait été retenu que parmi les 12 meilleures candidates. Alicia Gunn a déclaré que ses élèves captifs [franche et lucide !] avaient appris de cette leçon fort éloignée des mathématiques que “vous avez vraiment besoin de vous battre quand les choses sont injustes. [la « justice » étant préalablement inversée bien sûr] Qu’il faut se faire entendre”.

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