once_upon_a_timeA quelques semaines des élections présidentielles américaines, les médias officiels français persistent dans leur inféodation totale à Hillary Diane Clinton et tout ce qu’elle incarne : le bellicisme, le racisme inversé, la technocratie, la corruption, le mondialisme et la soumission à la haute finance apatride. Hillary Clinton est la candidate de la guerre et de Wall Street, très exactement comme l’était son prédécesseur Franklin Delanoë Roosevelt. A une exception près : nazisme et communisme ayant disparus, Hillary Diane joue Berlin contre Moscou alors que F.D.R jouait Moscou contre Berlin.

Dans leur propagande éhontée, ils n’hésitent pas à parler du « bilan économique positif » de Barack Hussein Obama. Positif, et même « globalement positif » comme disait Georges Marchais sur un autre bilan, économiquement guère plus mauvais. Obama fut le plus désastreux, le plus calamiteux président américain, reléguant la Présidence du sympathique James Earl « Jimmy » Carter au rang de success story. Il a d’ailleurs été désigné le plus incompétent président américain par l’économiste Edward Wozniak devant Harding, Carter et Harrison. Une brochure de 40 pages suffirait à peine à analyser ce fiasco. Nous allons nous contenter de donner des faits bruts :

  • Obama a contracté plus de dettes que les 43 présidents qui l’ont précédé réunis. La dette actuelle frôle les 20.000 milliards de $, ayant crû de 675 milliards pour la seule année 2015, le taux d’endettement dépassant les 100% du PIB (103 %), supérieur à celui de la France (97 %) alors qu’il n’était que de 60 % à son arrivée à la Maison Blanche pour une dette de 10.600 milliards. Les Etats-Unis représentent 29 % de la dette mondiale contre 23 % de l’économie mondiale. C’est certes moins pire que le Japon (20 % et 6 %) mais ce dernier a des réserves de trésorerie que les Etats-Unis n’ont pas. Quant à la France, elle représente 4,3 % de la dette et 3,3 % de l’économie mondiale.
  • La mandature Obama fut celle de la planche à billet à gogo : le nombre de dollars émis a plus que quadruplé, passant de 800 milliards à 3.700 milliards. La monnaie américaine est aussi garantie que des billets de Monopoly, puisque fondée sur des réserves d’or à l’existence douteuse (Dominique Strauss-Kahn l’a appris à ses dépens).
  • La part de bons du Trésor rachetés par la FED est passée de 478 milliards à 1.671 milliards sous la présidence Obama.
  • Sous sa présidence, la dette étudiante a été multipliée par 7, passant de 100 à 700 millions et les dettes des entreprises ont atteint en mai 2016 la somme totale de 6.600 milliards de dollars. 53 % des diplômés universitaires sont au chômage ou sous-employés. Aujourd’hui, environ 25 millions d’adultes américains vivent avec leurs parents.
  • Le chômage a atteint des records, même si une pirouette statistique prétend démontrer le contraire. Le nombre d’Américains en âge de travailler et ne travaillant pas n’est pas de 7,9 millions comme le prétend Obama mais de… 102,6 millions ! C’est-à-dire 37 % de la population active. Ce chiffre doit être minoré si on retire les femmes au foyer, exerçant de leur plein gré le merveilleux métier de maman. Les chiffres officiels prétendent que sous Obama le chômage est passé de 10 à 5 %, en réalité il est monté de 12 à 24 %, au niveau des chiffres officiels de l’Espagne et de la Grèce.
  • 47 millions d’Américains vivent sous le seuil de pauvreté, dépendant des bons alimentaires pour se nourrir, dont 20 % des enfants américains. Avant la présidence Obama, ce taux n’était « que »de 12 %. La somme dépensée par l’Etat pour ces bons est passée sous Obama de 30 à 75 milliards de $. Un million et demi de familles aux Etats-Unis vivent avec moins de 2 $ par jour, ce chiffre a doublé sous la présidence Obama. 65 % des enfants américains vivent dans une famille bénéficiant des aides sociales.
  • Le revenu médian des Américains sous Obama a baissé de 10 %, passant de 57.000 à 52.000 $ par an.
  • 95 % des emplois détruits par la crise étaient ceux de la classe moyenne blanche et ont été remplacés par des emplois précaires.
  • Le nombre d’enfants sans-abris a augmenté de 60 % au deuxième trimestre 2015 pour atteindre le chiffre de 1,6 millions. Cet accroissement est dû à la ruine des petits blancs de la classe moyenne. La pauvreté enfantine place les Etats-Unis au 36e rang sur 41 dans l’OCDE. Il y a 565.000 clochards aux Etats-Unis, soit la population d’Albuquerque ou Milwaukee.
  • L’Obamacare a été un désastre de la classe moyenne (dans son écrasante majorité blanche), trop « riche » pour bénéficier des aides d’Etat et trop pauvre pour s’assurer convenablement. 900.000 emplois perdus, primes augmentées en moyenne de 24 %, 47 % des Américains ne pouvant faire face à une dépense médicale de 400 $. Le passif prévu de ce système de santé est de 38.000 milliards de $.
  • Le miroir aux alouettes du gaz de schiste a mis 20.000 entreprises en faillite et le prix du gallon d’essence est passé de 1,85 à 3,6 $ depuis son élection.
  • Chaque jour, 23 usines ferment aux Etats-Unis et 30 % des chômeurs ne retrouvent pas d’emploi au bout d’un an, contre 10 % avant son élection.
  • L’infrastructure des ponts et chaussées aux Etats-Unis est totalement obsolète et mal entretenue. La France et le CNRS n’ont pas le monopole des études onéreuses et bidons : l’administration Obama a dépensé 175.587 $ pour savoir si la cocaïne causait chez la caille du Japon des comportements sexuels à risque.
  • 48 % des adultes de moins de 30 ans pensent que le rêve américain est mort.

En 1939, suite au désastre du New Deal, les Etats-Unis avaient non seulement toujours autant de chômeurs qu’en 1933 mais en plus les caisses vides. La seule solution qu’ils trouvèrent pour s’en sortir fut la guerre comme l’annonçait Roosevelt dès 1937. En détruisant l’Allemagne, les Etats-Unis mettaient à genoux le seul pays capable de les concurrencer. La pseudo-guerre froide qui dura jusqu’à Carter (Ronald Wilson Reagan mit l’URSS à genoux en 3 ans sans tirer un coup de feu, simplement en disant NON !) permit de faire tourner l’économie. Avec Hillary Clinton, se sera la guerre. Cependant, en partant du principe qu’elle ait un minimum d’intelligence, elle sait que les meilleures guerres sont celles que l’on finance, mais auxquelles on ne participe pas. On fabrique des armes et on le vend à d’autres…  qui a intervenir le moment venu. Comme on n’est plus sous Nixon et que se faire battre entre elles la Russie et la Chine n’est pas possible, quelle guerre indirecte suscitera « Killary » ? Russie contre Europe ? Chine contre Inde ? Chine contre Japon ? Pays Arabes contre Iran ? Seule une victoire de Trump pourrait empêcher le pire.

Hristo XIEP

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