foetus

D’une vidéo à l’autre le Center for Medical Progress nous fait plus profondément pénétrer dans l’horreur du Planning familial américain (Planned Parenthood). La deuxième et la sixième d’entre elles évoquaient le fait que certains fœtus étaient gardés vivants avant que ne soient récupérés leurs organes. La septième nous plonge au-delà. C’est toujours Holly O’Donnel, la personne citée déjà plusieurs fois auparavant qui parle. Pour elle ce sera le pire de ses souvenirs dans le cadre du Planning. Elle est hantée par un cauchemar.

Cela se passe à la clinique Alameda de San Jose en Californie. Holly O’Donnel raconte que la personne demandant l’avortement était complètement désemparée par la procédure proposée. Elle ne pouvait pas en effet bénéficier d’une médication appropriée dans la mesure où son fœtus avait été sélectionné pour arriver vivant au monde. En effet certains produits rendent l’enfant inutilisable après la naissance. Le médecin fit l’avortement. Holly attendait dans l’entrée et vit alors passer le bocal partir au laboratoire d’anatomie pathologique. L’assistante, une dénommé Jessica le « préparait ».

Puis Holly O’Donnel fut appelée : « Viens par ici ! Viens voir ! ». C’était le plus gros bébé qu’il lui était donné de regarder au décours d’un avortement. Le cœur de ce pauvre être battait. Jessica dit « OK, c’est vraiment un bon fœtus ! Nous pourrons en récupérer pas mal. On va commencer par le cerveau ! ». Que penser ? Cette personne commença à couper avec des ciseaux dans la mâchoire inférieure puis dans le visage et le nez de l’enfant et ordonna à Holly de continuer le travail. Une atrocité effroyable lui était demandée : découper un humain encore en vie. Elle obéit à contrecœur. Elle plaça le cerveau dans un milieu biologique pour être envoyé à celui qui avait fait la commande. Dans le cas présent le bébé était trop gros ; ses jambes dépassaient et on lui écrasa les jambes en fermant le couvercle du bocal. C‘était un garçon.

Holly O’Donnel est désormais hantée par ce cauchemar et se demande pourquoi un organisme qui a pignon sur rue peut faire des actes aussi ignobles ; alors que Gospell le « médecin de la mort », se contentait de mettre fin à la vie de tels enfants en leur coupant le cou avec un ciseau un niveau de la nuque. Il avait été condamné à la prison à vie. Or Jessica et son équipe faisaient bien pire.

Nous n’entrerons pas plus loin dans les conversations macabres tournant autour de cette effroyable affaire. Disons que de telles pratiques avaient déjà été évoquées dans les précédentes vidéos notamment par le Dr Nucatola. Celle-ci expliquait que dans ce type d’avortements, on tuait l’enfant dans le sein maternel en lui injectant un dérivé de la digitaline (Digoxine) directement dans le cœur ; ce qui avait effet de l’arrêter. Puis on procédait à l’avortement. Toutefois, pour avoir des organes en bon état, il fallait que le fœtus naisse vivant. On ne donc procédait pas à l’injection de digitaline.

La jeune Holly, traumatisée, se demandait tout simplement si la première chose à faire, n’était pas de supprimer les subventions allouées à Planned Parenthood et après enquête, envoyer les responsables de ces actes barbares en prison.

Il faut noter qu’Obama – sans avoir vu les vidéos- avait déclaré il y a huit jours que le recueil d’organes sur les fœtus était légal. Le Congrès lui a officiellement demandé de faire une enquête.

Jean-Pierre Dickès

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