Amada-Rosa-Perez-priant

Sous le slogan “Chaque vie est importante”, une manifestation de masse sera organisée le 22 novembre en Espagne. Cette manifestation bénéficie du soutien de nombreuses personnalités pro-vie de par le monde. Parmi elles, le mannequin Amada Rosa Pérez.

Amada Rosa Pérez était au début des années 2000 l’une des femmes les plus prisées par les agences de mode, avant de disparaître de la scène publique en 2005. Elle avait connu un grave problème de santé qui pouvait paralyser une partie de son visage et qui lui a fait perdre 40 pour cent de son audition à l’oreille gauche. Mais cette épreuve l’a rapprochée de Dieu.

En 2010, Amada Rosa Pérez faisait à nouveau les manchettes des médias hispaniques, mais cette fois en partageant le récit de sa conversion.

“Maintenant, je vis dans la paix, je profite de chaque instant que Dieu me donne. Je vais à la messe, je prie le chapelet tous les jours, ainsi que la Miséricorde Divine”. 

«Je me confesse souvent”. 

Amada-Rosa-Perez-chapelet

Amada a redécouvert la véritable vie de famille, soutenue par la Foi, et reste en relation étroite avec une communauté religieuse en Colombie.

«Être un modèle signifie être une référence, quelqu’un dont les croyances sont dignes d’être imitées, et je suis fatiguée d’avoir été un modèle de superficialité. Je suis lassée d’un monde de mensonges, d’apparences, de fausseté, d’hypocrisie et de tromperie, une société pleine d’anti-valeurs qui exalte la violence, l’adultère, la drogue, l’alcool, les conflits, et un monde qui vénère la richesse, le plaisir, l’immoralité sexuelle et la fraude.” 

“Je veux désormais être un modèle qui favorise la vraie dignité de la femme et pas son utilisation à des fins commerciales».

Depuis la Colombie, Amada Rosa Perez, a aussi confessé qu’elle avait subi un avortement suivi du syndrome post-avortement. Dans son témoignage, le modèle raconte: “A cette époque où j’étais enceinte, j’aurais souhaité trouver l’aide de quelqu’un, quelqu’un qui m’aurait dit quelque chose de positif et de beau, comme qu’être maman ce n’est pas mal.

Le syndrome post-avortement est une réalité pour toutes les femmes qui ont avorté. Parmi les manifestations de ce syndrome : la culpabilité, la tristesse, le désespoir, le pessimisme, les cauchemars, la perte de concentration et de motivation, des pleurs sans raison apparente, la perte d’énergie, les nausées. Il peut également conduire à l’anorexie, l’alcoolisme, le rejet de tout ce qui implique un engagement ou la froideur émotionnelle.

Le mannequin explique qu’elle a avorté parce que dans son entourage elle ne rencontrait que des réactions lui disant qu’il fallait privilégier sa carrière. Elle avoue qu’elle a eu peur, qu’elle ne l’a pas dit à ses parents et a décidé de se débarrasser de son bébé.

Dans ce contexte, elle apporte son entier soutien à la manifestation du 22 novembre. « Chaque vie compte » et cette manifestation défendra, outre la vie des bébés non nés, la protection des femmes enceintes qui ont besoin d’un environnement social favorable, où la maternité est défendue avec des mesures concrètes de soutien à la femme enceinte pour qu’elle ne soit pas condamnée à l’avortement.

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