INSERM-mpi 

Lyssenko, rappelons-le, est un savant russe qui tripatouillait les recherches scientifiques pour les mettre au service du stalinisme. Ses émules règnent toujours parmi nous pour se mettre au service du totalitarisme idéologique régnant. 

Il existe un comité d’éthique dans le cadre de l’INSERM. Le 17 juin, il s’est réuni dans l’auditorium de l’hôpital Pompidou. Deo gratias, ses membres ne sont pas seulement recrutés en fonction de leur compétence. L’importance est qu’il y ait une parité hommes-femmes quitte à prendre des nuls. Passons… Le champ de compétence de ce groupe s’étend à toute la médecine, la recherche biomédicale, l’économie de la santé. Or cette année, plus politiquement correct, tu meurs ! Il se penche sur la question du genre et celle de la recherche sur les embryons. 

En ce qui concerne cette dernière, faute de résultat, le comité en question veut « sensibiliser » sur ce type de recherche. Notamment pour transformer des cellules souches embryonnaires en gamètes (ovules et spermatozoïdes). Or cela a déjà été réalisé depuis longtemps sans détruire des embryons. Par exemple, il y a deux ans, un professeur Japonais du nom de Michinori Saito a réussi à transformer en gamètes les fameuses cellules de la peau découvertes par Yamanaka. Le comité INSERM en question arrive trop tard comme les cavaliers d’Offenbach. De plus, selon lui, il faudrait parfaire la connaissance de l’embryon histoire d’améliorer le succès des PMA. Simple vœux pieux ; d’autant qu’il n’y a peut-être pas de relation de cause à effet. 

Mais c’est en matière de gender que l’alignement sur le politiquement correct est le plus flagrant. Citation : Il faut « Sensibiliser les chercheurs au fait que la biologie ne doit pas masquer le rôle joué par les constructions sociales dans les comportements de santé. » Traduire : la biologie a donné un sexe à vous et moi. Celui-ci a été encouragé par la société dès la naissance. Mais ce n’est probablement votre genre « réel ». Vous êtes un homme, on vous a élevé en garçon. Or au fond vous-mêmes vous vouliez être une fille. Il faut donc que la société vous aide à le révéler à vous-mêmes et aux autres. Sinon, cela va engendrer chez vous un malaise, voire vous rendre malade. Il faut donc que les chercheurs travaillent sur le sujet. Découvrir que votre sexe et la société qui vous ont élevé vous ont rendu malade…

Nous nous trouvons alors face à un véritable renversement de la biologie voire de la médecine. Dans le fond il s’agit de réveiller cette chose en nous qui dort. Puis en ayant pris conscience de cette situation déterminer les incidences sur notre (et votre) santé et vite vous faire changer de « genre. »

Un homme normal ou un médecin pensent que changer de sexe va créer des troubles psychiques. Ils ont tout faux ! C’est le contraire ! Ne pas changer de sexe et de genre donne des troubles que le comité d’éthique de l’INSERM veut faire découvrir. Il emboîte allègrement le pas aux Chatel et autres Peillon. La main sur la couture du pantalon. Ein, Zwei , un-deux et en avant. Il faut « Monter des ateliers pédagogiques sur la notion de genre et l’articulation genre/santé ».

Le comité d’éthique de l’INSERM – on ne sait comment il a été nommé- défie la nature humaine millénaire pour enfoncer le monde dans la folie.

Rappelons notre post précédent. Ceux qui changent biologiquement de sexe se suicident vingt fois plus que le reste de la population. Changez de sexe si vous le voulez messieurs et dames de l’INSERM. Mais ne touchez pas à nos enfants !

 

 

 

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