Les révélations se multiplient sur Jacques Chirac : après ses frasques sexuelles – dont nous reparlerons – le prétendu secret de sa naissance vient d’être révélé par le journal Gala du 3 octobre, et repris sur le portail internet Free.

« Un livre revient sur certaines zones d’ombres de la vie de l’ex président. Le jour­na­liste Arnaud Ardoin s’in­ter­roge dans son livre « Président, la nuit vient de tomber » sur le mystère des origines de Jacques Chirac. Le jour­na­liste Arnaud Ardoin s’est penché sur des aspects mécon­nus de la vie de Jacques Chirac. Dans son livre, « Président, la nuit vient de tomber » (Cherche-Midi), qui sort le 5 octobre, il s’in­ter­roge par exemple sur le mystère des origines de l’an­cien chef de l’Etat. Une dizaine d’an­nées avant la nais­sance de Jacques Chirac, ses parents eurent une petite Jacque­line. Elle fut empor­tée deux ans plus tard par une mala­die pulmo­naire. Arnaud Ardoin rappelle dans son ouvrage que Michel Basset, un ami d’en­fance de Jacques Chirac, a révélé dans un livre que Marie-Louise Chirac, fut alors frap­pée de septi­cé­mie. Elle ne pouvait plus avoir d’en­fant. Basset indui­sait par là-même que Jacques ne pouvait être son fils. Cette thèse sera reprise quelques années plus tard dans un roman à clé d’Eric Zemmour « L’autre » (Denoël). Sans réac­tion offi­cielle du clan Chirac, cette rumeur s’étein­dra d’elle-même. « Si elle n’a jamais été confir­mée, elle explique­rait la quête perpé­tuelle d’iden­tité de Jacques Chirac et son obses­sion à creu­ser l’ori­gine du monde en s’in­té­res­sant à toutes ces civi­li­sa­tions dispa­rues » avance néan­moins Arnaud Ardoin ».

L’information avait surtout été donnée en son temps par Henri de Fersan dans son livre L’Imposture antiraciste paru en 2001 :

« En effet, il n’est pas le fils d’Abel et Marie-Louise Chirac. Il n’est pas né le 29 novembre 1932 à Paris La réalité a été révélée en 1975 par la Gaceta Illustrada, une revue madrilène : Jacques Chirac s’appelle en réalité Santiago Cordero Marin, il est né le 6 septembre 1934 dans le village d’Albana, dans la province des Asturies, en Espagne, ce qui explique pourquoi il a accordé la carte d’ancien combattant aux volontaires communistes des Brigades Internationales([i]). Proche du parti communiste (puisque signataire de l’Appel de Stockholm), il « passa à droite » lors de l’hyménée gaulchevique de 1962. Les trotskistes, reconnaissant l’un des leurs, firent tout leur possible pour faciliter son accession au pouvoir : les trotskistes des médiats, rassemblés par Claude Chirac, qui fut l’une des leurs (membre du PCI ainsi que son concubin, l’ancien judoka Thierry Rey), notamment Libération et Canal Plus, l’ont présenté sous un jour sympathique (souvenez-vous du « Chi » des Guignols). Selon notre confrère Pierre de Villemarest, c’est sciemment que Jacques Chirac amena la gauche au pouvoir en 1997([ii]), « au nom de l’intérêt général et parce qu’il fallait que la France unisse toutes ses forces pour entrer dans de bonnes conditions dans l’Euro([iii]) ». En effet, Chirac était certain qu’une majorité de gauche voterait en faveur de la monnaie unique (ce qui n’était pas le cas d’une majorité de droite), ce qui est conforme aux voeux de la haute finance apatride à qui Chirac doit tout et dont il se sent proche, tant sur le plan politique que sur le plan ethnique ; ce qui lui vaut le soutien sans failles de Laurent Fabius([iv]). Les liens entre Chirac et les extrémistes juifs ont encore été renforcés par la réception du 16 février 2000, organisée à l’Elysée, lors de laquelle a été reçue l’Anti-Diffamation League, organisation extrémiste juive dont nous reparlerons, et où Chirac fut décoré par celle-ci devant l’ambassadeur des Etats-Unis, Felix Rohatyn, lui-même lié à cette organisation. Chirac donna lors de sa réception une preuve éclatante de sa judaïté : « La distinction qui m’a été décernée m’honore parce que j’admire l’engagement de votre combat pour la paix, la dignité, les droits de la personne humaine… ». Or, l’ADL, comme les B’naï B’rith dont elle est issue, se bat pour les Juifs et rien que pour eux. Or, Chirac, en bon marrane, connaît bien son Talmud et l’enseignement de Jalqût Reûbeni (Fol. 10b) : « Les Israélites seuls sont appelés hommes, mais les idolâtres viennent de l’esprit impur et seront appelés cochons » .Donc, pour Chirac, l’ADL défend les droits de la personne humaine puisqu’elle ne défend que les Juifs qui sont, aux yeux des talmudistes, les seuls tenants de l’humanité. Il y a une autre preuve de l’attachement charnel et spirituel de Chirac aux extrémistes juifs : la mosaïque qu’il a fait installer sur la place de l’Hôtel de Ville de Paris, juste sous sa fenêtre. Quand on la regarde de la place de l’Hôtel de Ville, cela fait penser vaguement au navire emblématique de la capitale dans une version assez stylisée, avec 35 hublots([v]) mais vu des fenêtres de l’ancien bureau de Jacques Chirac, la mosaïque devient un objet religieux de la religion du même nom à savoir une splendide ménorah([vi]).  Cordero Marin alias Chirac a été le protégé de Marcel Bloch-Dassault, lui-même ami de la famille. Il raisonne exactement comme un extrémiste juif, notamment dans son attitude vis-à-vis des communistes. Non pas par ses paroles, conforme à la démagogie du personnage qui est capable de dire tout et son contraire en quelques jours, mais dans ses actes. Ainsi, il reçut en grandes pompes plusieurs tyrans et dictateurs communistes de premier plan. Nous avons vu son attitude vis-à-vis de Ceaucescu, l’homme de paille du B’naï B’rith roumain. Mais ce n’est pas une exception. Il y eut la visite du dictateur communiste chinois Jiang Zemin, reçu comme un prince et dansant avec Bernadette([vii]). Il y eut sa présence à l’enterrement du tyran socialiste de Damas Hafez el-Assad le 13 juin 2000, Chirac étant le seul chef d’état d’un pays occidental présent et ce, alors qu’el Assad a commis de nombreux massacres. Le lendemain, il recevait le tyran socialiste algérien Abdelaziz Bouteflika([viii]). Il y eut la réception du responsable du parti communiste vietnamien([ix]), le général Lê Khâ Phiêu, le boucher de Hué([x]), ancien commissaire politique ayant demandé de renforcer la répression contre les huit millions de catholiques du pays, ce qui ne chagrine ni Chirac([xi]), ni les 25 banques apatrides présentes à Hanoi([xii])…  Par contre, il eut une attitude odieuse vis-à-vis du gouverneur de Carinthie Jörg Haider qui n’a jamais tué qui que ce soit. Mais Haider est de droite. Pour un extrémiste juif, c’est la tare rédhibitoire, même si le susdit compte 50 % de juifs dans ses élus au Parlement Européen. Pour un talmudiste, un homme de droite s’étant opposé en parole au mondialisme sera toujours moins bien traité qu’un communiste mondialiste ayant massacré des millions de goyim ! Lié aux extrémistes juifs et aux extrémistes de gauche, il ne reste plus à Chirac que d’être lié aux intégristes laïcs : dans sa préface au catalogue d’une exposition tenue à Tours du 16 mai au 31 août 1997, Chirac écrivit : « Je me félicite qu’une grande exposition soit consacrée à la Franc-Maçonnerie… Je souhaite qu’elle permette à un large public de se familiariser avec la culture maçonnique ».

Morale de l’histoire : l’info avant tout le monde, c’est dans la presse de la droite nationale et nulle par ailleurs. Notons qu’à l’époque, Wikipedia avait hurlé à la fake news. Les soi-disant fake news d’aujourd’hui sont la vérité de demain… Amusant de voir aussi l’hostilité pour Assad en 2001. Eurasia a toujours été l’amie d’Oceania, il en a toujours été ainsi… 1984 s’applique à tout le monde.

Hristo XIEP

[i] Le 7 mars 2000, le gouvernement suisse a refusé l’amnistie pour les 800 Suisses ayant combattu pour Staline de 1936 à 1939, comme il l’avait fait par le passé pour les 500 Suisses ayant combattu pour Hitler de 1940 à 1945.

[ii] La Lettre du Centre Européen d’Information, n° XXIX-1, 13 janvier 2000.

[iii] Déclaration du 7 janvier 2000 lors de la présentation de ses vœux à la presse.

[iv] Et pour cause, la dissolution de 1997 a sauvé le PS de la faillite en faisant élire à l’avance 241 députés socialistes au lieu de 57 sortants.

[v] Le chiffre 35 se trouve également dans l’Arche de la Défense et dans la Pyramide du Louvre qui sont alignés sur l’Hôtel de ville, selon l’axe de la ligne 1 du métropolitain.

[vi] Les photos parues en page 9 de la brochure d’Emmanuel Ratier Le Vrai visage de Jacques Chirac sont édifiantes… La ménorah est l’emblème des B’naï B’irth

[vii] Pour justifier nos bonnes relations avec la dictature communiste chinoise, on nous fait miroiter les chimériques contrats que Beijing (anciennement Pékin) nous accorderait : or, non seulement notre balance commerciale est extrêmement déficitaire avec la Chine, mais en plus, celle-ci n’a jamais daigné donner suite aux projets qu’elle était sensée acquérir dans les domaines des transports aériens et ferroviaires, ainsi que des services…

[viii] Il n’est pas inutile de rappeler que celui qui était le ministre des Affaires Etrangères de Boumediene participa le 7 mars 1965 à l’opération de désinformation des services soviétiques et tchécoslovaques contre le premier ministre congolais (Congo-Léopoldville, futur Zaïre) Moïse Tschombé qui sera d’ailleurs renvoyé quelques mois plus tard…

[ix] A noter que Chirac n’invita pas le président vietnamien Tran Duc Long, ni le premier ministre Phan Van Khai, mais bel et bien le responsable du PC.

[x] Né en 1931, il fut commissaire politique en chef lors de l’offensive du Têt qui vit finalement la victoire du Sud. Lê Khâ Phiêu s’y illustra abominablement : durant les trois semaines d’occupation communiste, il massacra 3 000 civils (fonctionnaires, intellectuels, professions libérales), la plupart étant décapités, dépecés à vif  ou enterrés vivants. Il fit exécuter trois soldats communistes « manquant de courage » et trois médecins allemands (dont une femme) membre d’une organisation humanitaire. Lors de la contre-attaque des Américains et des Sudistes, il expédia la population civile en première ligne de feu et rasa la ville, ancienne capitale impériale.

[xi] Chirac déclarera du Vietnam qu’il appartenait « à la zone de solidarité prioritaire pour la France, dans son aide au développement. », reprenant les propos tenus lors de la visite en France en juillet 1997 d’un dignitaire communiste vietnamien, le général Dean Kue.

[xii] Et que l’on nous dise pas que le Vietnam ait changé : le 7 novembre 2000, le gouvernement célébrait en grandes pompes le 83e anniversaire de la « Révolution d’Octobre », qualifiée par le quotidien officiel Nhan Dan de « symbole et soleil brillants de l’époque actuelle », de « jalon marquant la paix, l’indépendance nationale, la démocratie et le socialisme à l’échelle mondiale (sic !) », le gouvernement d’Hanoi « persistant sur sa politique fondée sur le marxisme-léninisme et les pensées d’Ho Chi Minh. ». Il est vrai qu’au 73e Forum de Davos du 1er au 6 février 1996, Jean-Daniel Trodjmann s’exprimait sur Vietnam : quelle politique pour soutenir les progrès économiques.

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