clandestinsDe la Loire à la Côte d’Azur, de Calais à Béziers, les contestations parfois violentes se multiplient à l’arrivée des clandestins “calaisiens”, déplacés par décision de l’Élysée.

La France du pays réel s’insurge contre la mise à mort planifiée de son identité, de sa culture, de sa civilisation…

Les villages s’opposent à l’arrivée des étrangers, les citoyens érigent des barricades pour bloquer les routes. Le démantèlement de la jungle de Calais, vaste fumisterie politicienne, créatrice de multitude de petit Calais sur le territoire national entraîne une réaction identitaire de milliers de Français exaspérés par cette politique migratoire complètement déraisonnable et loufoque.

A Saint-Brevin-Les-Pins, en Loire-Atlantique, les habitants ont lancé une pétition pour empêcher l’arrivée des “migrants” décidée par Paris. Plus de 8000 personnes l’ont signée actuellement.

A Chardonnay, en Bourgogne, où vivent 200 personnes, l’État lui assigne 50 demandeurs d’asile. Et les villageois qui ont appris ces arrivées par les journaux, protestent là-aussi.

Des protestations plus violentes à Loubeyrat, en Auvergne, où le centre pour réfugiés a été incendié dans la nuit de dimanche.

A Arès, en Gironde, et à Forges-Les-Bains, près de Paris, les structures d’accueil ont été vandalisées.

Dans le département de l’Isère, à Saint-Hilaire-du-Rosier, il y a une semaine, un centre destiné à recevoir des migrants a été la cible de coups de fusil. Et des inscriptions hostiles à l’arrivée des “migrants” taguées sur le macadam des rues alentours.

Dans les Alpes-Martime, à Pierrefeu, et dans la vallée du Rhône, à Allex, les habitants sont descendus dans la rue pour dénoncer l’arrivée des clandestins de Calais.

A Béziers le maire, Robert Menard, organise un référendum populaire sur l’accueil de réfugiés.

Bien que dans certaines communes, les délocalisés étrangers de la jungle calaisienne aient été reçus avec des banderoles de bienvenue et des manifestations de solidarité, le climat général reste tendu et des épisodes de défense identitaire sont en augmentation.

Le démantèlement de Calais ne va résoudre en aucune façon le problème migratoire ni réduire les flux de clandestins mais exaspérer toujours plus des Français soumis à l’insécurité et au chômage, abandonnés par leur gouvernement au profit d’étrangers indifférents voire hostiles à la France, nourris et logés aux frais non de la princesse mais de la République française.

Ces quelques chroniques surréalistes ne sont que des exemples de l’aberration philanthropique de politiciens et bobos radical-chic déconnectés du réel, qui bougent les migrants d’un bout à l’autre de la France sans tenir compte des difficultés du “vivre-ensemble” entre les uns et les autres.

Chroniques destinées à s’allonger tant qu’une véritable politique d’arrêt des vagues migratoires et de rapatriement des clandestins n’est pas mise en place.

Francesca de Villasmundo

Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !

MPI vous informe gratuitement

Recevez la liste des nouveaux articles

Je veux recevoir la lettre d'information :

Nous n’envoyons pas de messages indésirables ! Lisez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

17 Commentaires
Les plus anciens
Les plus récents Les mieux notés
Inline Feedbacks
Voir tous les commentaires

Abonnez-vous à CARITAS !

Ça y est, le numéro 1 de la tout nouvelle revue Caritas est chez l’imprimeur et en prévente sur MCP.

Nous vous l’avions annoncé dans un précédent mailing : la naissance d’une toute nouvelle revue de qualité, Caritas, la revue du pays réel, et la parution prochaine de son premier numéro de 86 pages. Bonne nouvelle, : ce numéro 1 de Caritas qui consacre son dossier à la Lutte contre la haine anticatholique vient d’être envoyé à l’imprimerie et sera bientôt dans les librairies et les boites aux lettres des abonnés.

Militez,

En achetant le n°1 de CARITAS : Lutter contre la haine anticatholique

En s’abonnant à cette nouvelle revue : la revue CARITAS !