La Cour de cassation vient de violer le droit et de s’ériger en législateur en effectuant une reconnaissance détournée de la GPA. Désormais, loin d’être sanctionnés, les personnes qui se livrent à ce macabre marchandage se verront reconnus et protégés par la loi, obligeant les institutions à inscrire les enfants qu’ils auront achetés sur l’état civile.

Une telle décision non seulement contrevient au droit actuel et constitue donc une déni de justice et une violation de l’état de droit par les magistrats eux-même, mais surtout détruit un peu plus jusqu’au bon sens et jusqu’au fondement le plus naturel de notre société. Le “droit à l’enfant” est érigé en principe absolu sous prétexte de protéger l’enfant.

Jacques Bompard a publié un communiqué rappelant la réalité de la GPA :

Elle encourage de fait, et sans considération aucune pour les effets induits sur le trafic d’êtres humains, le recours aux mères porteuses.
Si les médias ont voulu abreuver les Français de belles histoires de GPA, la réalité est tout autre : la GPA est un colonialisme abject qui ne s’en prend plus aux territoires mais exclusivement aux personnes. Des usines à bébés fleuriront donc encore davantage au Nigéria ou en Inde. En ces périodes de soldes on attend bientôt des actions de groupes de duos, homosexuels ou non, participant à cette phase ultime de réification de l’Homme.

Les tenants de la culture de mort qui veulent “marchandiser” la vie et les êtres nous ont effectivement abreuver des bonnes intentions de ceux qui veulent soit disant combler le vide juridique entourant ces enfants.

La seule manière qui conviendrait à un Etat voulant préserver le bien commun et les intérêts des enfants et des plus faibles serait la suivante :

– la reconnaissance de la criminalité de l’acte de la GPA

– incarcération immédiate et définitive des personnes se livrant aux trafic d’enfants via la GPA

– confier l’enfant à une famille d’accueil stable.

Face à un tel crime, la répression devrait être d’une sévérité extrême, car l’enfant n’est pas un jeu, il n’est pas un droit, et il n’est pas là pour satisfaire les caprices des quelques déséquilibrés contre nature. Les enfants sont l’avenir, en les détruisant dans leur psychologie et dans leur construction, c’est la société tout entière qui se voit menacée. Car qu’on ne s’y trompe pas, la GPA n’a pas pour objectif de combler la fertilité d’un couple, elle a pour but de livrer des enfants à des duos homosexuels. Une “valeur” supplémentaire de la République, sans doute.

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