Ce 25 juin Nicole Hugon a publié un communiqué sur le site du département du Rhône du FN, qui démontre la banalisation de l’abjection vis-à-vis de tout ce qui est profondément français, français de souche.

Le hasard a voulu que Metronews-Rhône ait distribué une publicité abjecte pour des hambugers, montrant Louis XVI, la tête coupée mangeant des frites. Apparemment cette publicité était destinée à amuser la galerie et à faire vendre des sandwichs, sans aucun respect pour le dernier des rois de France ignoblement décapité par les vampires de la Révolution.

Le hasard à voulu , -mais était-ce bien un hasard?- que le lendemain précisément, hier, un entrepreneur, l’un de ceux qui font tourner l’économie de la France, soit décapité dans un département limitrophe de celui du Rhône, l’Isère. Et subitement, la décapitation fut une abomination. Elle l’est en effet, que ce soit à l’encontre de Louis XVI ou de notre malheureux compatriote abandonné sans protection avec un employé dont il ignorait la dangerosité, mais une dangerosité que la police n’ignorait pas

Certes l’égorgement à la mode islamiste n’a pas attendu la guillotine révolutionnaire pour se répandre, néanmoins la collusion de cette publicité avec la barbarie perpétrée à Saint-Quentin Fallavier, nous ramène à la barbarie du régime républicain, enseignée comme une gloire à tous les écoliers de France, depuis plus de 200 ans, avec la haine de nos Rois et la haine de notre Religion.

Cette barbarie fondatrice de la République actuelle est tellement banalisée qu’un vendeur de saucisses n’a rien trouvé de mieux que de s’en servir pour en faire sa publicité et qu’un quotidien l’a faite distribuer, sans se poser de questions. Dans cet esprit républicain de banalisation de la décapitation du dernier de nos rois, quoi d’étonnant que les régimes successifs de Sarkozy et de Hollande aient soutenu le terrorisme islamiste en Libye et en Syrie, qui aujourd’hui nous revient dessus comme un boomerang ?

Voici le communique de Nicole Hugon:

Lorsque la publicité banalise l’appel au meurtre

Par Nicole HUGON
Membre du Comité Central du F.N / RBM
Ce jour était distribué à toutes les sorties des métros lyonnais, par le biais de l’hebdomadaire METRO NEWS, une publicité odieuse, banalisant les actes les plus monstrueux des fondations de notre République.
 
Comble d’ironie, ou triste coïncidence, la publication de ce journal sort le jour même de l’attentat de saint-Quentin-Fallavier où le patron d’un employé a été décapité, sa tête empalée sur un pic d’une des barrière de l’entreprise.
 Tout ceci pour la simple consommation de hamburgers  : que le consommateur apprécie  !
Nous demandons que l’entreprise “BIG FERNAND”, 36 rue de la Ferrandière à LYON,  présente ses excuses pour cette image monstrueuse qu’elle a demandé de diffuser : ceci est ni plus ni moins  une banalisation du meurtre, et un manque de dignité de la personne humaine.
 

Fuyez les hamburgers “Big Fernand”…

Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !

MPI vous informe gratuitement

Recevez la liste des nouveaux articles

Je veux recevoir la lettre d'information :

Nous n’envoyons pas de messages indésirables ! Lisez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

18 Commentaires
Les plus anciens
Les plus récents Les mieux notés
Inline Feedbacks
Voir tous les commentaires

Abonnez-vous à CARITAS !

Ça y est, le numéro 1 de la tout nouvelle revue Caritas est chez l’imprimeur et en prévente sur MCP.

Nous vous l’avions annoncé dans un précédent mailing : la naissance d’une toute nouvelle revue de qualité, Caritas, la revue du pays réel, et la parution prochaine de son premier numéro de 86 pages. Bonne nouvelle, : ce numéro 1 de Caritas qui consacre son dossier à la Lutte contre la haine anticatholique vient d’être envoyé à l’imprimerie et sera bientôt dans les librairies et les boites aux lettres des abonnés.

Militez,

En achetant le n°1 de CARITAS : Lutter contre la haine anticatholique

En s’abonnant à cette nouvelle revue : la revue CARITAS !