L’Union Européenne, technocratique et démagogue, est en agonie mais ne veut pas mourir. Trop peur de voir Londres en sortir, trop craintive pour résister aux injonctions allemandes de Merkel, pâte molle du politiquement correct immigrationiste et mondialiste, elle succombe aux vouloirs bristish et aux vouloirs de la chancelière de fer, dans la contradiction la plus totale.

En Europe, aujourd’hui, tous les pays de l’ouest européen se soumettent au leader allemand sauf un: le Royaume-Uni qui tape du poing sur la table, ne se laisse pas intimider mais intimide plutôt, impose ses volontés. Et les obtient.  Mieux seul que mal accompagné avait menacé en substance le premier anglais! Pour éviter le “Brexit” à tout prix, tous les efforts ont été effectués par une Union Européenne en pleine déliquescence pour que Cameron rentre à Londres les mains pleines de dérogations. 

Le 19 février 2016, tard dans la soirée, un accord a donc été trouvé avec le premier ministre britannique, David Cameron. La Grande-Bretagne a obtenu de la part de l’UE “un statut spécial” : elle l’avait déjà d’ailleurs mais il a été renforcé. Plus d’obligations sociales envers les membres mêmes de la communauté européenne, ne parlant donc pas envers les migrants que les Britanniques ne sont plus prêts à accueillir chez eux. Que la France fasse donc le gendarme à Calais et protège les frontières et les desiderata des grands Bretons, tel est son devoir dévolu par une dame Merkel, régente de l’UE, aux petits soins envers ses cousins britanniques ! Et on ne touche pas non plus à la livre sterling de Sa Majesté, qui pourra en revanche s’immiscer  dans les affaires monétaires de l’Eurozone. Pas sûr cependant que toutes ces concessions feront pencher la balance vers le Non au prochain referendum organisé en Grande-Bretagne sur le Brexit. Pas sûr que cela vaille la peine de rester dans une Union Européenne à la dérive.

Ces privilèges, les citoyens des plus anciens pays membres de l’Union, les Français et les Italiens en tout premier,  aimeraient bien les acquérir mais leurs gouvernements sont bien  incapables de les demander, de les soutirer, des les obtenir. Vassaux du vouloir berlinois et de la police de la pensée mondiale, ces politicards traites à leur patrie respectent les traités et les lois bureaucratiques de l’Union Européenne à la lettre, que cela soit au détriment du bien commun de leur population n’apitoyant pas leur cœur tout dévoués et tournés vers les pauvres réfugiés et migrants étrangers.  Il y a bien les pays de l’Est et, étonnamment après des décennies de politique imprévoyante, quelques états nordiques qui s’insurgent, refusent de recevoir plus de migrants et prennent des mesures concrètes contre l’invasion.

Au lieu de mesurer la faillite de Schengen, pendant qu’on fait preuve de complaisance sous l’instigation de Merkel envers des insulaires Britanniques qui ne rêvent qu’émancipation par rapport au vieux continent, paradoxalement on condamne à Bruxelles ces États membres comme l’Autriche, la Pologne, la Hongrie et autres qui ferment leurs frontières et ne veulent plus subvenir aux besoins de toute la misère de la terre. Et on maintient la politique, inapplicable et inappliquée depuis le début, des redistributions de clandestins sur les différents territoires de l’Union Européenne. 

Le mot d’ordre de cette technocratie européenne, incompétente, bornée, inefficace et orgueilleuse, accrochée à son idéologie perverse du “vivre-ensemble”, la grande faucheuse des peuples européens, et obéissante aux diktats de la finance et du capital internationals, oppresseurs d’une main d’œuvre à bas prix, corvéable à merci, c’est l’Union Européenne…forcément !

Francesca de Villasmundo

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