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Le Dépo-Provera est une hormone progestative à haute dose qui était initialement réservée aux cancers de la prostate. Il a été utilisé sous forme d’implants sous cutanés. Toute hormone de la femme a pour effet de bloquer l’ovulation au niveau de l’hypophyse, une glande qui se situe à la base du cerveau lequel dans ce cas ne stimule plus l’ovaire car elle est saturée.

Les implants sont plutôt mal supportés car – au-delà de l’aspect moral contestable- ils peuvent déclencher des saignements intermittents et des prises de poids. Ils sont réservés aux femmes que cela ennuie d’être dépendantes d’une pilule à prendre chaque jour ou qui sont incapables de le faire en raison par exemple d’une débilité mentale. Ce peut-être une injection intramusculaire à refaire tous les trois mois ; mais aussi un petit dispositif filiforme que l’on insère sous anesthésie locale à l’intérieur du bras ; il faut le changer entre trois et cinq ans.

Bill Gates se trouve dans les visées mondialistes du Club de Rome ayant pour but de limiter la population mondiale ; toutefois son épouse Melinda a toujours nié être impliquée dans une aide en faveur de l’avortement ; mais sa fondation a balancé l’an dernier l’équivalent de deux milliards d’euros pour promouvoir le Dépo-Provera. Elle a eu l’idée de reprendre le principe des implants mais pour une durée de seize années. L’hormone serait desservie dans le corps par un dispositif micro-informatique commandé de l’extérieur ; il permettrait de faire varier les doses voire de les couper totalement en cas de volonté de grossesse.

Cette puce informatique serait de 20 X 20 X 7 mm. Elle comporte un petit réservoir télécommandé. Initialement ce dispositif était prévu pour les femmes présentant des troubles de la ménopause. Il sera utilisé à visée contraceptive sans avoir le côté irrémédiable de la stérilisation qui est psychologiquement mal supportée. A ce jour sa commercialisation n’a pas été autorisée ; mais cela ne saurait tarder.

Le problème qui est soulevé dans cette affaire est celui de l’interface entre l’homme et l’informatique que j’avais soulevé dans mon ouvrage L’Ultime Transgression. Nos fidèles lecteurs savent que tout dispositif informatique peut être attaqué par un autre dispositif informatique. C’est un problème pour les voitures auxquelles sont intégrés de plus en plus de robots ; mais aussi des grandes centrales du Pentagone qui se voient piratées. Par comparaison, votre ordinateur de bureau peut tout à fait servir à vos proches qui le dérégleront ; mais il est possible à un quidam vivant à l’autre bout du monde, d’en prendre le contrôle s’il en a les compétences.

Or le dispositif de Gates notamment pour des raisons financières ne peut être sécurisé. Un petit malin, s’il a la télécommande, peut comme sa propriétaire le dérégler. Mais il pourra aussi de loin le commander d’un autre ordinateur. Si bien qu’en Amérique les défenseurs des libertés civiles s’inquiètent. Si des pirates peuvent ainsi s’en prendre à ces dispositifs, a fortiori des gouvernements voyous. Il sera facile alors de faire de véritables fichiers et trier ceux qui ont le droit ou pas de se reproduire. Ceci à leur insu total. On aboutirait alors à un eugénisme d’Etat ?

Est-ce possible ? Tout à fait dans la mesure où le Congrès Américain est financé par les mêmes groupes qui fournissent la technologie.

De même que Cahuzac, ministre du budget a, semble-t-il, été financé par les laboratoires pharmaceutiques.

Dr Jean-Pierre Dickès

 

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