Visiblement, les distributeurs de moraline en manquent singulièrement pour eux. Après les féministes harceleurs sexuels, les chasseurs de fraudeurs aux comptes en Suisse, les défenseurs des travailleurs fâchés avec le droit du travail, les antiracistes racistes, voici deux nouveaux spécimens de Tartufes gouvernementaux, de gauche, inutile de le préciser…

L’écolo pollueur. On ne présente plus Nicolas Hulot, écologiste, un tiers-mondiste deux-tiers mondain, et par ailleurs à l’époque où il animait Ushuaia, admirateur des dictatures communistes (en l’occurrence, le Vietnam). Ses déclarations à la HATVP (Haute Autorité sur la Transparence de la Vie Publique), outre le fait qu’il possède un patrimoine de 7,3 millions d’euros (en a-t-il fait profiter ses amis les colons ?), font sourire. Monsieur le super-ministre de l’écologie qui lave plus vert, possède la bagatelle de 9 véhicules à moteurs, dont certains particulièrement polluants. Monsieur Hulot aime la technologie allemande, ce qui n’est pas incompatible avec ses idées. Après tout, l’Allemagne fut la pionnière mondiale de l’écologie et ce, bien avant Die Grünen… Le IIIe Reich était en effet très vert (à tel point qu’en ignorance totale de la source, les Grünen jugèrent « excellentes » les lois écologistes nazies qui leur avait été présentées comme « les idées d’un militant »), un vert plutôt vert-de-gris, mais vert quand même. Monsieur Hulot est donc l’heureux propriétaire d’une moto BMW, d’une voiture BMW, d’un scooter électrique BMW, d’une Volkswagen, mais aussi d’un Land Rover et d’un Boxer Peugeot, plus une 2CV. Question à 100 sandwichs à l’avocat et au tofu : quelle peut bien être l’empreinte carbone de tout ce parc automobile ???

La laïcarde contre l’école publique. On ne présente plus non plus Marlène Schiappa, ministre chargée de l’égalité des sexes, auteure de bouquins pornos, et fille du cathophobe Jean-Marc Schiappa, dont elle a hérité des convictions maçonniques… Elle s’illustra le 25 novembre 2017 à l’Elysée où, devant le Président Macron, le chonchon à sa Gigitte, et en présence de l’immonde Florence Foresti (une « humoriste » qui a publiquement souhaité l’assassinat d’un Président légalement élu au motif qu’il n’était pas de gauche comme elle) et de l’incompétente raciste, sexiste et gérontophobie Delphine Ernotte, elle exigea une minute de silence pour les femmes mortes sous les coups de leur conjoint (les hommes morts de la part de leur conjointe et les enfants morts sous les coups de leur mère, eux, sont considérés comme des dommages collatéraux. Schiappa a deux dadas : l’égalité des femmes et la laïcité. Pour la première, on attend encore ses mesures pour amener plus d’égalité dans le genre des soldats tués au front (100 % d’hommes), des morts d’accident du travail (95 % d’hommes) et des SDF morts dans la rue (90 % d’hommes)…  Pour la seconde, on a affaire à une femme dont le père prétendait que la France n’avait aucune racine chrétienne. Une femme qui déclarait en parlant de la très stalinienne et cathophobe Ligue des droits de l’Homme : « Elles ne sont pas si nombreuses, par les temps qui courent, les organisations qui affirment leur combat contre le cléricalisme, les cléricalismes, la doctrine sociale de l’Eglise ! », terminant son discours par un très maçonnique « salut et fraternité ! ». Une femme qui, par contre, refuse de scolariser ses enfants dans l’école publique, préférant les mettre dans un établissement catholique du Mans, comme l’a déclaré l’ancienne député socialiste Sylvie Tolmont, qui dénonça « « l’incohérence manifeste entre sa communication valorisant l’école publique laïque et son choix de scolariser ses enfants dans une école confessionnelle, tant il me semble qu’on puisse légitimement interroger cette contradiction majeure ». Shiappa montra son vrai visage, celle d’une vipère (lubrique ?), tout dans l’élégance et le vivre-ensemble maçonnique : « Je savais que tu étais une personne inculte, méprisable, aigrie. (…) Tu n’as jamais été capable d’en avoir [des enfants] toi-même donc peut-être ne sais-tu pas que c’est un principe de vie : on ne touche pas aux enfants et on ne s’en sert pas politiquement. ». Ceci dit, on se demande ce qui est le plus scandaleux… qu’une « franc-mac », qui sait très bien le niveau de l’école publique, mette ses enfants « chez les curés » (ce que fit d’ailleurs en son temps le patron de L’Humanité Patrick Le Hyarick) ou que des écoles « catholiques » acceptent que l’ennemi viennent mettre ses œufs dans son panier au détriment d’enfants catholiques, certes socialement moins haut mais qui mériteraient plus d’y être ! Sans compter que certaines écoles catholiques ont interdit l’inscription d’enfants d’élus du Front National, qui – a contrario des frères trois points – ne sont pas des ennemis avoués de l’Eglise ! ».

Faites ce que dis, pas ce que je fais, c’est le motto du distributeur de moraline.  De la part d’un ministre qui est le pire imposteur en vert jamais vu (juste après l’effectif actuel de l’AS Saint-Etienne) et d’une ministresse plus maçonne que franche, c’est devenu une preuve accablante, une parmi tant d’autres, de l’hypocrisie congénitale de la gauche…

Hristo XIEP

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