gpa-pma-MPI

Le procureur général de l’Etat d’Israël, Yehuda Weinstein, a autorisé deux parents à  utiliser le sperme de leur fils décédé pour féconder une femme que leur fils n’a jamais connue ! Les parents veulent avoir « un petit enfant », et tant pis s’il sera issu d’une simple manipulation et portée par une « mère » inconnue du « père ».

La position du procureur Weinstein a été rendue publique dimanche par le tribunal de la famille de Haïfa. Les parents y avaient déposé une demande, avec un contrat signé par une mère porteuse.

Weinstein a toutefois noté que sa position dépend de la volonté présumée de la personne décédée en la matière. Il ne reste plus qu’à faire parler les morts…

L’ancien procureur général Menachem Mazuz s’était au contraire opposé à un cas similaire il y a quelques années. Déjà, deux parents dont le fils était mort d’un cancer, voulaient faire féconder une femme que leur fils n’avait pas connue. En 2009, le tribunal avait finalement approuvé la demande malgré l’objection du procureur général Mazuz.

Dans les deux cas, voici des personnes en âge d’être grands-parents et exigeant un « droit à un petit enfant » au prix d’une nouvelle dénaturation de la filiation. Tout cela témoigne de la dérive d’une société dans laquelle l’égoïsme prime sur le bien commun.

Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !

MPI vous informe gratuitement

Recevez la liste des nouveaux articles

Je veux recevoir la lettre d'information :

Nous n’envoyons pas de messages indésirables ! Lisez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

1 Commentaire
Les plus anciens
Les plus récents Les mieux notés
Inline Feedbacks
Voir tous les commentaires

Abonnez-vous à CARITAS !

Ça y est, le numéro 1 de la tout nouvelle revue Caritas est chez l’imprimeur et en prévente sur MCP.

Nous vous l’avions annoncé dans un précédent mailing : la naissance d’une toute nouvelle revue de qualité, Caritas, la revue du pays réel, et la parution prochaine de son premier numéro de 86 pages. Bonne nouvelle, : ce numéro 1 de Caritas qui consacre son dossier à la Lutte contre la haine anticatholique vient d’être envoyé à l’imprimerie et sera bientôt dans les librairies et les boites aux lettres des abonnés.

Militez,

En achetant le n°1 de CARITAS : Lutter contre la haine anticatholique

En s’abonnant à cette nouvelle revue : la revue CARITAS !