L’information est hippopotamesque et vient d’être dévoilée par nos confrères de François de Souche… L’étudiant « en journalisme » de 40 ans, Farid Ikken, de nationalité algérienne, était bien connu des salles de rédaction de la presse du régime. Il a en effet passé des articles dans les colonnes de l’hebdomadaire de gauche, Le Nouvel Obs’ (et ce n’est pas un hasard), notamment le 13 avril 2014 : « Algérie, diplômées mais méprisées et, vite « périmées »… les femmes fuient » mais également, sur le site d’internet d’extrême-gauche Rue 89, notamment le 24 septembre 2013 (article : « En Algérie, si tu as le cancer et pas de relations, tu meurs »).

Cela ne surprendra personne, de même qu’il ait été honoré d’un prix en 2009, ce lui des « journalistes contre la discrimination », décerné par l’Union européenne pour un article dans un journal de gauche suédois (tiens, tiens…), Folket I Bild, pour un article intitulé Olaga Care (soins illégaux en français), sur la collaboration avec les colons improprement appelés « migrants ».

Son directeur de thèse, Arnaud Mercier, mais est-ce étonnant, est l’auteur d’un article délirant sur une prétendue campagne de haine à la télévision publique, en prenant comme bouc émissaire le sépharade Eric Zemmour :

« Et qu’on ne vienne pas nous parler de censure. Voilà des années que M.Zemmour a les honneurs de tous les plateaux, de toutes les tribunes, qu’il publie des livres (qui se vendent bien, dit-on). Mais de deux choses l’une : ou bien des propos orduriers et haineux n’ont rien à faire sur un plateau de service public, ou s’ils ont droit de cité pour les musulmans, il faut alors inviter aussi, par esprit d’équité, les antisémites notoires, les racistes patentés, les homophobes avérés, les névrosés de tout poil. On peut même aller les chercher directement à l’asile si d’autres délirants manquaient encore à l’appel ».

Ce pensum a été publié le 16 septembre 2016 dans The Conversation, obscure revue prônant, et on est prié de ne pas rire : « L’expertise universitaire, l’exigence journalistique »… Immédiatement, il s’est empressé de signaler son article aux islamistes du CCIF…

Jamais un puzzle ne s’est aussi bien emboîté que cette affaire. Cela rappelle cette scène du film Twist again à Moscou où le contrôleur du parti Boris Pikov (joué par Martin Lamotte) fait son rapport à ses supérieurs suite à son inspection de l’hôtel Tolstoï dirigé par le très corrompu Igor Tataïev (joué par Philippe Noiret) : « En quinze ans de carrière je n’ai jamais vu un hôtel aussi bien tenu, ma présence a dû être dénoncée ». A ce moment, une soubrette vient lui apporter des fleurs, choses qu’elle n’a vu que deux fois en 20 ans de carrière : pour un membre du Politburo et pour un sénateur américain. Et Pikov de conclure, laconiquement : « ça se confirme ! ».

Nous avons donc un journaliste algérien, auteurs d’articles sur la condition des femmes et qui d’un coup abat son jeu. Un journaliste ayant collaboré à des journaux du régime, ayant toujours pris parti pour l’Algérie contre la France et dirigés l’un par « Jean » Daniel Bensaïd et l’autre par Pierre Haski. Deux journaux appartenant au cathophobe Pierre Bergé et aux premières loges pour culpabiliser la France sur la question algérienne et dresser les Algériens dans la haine du Gaulois. Un journaliste auteur d’article pro-migrant dans la presse suédoise, pays où la police dissimule les exactions de ces derniers par peur de passer pour racisme, et au mépris total de la souffrance des victimes.  Comme les attentats de Londres ont été rendu possibles par la soumission de l’administration anglaise à l’occupant pakistanais, comme l’attentat de Stockholm l’a été par la soumission de l’administration suédoise aux colons, la tentative ratée de Notre-Dame, tout comme d’autres attentats commis en France, le sont par la collaboration d’une partie de nos élites autoproclamées tant avec les bailleurs de fonds du terrorisme international que sont les qataris, qu’avec leurs petites mains sévissant dans nos banlieues et formatées depuis tout petit dans la victimisation, la paranoïa et la haine des Français.

Sans un réseau efficace de milliers de collaborateurs, l’occupant ne pourrait pas se permettre ce qu’il fait. Il est impossible d’amorcer un redressement national sans recourir, mit brennendem Bedauern, à une épuration nationale d’une ampleur similaire, sinon plus, à celle de 1944. Quand l’emphysème est devenu septicémie, quand la septicémie est devenue gangrène, l’heure n’est plus au mercurochrome mais à l’amputation. En tout cas, cette affaire est un cas d’école tellement elle met à nue le système d’alliance entre personne à priori antagoniste et montrant que les partisans de la démocrassie, du tollé rance et du droit du homard thermidor sont eux, et eux seuls, les vrais fourriers de Daech…

Hristo XIEP

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