L’actrice, et concubine du Président « normal »,  est la marraine d’une campagne pour lutter contre le machisme, mise en place par le gouvernement. “Rendre visible l’invisible”. C’est ainsi que Julie Gayet souhaite lutter contre le sexisme et pour cela elle n’hésite pas à rendre invisible des vérités qui nuisent à la « cause ».

Ce sont nos confrères de Minute qui ont mis en exergue deux mensonges sexistes de la pasionaria élizéenne :

« Dans un entretien à « Le Parisien-Magazine » du 9 septembre, elle a expliqué que la lutte pour le droit des femmes, elle a ça dans les gènes, en prenant comme référence son arrière-grand-mère, qui aurait été l’une des premières femmes médecins en France : « Elle a ouvert une voie puisqu’elles n’étaient que trois à cette époque. » Est-ce bien vrai ? Julie étant née en 1972, on peut estimer, en retenant une tranche générationnelle de 25 ans, que l’arrière-grand-mère est née vers 1900. Or à cette époque, d’après les archives de la faculté de médecine, il y avait déjà en France vingt-huit femmes diplômées de médecine. Alors à moins de prendre une machine à remonter dans le temps, mamie n’est pas dans le tiercé gagnant…

Mais il y a plus étonnant. Julie Gayet explique que son arrière- grand-mère n’ayant pas le droit d’ausculter les hommes nus (sic), elle s’est dirigée vers la recherche, avec un incroyable succès :

« C’est elle qui a inventé l’héparine [un anticoagulant, ndlr] ». Or tous les dictionnaires médicaux sont formels : l’héparine a été élaborée en 1916 aux Etats-Unis par deux hommes, Jay McLean et William H. Howell ! De petits mensonges pour enjoliver le passé, ce n’est pas la fin du monde. Mais quand on est la marraine d’une opération pour la promotion féminine et la lutte contre les préjugés sexistes, disons que ça la fout mâle… Tous les machos vont encore dire que les femmes sont d’adorables menteuses ! »

Mais mademoiselle Gayet n’est pas qu’une menteuse à la petite semaine, elle est aussi amatrice de sang et de bizarreries gores. Sa dernière production «  Grave », le film de Julia Ducournau qui décrit la conversion forcée d’une adolescente au cannibalisme, a entraîné des évanouissements en chaîne lors de sa projection au festival de Toronto. La jeune Garance Marillier y interprète une jeune végétarienne qui, lorsqu’elle intègre sa nouvelle école, est soumise à un bizutage à base de dégustation de viande humaine. « Ce petit gueuleton semble avoir laissé un goût amer au public, puisqu’une ambulance aurait été appelée afin d’évacuer trois spectateurs «qui se sentaient mal», selon Ryan Werner, du Hollywood Reporter ».(Figaro du 15/09/2016).

Lui, il est peut-être menteur et « normal », mais à l’évidence, elle, elle est surement menteuse et pas très « normale »

Ludovic CENSIER

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