A quelques semaines de la Cop 21, l’affaire Philippe Verdier fait grand bruit. Voici le monsieur météo de France 2 au milieu de la tourmente pour avoir signé un livre intitulé Climat investigation qui lui vaut d’être accusé d’un crime grave aux yeux de la police de la pensée : être “climato-sceptique”. La sanction fut immédiate : le voilà écarté de l’antenne !

Et tous les médias mainstream de sonner l’hallali. Philippe Verdier utiliserait… “la rhétorique complotiste”, le modèle “conspirationniste”. Bref, il est devenu un paria à éliminer. “C’est possible que ce soit l’Elysée qui soit intervenu dans cette affaire. Quand quelqu’un se met au travers de la route de la COP21, ça gêne l’Elysée”, a répliqué Philippe Verdier.

Ceci n’est-il qu’un avant-goût d’un nouvel interdit en préparation ?

Dans une atmosphère quasi-secrète, une conférence internationale réunissant des juges s’est tenue dans la plus haute salle d’audience en Grande-Bretagne, afin de proposer de rendre illégal pour quiconque de remettre en cause les preuves scientifiques du réchauffement climatique d’origine humaine.

Ce colloque très discret sur «le changement climatique et la loi” a duré trois jours et a été organisée à la Cour suprême de Londres. Il a été financé, entre autres, par la Cour suprême elle-même, le gouvernement britannique et le Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE).

Comme l’un des deux commanditaires de son Groupe d’experts intergouvernemental sur les changements climatiques de l’ONU, le PNUE a été l’un des principaux moteurs de l’alarme sur le réchauffement climatique depuis 40 ans. L’organisateur et président de la conférence a été le juge de la Cour suprême Sir Carnwath, un fervent partisan de la théorie du réchauffement climatique par la faute de l’homme, qui a travaillé avec le prince de Galles depuis plus de 20 ans, et avec le PNUE depuis 2002.

Le but de cet étrange rendez-vous a été décrit dans un discours (visible sur YouTube) de Philippe Sands, QC de Matrix Chambers de Cherie Blair et professeur de droit à l’University College, Londres.

Supprimer et interdire tout débat sur le réchauffement climatique et la responsabilité de l’homme en dit long sur l’état psychologique liberticide qui se met en place dans nos sociétés occidentales.

 

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