Le manuscrit dit de Voynich est un codex sur vélin, manuscrit, illustré, anonyme, rédigé à partir d’une écriture de type alphabétique, à ce jour inconnue.

Malgré les nombreuses tentatives des cryptographes, la nature exacte de ce document, son contenu et son auteur, restent des énigmes : s’agit-il d’un herbier, d’un traité d’alchimie ou même d’un antique canular ?

C’est Wilfrid M. Voynich, collectionneur et marchand de livres anciens – d’où le nom actuel du document – qui l’aurait découvert en 1912 dans des circonstances finalement mal avérées, dans un coffre d’archives du jésuite, savant célèbre, Athanasius Kircher

https://fr.wikipedia.org/wiki/Athanasius_Kircher

(Orientaliste, graphologue, astronome et physicien du XVIIIeme siècle, auteur d’un des premiers traités sur l’acoustique et sur le microscope).

Ce coffre aurait conservé à la villa Mandragore au sein d’une communauté de jésuites de Frascati près de Rome, qui le lui aurait vendu avec d’autres ouvrages anciens pour financer la restauration du bâtiment.

Le codex contenait une lettre de Johannes Marcus Marci, médecin à Prague, à son ami Athanasius Kircher datée du 19 août 1665.

Marci y sollicite l’aide de Kircher pour déchiffrer le codex qui lui avait été légué par un ami souhaitant initialement contacter Kircher pour ce faire…

Voynich fait prendre toutes les pages en photo pour disposer de fac-similés d’étude, évitant ainsi de manipuler l’original.

C’est ainsi qu’il découvre sur la première page la trace d’une signature effacée ou grattée qui se révèle lisible aux rayons X : Jacobus a Tepenecz.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Jacobus_Sinapius

Célèbre médecin herboriste et apothicaire, renommé dans toute la Bohême pour une panacée de sa composition qui fit sa fortune, Jacob Sinapius, ayant guéri l’empereur Rodolf II de la mélancolie, fut anobli avec le titre «de Tepenec » en 1608 et fut nommé « chimiste de la cour ».

On ignore en fait s’il a rédigé ce codex, savamment crypté, ou s’il en seulement été détenteur y laissant sa signature, selon l’usage du temps. La seule chose qu’on puisse affirmer est que Jacob de Tennec (mort en 1622) a effectivement été en possession de l’ouvrage…

Il semble que ce codex ait fait alors partie de la collection considérable de l’empereur Rodolfe II qui l’aurait acheté 600 ducats à un alchimiste anglais… Devant des sommes importantes à Jacob de Tennec il est probable que l’empereur lui ait cédé le codex en règlement de diverses dettes, ce qui explique qu’il se soit empressé d’y mettre sa signature en signe d’appartenance.

Visiblement ce codex est parvenu en 1665 entre les mains de Kircher, qui n’a pas alors su le déchiffrer, et il est ensuite resté trois siècles, oublié dans ses archives même après leur transfert à la villa Mandragore…

Voynich consacra, par la suite, une bonne partir de sa vie aux mystères du codex qui porte son nom…Après sa mort en 1930, son épouse le conserva et le légua (1960) une amie, qui, moins sensible au charme et au mystère du codex qu’à sa valeur financière, le revendit aussitôt (1961) pour l’équivalent de 25000 E au marchand bibliophile Hans Krauss qui en fit finalement don en 1969 à l’Université de Yale où il est aujourd’hui conservé 1

Selon une étude publiée en 2011 par un chercheur de l’Université d’Arizona, portant sur la datation par le carbone 14 du support : le vélin a été fabriqué entre 1404 et 1438. Cela invalide de fait toutes les thèses rédigées depuis un siècle donnant l’alchimiste Roger Bacon († 1294) comme auteur probable du manuscrit !

Mais à ce jour aucune mention sérieuse de ce codex entre le début du XVeme siècle et le milieu du XVIIeme n’a encore été découverte…

Le texte est clairement écrit de gauche à droite, avec une marge à droite quelque peu inégale.

Les sections les plus longues sont divisées en paragraphes. Il n’y a aucun signe évident de ponctuation.

Le manuscrit ne donne pas l’impression que les caractères ont été apposés un par un, caractéristique qui apparaît souvent dans le cas d’un chiffrement compliqué, lettre par lettre.

Le texte comprend plus de 170 000 glyphes, normalement séparés les uns des autres par de fins interstices.

La plupart de ces glyphes sont tracés avec un ou deux traits.

Les experts restent divisés concernant la taille de l’alphabet utilisé, car certains des glyphes sont similaires.

On pense toutefois que l’alphabet du manuscrit de Voynich comprend entre 22 et 28 signes distincts et bien identifiables.

Certains caractères « inhabituels » apparaissent ici et là : on en dénombre une douzaine de ce type.

Il existe également quelques très rares notes en alphabet latin lisibles, tel le mot « rot » figurant dans une illustration qui a pu laisser supposer un lien d’origine avec le monde germanique (rot = rouge)

L’analyse fréquentielle révèle des caractéristiques semblables à celles des langues naturelles classiques.

Ce document, très richement illustré, est divisé en 6 parties repérables suivant les illustrations: herbier, astronomie, anatomie et biologie, cosmologie, pharmacopée et recettes (de panacées ?).

Il est paginé par folio et comporte 234 pages, mais 13 folios sont manquants.

Le folio 1, commençant apparemment directement par l’exposé d’un sujet, sans le moindre titre ou en tête, laisse supposer, soit qu’un folio titre hors pagination a disparu, comme classiquement c’est le cas d’une couverture, soit qu’il s’agit d’une espèce de vade mecum, d’un carnet de notes personnel…

Le contenu indique qu’il s’agit vraisemblablement d’un grimoire alchimique, ou d’un mémoire de chamane ou de guérisseur, savamment crypté.

Son origine géographique est totalement inconnue car les rares plantes identifiées à partir des illustrations – seuls indices potentiels de localisation – ne sont pas connues comme endémiques de telle ou telle région spécifique, et ne permettent donc pas de situer clairement son lieu de rédaction…

On y a tout vu et surtout n’importe quoi…

Certains ont même trouvé des « similitudes » avec des plantes figurées dans le monde Aztèque !

Le « génie juif » entre en scène

http://www.cclj.be/actu/judaisme-culture/pourquoi-nous-ashkenazes-sommes-meilleurs-et-plus-intelligents

Deux « chercheurs » canadiens, Grzegorz Kondrak, professeur de l’université d’Alberta, et Bradley Hauer, étudiant doctorant, ont analysé le texte à l’aide d’un programme informatique qu’ils ont eux-mêmes développé, postulant que le manuscrit était écrit dans un type d’alphagramme, sans voyelles, c’est-à-dire une transposition dans l’ordre alphabétique des lettres consonnes qui composent un mot.

« Sans voyelle » n’est évidemment qu’une simple hypothèse, mais non dénuée d’arrière-pensée : le nombre de glyphes distincts rendait possible l’idée présupposée d’un texte crypté… à partir de l’hébreu bien sûr !

Ce qui est déjà saugrenu quand l’analyse externe du texte montre clairement qu’il s’écrit de gauche à droite…

En outre, la connaissance la plus élémentaire de l’histoire de l’Alchimie aurait dû les aiguiller d’abord vers le grec et ensuite vers l’arabe, mais certainement pas vers l’hébreu: indiscutablement l’origine de l’alchimie est grecque, et le nom même, tant « alchimie » que « chimie » formés et transmis depuis l’arabe, viennent du grec khumeia….

Ce sont les connaissances de ces grecs d’Egypte au IIIeme siècle av JC qui seront reprises et complétées de données perses, voire indiennes, par les Arabes lors de la conquête et qui leur permettront de donner à l’alchimie, et à la chimie proprement dite, l’essor qu’on lui a connu durant les premiers siècles de la présence arabe en Europe de l’ouest (en gros entre le huitième et le douzième siècle).

L’image de « Marie la juive », célébrée comme « la première femme alchimiste » ayant vécu entre le IIIeme siècle et le IIeme siècle avant J.C., est surtout liée à la tradition d’une controverse l’impliquant avec Zosime de Panopolis qui est le fondateur réel de l’alchimie occidentale.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Zosime_de_Panopolis

On comprend bien le procédé de récupération: Zosime semblant être l’indiscutable fondateur de l’alchimie, le fait que Marie ait été en conflit idéologique avec lui, la place à son niveau. On en arrive donc à l’objectif souhaité par la propagande: faire accréditer l’idée qu’une personnalité juive soit conjointement à l’origine de la discipline !…

Malheureusement absolument rien ne vient confirmer cette thèse et Marie la juive, qui n’est connue par aucune recherche, a traversé les âges à travers la cuisine et non la science : on lui attribue l’idée du chauffage des récipients des préparations par de l’eau bouillante, et non pas directement par la flamme d’un foyer qui faisait éclater les récipients. Procédé connu sous le nom devenu fameux de « bain Marie » !

Mais il est vrai quinze siècles plus tard, à la faveur du développement de la kabbale et parallèlement à elle, une alchimie proprement juive s’est développée, même si précisément les intéressés y soulignent les différences qu’ils veuillent y voir entre la pratique kabbalistique et la recherche alchimique, provenant évidemment de la confusion entretenue selon eux par des chrétiens qui n’avaient – évidemment – rien compris…

https://www.massorti.com/Alchimie-kimiya-et-kabbale

Les chercheurs canadiens ont conçu un algorithme capable de déchiffrer 380 versions en langues différentes d’un même texte pour réaliser une approche de l’analyse du codex.

Ils ont choisi le texte de la « Déclaration Universelle des Droits de l’Homme » des Nations Unies.

(Choix totalement arbitraire mais qui est tout un symbole, et choix d’autant plus absurde qu’aucun des thèmes clairement abordés par le codex n’y est lié, et que les époques ne sont évidemment pas du tout les mêmes !)

« Lorsque l’intelligence artificielle a atteint un taux de réussite de 97 % pour faire correspondre des anagrammes à des mots modernes, les chercheurs y ont inséré du texte issu des dix premières pages du manuscrit de Voynich. L’algorithme a alors découvert que 80 % des mots codés semblaient être écrits en hébreu. »

Evidemment puisqu’au départ on avait conçu l’algorithme pour qu’il soit compatible avec telle une correspondance… Ce que l’article ne dit pas c’est – comme on doit s’y attendre – c’est combien de langues sont susceptibles de présenter ces mêmes fameux taux de « correspondance » …

(Et nous verrons que ce type de faux raisonnement leur a déjà joué de biens mauvais tours !)

Relever une correspondance supposée d’un terme codé avec un mot hébreu ne signifie nullement qu’un enchaînement au long du texte fasse sens !

C’est là qu’ils ont eu recours – on ne rit pas – à « Google translate » !

https://www.nationalgeographic.fr/sciences/le-mysterieux-manuscrit-de-voynich-aurait-il-ete-decrypte

A part une phrase vaseuse secondairement interprétée comme suit:

« Elle a formulé des recommandations au prêtre, à l’homme de la maison et à moi et aux gens »

Il n’en est rien sorti…

Il faut dire que Google Translate nous gratifie habituellement d’un charabia rarement compréhensible, lorsqu’il s’agit d’équivalences contemporaines, alors imaginer « traduire » ou seulement faire correspondre de l’hébreu médiéval, ou du yiddish du XVeme siècle avec de l’anglais contemporain, ce n’est plus de la recherche, c’est de l’humour !…

Cela n’a évidemment mené nulle part : le contenu du Voynich a conservé ses secrets…

Mais rien ne décourage nos génies…Surtout pas le ridicule !

Frustrés de cet échec, les spécialistes ont été beaucoup moins indulgents en Israël, en particulier ceux interviewés par le Times of Israël, soulignant à la fois les présupposés de la recherche, l’incohérence de la méthode et le manque de fiabilité des résultats…

https://fr.timesofisrael.com/les-scientifiques-ont-ils-dechiffre-un-tres-vieux-code-en-hebreu-pas-si-vite/

Par exemple les commentaires de Shlomo Engelson Argamon, professeur en sciences informatiques et directeur du Master de programme en sciences des données à l’Institut de technologies de l’Illinois :

« Le nouvel algorithme créé par l’équipe semble très bon pour des problèmes modernes, comme le déchiffrage des codes mais, dans son application au manuscrit de Vyonich, cela devient bien plus spéculatif. »

Autrement dit, ces travaux reposent entièrement sur un postulat de départ n’ayant aucune justification !

« L’algorithme est « seulement basé sur la statistique des lettres » – comme la fréquence de la lettre ou un double lettrage dans un mot – « et il ne s’intéresse pas à la grammaire ni aux problèmes basés sur le langage»

« Les scientifiques disent que la langue utilisée ressemble plus à l’hébreu qu’à d’autres. Selon moi, cela ne veut pas dire grand-chose ».

On n’est pas plus clair !

Concernant l’utilisation Google Translation, Argamon est catégorique. « Cela vous donnera une réponse pour presque tout : Si vous tapez la lettre ‘A’ 17 fois, Google Translate va vous donner quelque chose qui peut ressembler à une phrase si vous voulez vraiment y croire ».

C’est là que le professeur Matthew Morgenstern, chef du département de langue hébraïque et de linguistique sémitique à l’université de Tel Aviv a porté le coup de grâce :

« On s’attend habituellement à ce que lorsque quelqu’un a décodé un langage, le texte produit par le déchiffrage offre une cohérence. Dans ce cas précis, le processus de ‘déchiffrage’ produit un texte sans grammaire et incohérent qui semble être composé d’une série de mots non liés les uns aux autres…… Les auteurs de l’étude – ils le reconnaissent eux-mêmes – ne parlent pas hébreu. Connaître la langue originale à partir de laquelle un texte a été codé apparaît comme un préalable essentiel à tout processus de déchiffrage. »

Ainsi donc des non hébraïsants ont échafaudé toute une histoire de transcription affirmée hébraïque sur fond d’algorithme sans en connaître ni les tenants ni les aboutissants… L’échec était évidemment au rendez-vous…

Ainsi mouché, le professeur Kondrak a déploré dans la presse canadienne que la réception de son article par des spécialistes du Voynich ait été moins « qu’amicale ». (sic!)

Mais les histoires farfelues de décryptage à sensation ne sont pas rares chez nos amis…

L’affaire du « code de la bible » est encore dans toutes les mémoires :

Le journaliste juif américain Michaël Drosnin – associé aux 3 universitaires israéliens, Doron Witztum, Eliyahu Rips et Yoav Rosenberg se sont illustrés grâce à une arnaque intellectuelle peu ordinaire qui conduisait à supposer que l’agencement choisi de la succession des lettres qui composaient la Torah permettait de connaître, à partir d’un mot repéré par une séquence de lettres équidistantes (SLE), un certain nombre d’éléments en rapport avec lui, et donc de faire des prédictions…

Pour se faire, les intéressés, par traitement informatique, ont rangé les 304 805 lettres de la Torah en une séquence continue, sans espacement et sans intervalle.

Puis en choisissant arbitrairement un nombre donné n, et en sélectionnant une lettre toute les n lettres successives, on les range à la suite. (Une lettre sur deux, ou une sur trois, ou sur n’importe quel nombre de lettres)

On obtient ainsi un tableau de 304 805 / n lignes (à condition de commencer à la première lettre, sinon ce sera une ligne de moins).

Dans ce tableau on espère retrouver à un endroit donné la succession des lettres formant un certain « mot indice » choisi à l’avance, devant y être repéré. A partir de ce mot apparaissent autour des vocables faisant sens traduisant de potentielles prédictions concernant le mot indice.

C’est ainsi que Drosnin finit par être reçu par les plus hautes instances gouvernementales israéliennes après avoir fait remarquer qu’il avait  prédit en 1994 le futur assassinat du premier ministre israélien Yitzhak Rabin…

Il réussira à persuader le gouvernement israélien, mais aussi la CIA, du bien fondé de ses idées, et tout le monde se mettra à supputer sur les résultats de messages prédictifs retrouvés dans la Torah par cette méthode, pour le traitement de laquelle les calculateurs de certains laboratoires de la défense nationale israélienne et américaine furent même mobilisés !

Ne rions pas : nous avions déjà eu, en France, un certain Jacques Benveniste qui nous avait démontré que l’eau était une substance intelligente à mémoire de forme…

Cela lui avait valu d’être le premier lauréat, en 1991, de l’anti prix humoristique « Prix ig. Nobel ».

Le mathématicien australien Brendan McKay, quelque peu dubitatif, a repris la méthode, en contrôlant les résultats probabilistes fournis par Drosnin et les mathématiciens israéliens, sur la base de l’ouvrage « Guerre et paix » soi-disant utilisé par eux comme contre-exemple…

On notera au passage, première entorse à une certaine rigueur scientifique, que cet ouvrage est rédigé dans une langue complètement différente, dotée d’un alphabet beaucoup plus riche (50%) que l’alphabet hébreu.

Nous n’avons évidemment pas là des langues de structures comparables !

C’est la même erreur méthodologique que nous avons soulignée dans le décodage raté du Voynich !

Et les vérifications se sont toutes avérées clairement non significatives : autrement dit, les résultats présentés par Drosnin et ses acolytes à partir de la Torah n’avaient aucune légitimité statistique.

Brendam Mac Kay a ensuite démontré que cette méthode du « séquençage de lettres équidistantes » pouvait s’appliquer avec succès à « Moby Dick », y trouvant neuf fois une allusion à l’assassinat d’un premier ministre, dont aussi celui d’Yitzhak Rabin, de Martin Luther King et à l’accident mortel de Lady Di.

Pire, Mc Kay s’est amusé, à partir du même texte de Moby Dick, à appliquer la méthode proposée au mot indice MDROSNIN et là, il découvrit par cette méthode que « Michaël Drosnin allait être assassiné à Athènes ou au Caire » !

Mieux vaut en rire…

Ces brillants personnages se vantèrent moins de s’être fait décerner conjointement le prix ig. Nobel en 1997 pour « leur découverte statistique capillotractée prouvant que la Bible dissimule un code secret. » (sic!)

Mais Michaël Drosnin continue de jouir d’une grande popularité et a publié trois livres de ses « prédictions » !

Aux dernières nouvelles il est toujours vivant, même si personne ne peut dire s’il est bien allé au Caire ou à Athènes….

C’est aussi cela le « génie juif »

Claude Timmerman

1 Le codex de Voynich a été très fidèlement reproduit grâce aux procédés techniques les plus récents et publié par les éditions Hadès, avec toutes ses illustrations en couleurs fidèles et une intéressante notice historique qui fait le point sur les connaissances actuelles concernant la transmission de ce document exceptionnel

« Le Voynich – fac-similé du manuscrit » Ed. Hadès – 32 Boulevard de l’Europe, 76 100 Rouen Cedex – 2013

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