Décidément, dans ce monde occidental devenu fou et qui marche sur la tête, on aura tout vu !

Soutenus par l’inertie d’états européens dirigés pas des politiques qui trahissent leur mission de défense de leur population, sans vergogne aucune mais plutôt avec un aplomb certain, les immigrés clandestins se révoltent et se mettent “en grève”, en Italie !

Du nord au Sud, des Alpes à la Sicile, le mécontentement des étrangers traverse tout le pays depuis l’été. C’est la énième révolte, c’est le énième cortège : encore des récriminations, encore des revendications par des personnes dans le simple fait d’être sur le territoire italien sans papiers constitue cependant un délit !  Après ce qui vient de se passer à Cologne, ces nouvelles “grèves” de clandestins  sont indigestes au possible.

A Lampedusa, ce sont environ 200 immigrés, venant pour la plus part d’Érythrée et du Soudan, qui ont fait “un sitting” devant l’église parce qu’ils refusent de donner leurs empreintes digitales selon les dispositions bruxelloises imposées à l’Italie. Or sans prélèvement d’empreintes, pas de déménagement pour des contrées nordiques encore plus hospitalières, telle la France par exemple ! C’est donc avec des pancartes où il est écrit “Respecter nos droits” qu’ils ont manifesté leur colère : “Nous ne croyons pas dans les procédures de relogement : certains de nos co-nationaux attendent depuis trois mois un endroit où aller. Certainement nous ne voulons pas finir en Pologne, en Lituanie ou au Portugal” explique un de leur porte-parole. Sidérant !

Il y a quelques jours, c’était en Sardaigne où ces clandestins, en situation irrégulière dans le pays, rappelons-le, ont défilé en cortège, à Cagliairi  pour critiquer l’accueil qui leur est réservé dans le centre qui les reçoit :  ils protestent contre l’assistance sanitaire, eux qui souvent ne l’ont jamais connue dans leur vie antérieure, mais on se fait vite au confort occidental !, ils dénoncent une trop grande lenteur dans l’approvisionnement en vêtements, d’ailleurs peut-être que ceux-ci ne sont pas assez à la mode !, ils réclament de l’eau en bouteilles car, disent-ils celle du robinet leur provoque des maux de vendre, et par dessus le marché, ils estiment que leur centre d’accueil est trop décentralisé. En somme, c’est à un hôtel 5 étoiles, en plein centre de la ville, qu’ils prétendent !

Certainement beaucoup d’Italiens pauvres, mal-logés, mal-vêtus, mal-nourris, aimeraient recevoir le petit quart de ce que ces migrants prétentieux et arrogants obtiennent de la part des autorités italiennes et européennes. Mais bon, le petit blanc chrétien c’est une sous-catégorie. Et c’est le début de la dhimmitude…

Francesca de Villasmundo

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