Une requête de l’association El Fath, qui réclame l’ouverture définitive de la mosquée de Fréjus, a été déboutée ce lundi par le tribunal administratif dans l’attente du jugement sur le fond. Les raisons invoquées par le conseil municipal de Fréjus pour interdire l’ouverture de cette mosquée tiennent au fait que cet édifice a été construit sans permis de construire… tout simplement.
Voici ce qu’en disait le sénateur-maire FN de Fréjus: “Je conteste cette décision. Si demain je construis un édifice pour 2.000 personnes sans permis, mais que je l’assigne à une religion que j’inventerai pour l’occasion, le tribunal dira sans doute que c’est possible… Le permis de construire modificatif de cette mosquée est illégal, et je préciserai demain les actions juridiques que je vais entreprendre”, avait expliqué le maire à Libération.
Sous la pression de l’association musulmane qui avait déposé un recours, le tribunal de Toulon qui aurait du juger selon la loi en toute sérénité, s’était laissé guider par la peur de l’émeute des musulmans et avait enjoint le conseil municipal a reconsidérer son arrêté et à l’ouvrir spécifiquement le jeudi pour la fête islamique de l’Aïd.  S’il s’était agit de chrétiens désirant ouvrir une église pour la fête de Pâques, le jugement du tribunal aurait certainement été bien plus conforme à la loi. Mais imagine-t-on un une église ouverte sans permis de construire ?

La mairie avait convoqué les habitants de Fréjus, le  jeudi 24 septembre, à se rassembler sur la plage pour protester contre cette décision du tribunal prise sous la pression et dont elle contestait la légalité.

“Que la justice française autorise l’ouverture d’une mosquée pour éviter une émeute, c’est intolérable”, avait lancé le sénateur-maire de Fréjus.

rachline

C’est donc un nouvel épisode judiciaire, cette fois-ci en faveur de la municipalité de Fréjus, qui s’est soldé ce lundi par le rejet d’un nouveau référé-liberté, déposé le 15 octobre dernier par l’association El Fath, laquelle demandait l’ouverture définitive de la mosquée de la Gabelle.

Une requête qui faisait suite à la décision implicite de refus du maire de Fréjus de délivrer une autorisation d’ouverture.

Dans son ordonnance, le juge des référés du tribunal administratif de Toulon a notamment considéré que cette décision du premier magistrat n’empêchait pas “l’exercice effectif d’une liberté fondamentale” (en l’occurrence, la liberté de culte) et qu’il n’y avait pas “d’urgence caractérisée” qui rendrait nécessaire l’intervention dudit juge. (Source Var matin)

Les habitants de Fréjus sont donc dans l’attente d’un jugement sur le fond du dossier. Mais qu’ils ne se fassent aucune illusion, ce n’est pas au nom des racines chrétiennes de la France que la construction de mosquées pourra être ralentie. Les lois françaises n’ont rien prévu pour protéger l’identité de la population qui a fait la France. Au contraire les lois ne cessent de s’accumuler pour supprimer toute protection et la faire disparaître en lui ôtant toute possibilité de se défendre.

Lorsque les milliers et centaines de milliers d’immigrés en très grande majorité, mâles, jeunes, et musulmans, qui déferlent sur l’Union en ce moment à travers les frontières ouvertes sous l’instigation des oligarques de Bruxelles, auront obtenu le regroupement automatique des divers membres de leurs familles, les ouvertures de mosquées seront si nombreuses que les églises disparaîtront du paysage avec les chrétiens, à moins que cela ne dégénère en guerre de religion…

 

 

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