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Alors que la France promet des aides en Tunisie, en Grèce et ailleurs, et qu’elle ouvre des centres d’accueils pour les immigrés et promet le doublement des mosquées, la dette publique de la France a augmenté de 51,6 milliards d’euros au premier trimestre pour atteindre 2.089,4 milliards fin mars, soit 97,5% du PIB, selon les statistiques publiées aujourd’hui par l’Insee. Le ratio de la dette publique sur le PIB a augmenté de 1,9 point par rapport au dernier trimestre de 2014 qui n’était encore (si on peut dire!) qu’à 95,6%. Il s’agit de la hausse la plus forte depuis le premier trimestre 2012. L’objectif affiché du gouvernement était de 96, 3% pour l’année, ce qui prouve, même s’il le sous-estimait, qu’il avait conscience de poursuivre l’endettement de la France. Il faudrait un redressement plus qu’improbable pour que l’objectif de 96,3% soit rétabli en fin d’année.

Alors que Manuel Valls, Français récent, met à la charge des Français ses menus plaisirs, comme aller soutenir l’équipe espagnole de foot de Barcelone, la seule dette de l’Etat a augmenté de 37,1 milliards d’euros sur le premier trimestre pour s’élever à 1.647,3 milliards, précise l’Insee.

Certes, ce n’est pas un déplacement en Allemagne qui fait la différence. Par contre le renflouement des banques, notamment françaises, qui ont prêté avec la complicité et la garantie des instances de l’Union européenne, des sommes colossales à La Grèce pour la faire entrer dans l’union européenne alors qu’elle n’était pas au niveau requis, correspond presque au surplus de la dette de ce premier trimestre. Et pourtant personne ne songe à solliciter les tribunaux pour leur demander des comptes. Depuis, il est vrai, les contribuables ont encore été sollicités pour maintenir à flot les banques grecques. Et pire encore, personne ne pense (sauf le FN) à faire sortir la France du processus infernal dans lequel l’a plongé son adhésion à l’eurozone.  

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Dans le détail, la dette, suivant les critères de Maastricht, comprend en plus de la dette de l’Etat à proprement parler, celles de la sécurité sociale (232,6 milliards fin mars, soit +15,8 milliards), des administrations publiques locales (187,4 milliards, en retrait de 0,8 milliard) et des organismes divers d’administration centrale (22,1 milliards, soit -0,5 milliard). La dette nette des administrations publiques s’élevait à 1.868,0 milliards d’euros fin mars, soit 87,1% du PIB contre 86,8% à la fin 2014 (1.610,2 milliards), en progression de 17,6 milliards sur trois mois, ajoute l’Insee.

En ce qui concerne la dette de l’Etat il serait intéressant (mais cela nous ne l’aurons jamais!) de savoir le coût cumulé de l’immigration, avec ses retombées telles que le terrorisme islamiste pour lequel toutes les forces de police et même en partie de l’armée, sont mobilisées en permanence. Le coût induit du soutien à la rébellion islamiste contre Bachar el Assad en Syrie, contre Kadhafi en Libye, avec les livraisons d’armes, le contrôle des traîtres français de l’islam, l’extension de la guerre terroriste à partir de la Libye et de la Syrie en Afrique noire, les rallonges multipliées de Manuel Valls dans les quartiers d’immigration récente pour lutter contre l’islamophobie (sic!), etc. etc. Mais rassurons-nous, les oligarques apatrides y trouvent leur compte!

En ce qui concerne la dette de la Sécurité sociale ou des caisses de retraites, alors que les Français voient leurs remboursements et leurs retraites diminuer sans cesse, ces organismes sont très généreux avec les clandestins, qui pourtant n’ont aucun droit à être sur le territoire national, et très généreux aussi avec les étrangers qui ont droit d’y être, leur donnant souvent des droits supérieurs à ceux des nationaux.

Gaspillage éhonté!

Cette explosion de la dette intervient alors que la trésorerie de l’Etat bénéficie d’une “très forte hausse” (+31,9 milliards), explique l’institut.

En d’autres termes, sans cette “très forte hausse” de la trésorerie de l’Etat, ce ne serait pas 51,6 milliards de déficit supplémentaire que la France aurait eu à déplorer mais:

51,6 milliards + 31,9 milliards = 93,5 millards de gabegie supplémentaires!

Et cela avec la vente de pans entiers de la France à l’étranger! Pour quel résultat concret en matière d’emploi et de croissance industrielle ? Rien que de mauvais chiffres! Mais par contre ceux de la délinquance, du terrorisme et de l’immigration progressent sans problème en dépit des mensonges d’Etat, alors que les deux têtes du pouvoir socialiste distribuent les euros durement gagnés des Français pour s’acheter des électeurs musulmans en une campagne électorale permanente! C’est dire si le pouvoir socialiste avec François Hollande et Manuel Valls, est peu soucieux des finances que les Français leur ont bien imprudemment confiées. N’est-il pas temps d’essayer autre chose?

Le gouvernement prévoyait pour l’année, selon une estimation des finances publiques publiée en avril, que la dette publique atteindrait 96,3% du PIB fin 2015 et culminerait à 97,0% en 2016 avant de revenir à 96,9% en 2017. Le ratio de 2014, annoncé alors à 95,0%, a été depuis corrigé à 95,6% (2.037,8 milliards).

Avec la progression exponentielle de la dette publique tandis que la France se trouve en position économique avantageuse par rapport aux années précédentes, on peut imaginer ce qu’il en sera RÉELLEMENT à la fin de l’année, avec les catastrophes économiques annoncées, si la France ne se dégage pas de l’Union Européenne et de la monnaie commune.

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