A Rennes, comme chez Jeanne Mas, on est en rouge et noir. Il y a deux catégories en rouge et noir dans la capitale administrative bretonne : les loosers balle au pied et les loosers barre de fer en main. Ce sont évidemment ces derniers dont il est question. Certains de leur impunité en tant que milice auxiliaire du pouvoir en place, ils ont tenté d’attaquer un car de la Marche Pour la vie.

Une cinquantaine de demi-soldes du régime ont bloqué pendant trois heures un car parti de Vannes à 6 heures et qui atteignit Rennes à 7 heures 45, devant embarquer les derniers passagers près de l’école de Chimie à Beaulieu, à savoir des gens de l’Association Familiale Catholique de Rennes.

Une personne témoigne dans les colonnes du Télégramme : « On attendait le car, témoigne un passager rennais. Quand il est arrivé, on est monté à bord et le car a été encerclé par une cinquantaine de manifestants. Visiblement, ils savaient qu’on allait embarquer à cet endroit. Au début, il faisait nuit. Ils jouaient du tam-tam, lançaient des cris de haine, dansaient autour du car et nous prenaient en photo. Ils ont même réussi à prendre une des feuilles de présence, raconte un responsable de l’AFC. Des passagers sont descendus pour parlementer avec eux. En vain ». Rameutant le ban et l’arrière-ban des crasseux locaux (voir les photos parues dans Le Télégramme du 21 octobre, les manifestants, dissimulant leur visage derrière des cagoules et des foulards (leur lâcheté ayant au moins l’avantage de dissimuler leur faciès hideux), posent immédiatement des barrières à l’avant et à l’arrière du car pour le bloquer. L’un d’eux jette un fumigène à l’intérieur du car, dans l’espoir de l’incendier. La fusée incandescente rebondit sur une vitre et atterrit sur un siège occupé par un homme. Celui-ci parvient à se dégager mais son manteau est brûlé. Le pull-over d’une jeune femme est également brûlé tout comme le siège, très endommagé par les flammes. Les passagers parviennent heureusement à rejeter le fumigène à l’extérieur au bout d’une quinzaine de secondes, mais une personne fait alors un malaise.

Le Télégramme relate les faits de matière objective :

« Pour les passagers, âgés de 15 à 75 ans, l’attente est longue et angoissante. La police, appelée à la rescousse, arrive environ 30 minutes après l’épisode du fumigène. La patrouille tente de raisonner les opposants, sans grand succès. Finalement, les opposants acceptent de laisser partir le car vers 10 h 30. Une annonce qui ne sera pas suivie d’effets. Ce n’est que lorsque les renforts de police sont arrivés que les barrières ont pu être enlevées. Les manifestants ont alors laissé partir le car. Il était environ 11 h. Le véhicule a été escorté sur quelques centaines de mètres par la police et a pu prendre l’autoroute. Ils sont arrivés à Paris vers 16 h 15, soit une heure et demie après le début de la marche pour la vie ».

Le jour même l’AFC Vannes publiait le communiqué suivant sur Facebook :

« En ce dimanche 21 janvier les AFC du Pays de Vannes et de Rennes ont affrété un car pour emmener près de 60 personnes à la Marche pour la Vie à Paris, depuis Vannes, Ploërmel et Rennes. Le car s’est trouvé pris dans une embuscade pendant 3 heures à l’entrée de Rennes, où il devait embarquer de nouvelles personnes de l’AFC de Rennes, par une contre-manifestation visant à empêcher nos adhérents de se rendre à une manifestation pacifique. Le fait d’entraver la libre circulation des personnes et d’empêcher de manifester est contraire à toutes les lois de la République Française. De plus, ces personnes ont agit avec le visage masqué à renfort de fumigènes et de tambourins ce qui montre le courage de ces manifestants. Dans cet incident, un fumigène tombé dans le car a sérieusement endommagé un siège et brulé des vêtements. Les personnes ont été très choquées par le déferlement de violence. « La Marche pour la Vie est un moment de joie où nous réaffirmons le respect inconditionnel de tout vie humaine de sa conception à sa fin naturelle et la dignité de la personne humaine, de toutes les personnes » dit Vincent Wallut, président de l’AFC du Pays de Vannes qui se réserve le droit de porter plainte contre ces manifestants ayant attaqués des personnes qui se rendaient à une manifestation pacifique. Les personnes présentent dans le car sont arrivées à Paris à 16 h 15 soit 1 h 30 après le début de la manifestation. »

Cette fois-ci, le drame a été évité de justesse, mais jusqu’à quand ? On n’aura pas toujours la chance d’avoir des antifas aussi minables qu’à Chambéry ! Rappelons qu’à Grenoble, ils ont réussi à allumer plusieurs incendies contre des édifices de la gendarmerie, réussissant même à détruire une partie des scellés de l’affaire de la disparition de la petite Maëlys de Araujo, dont le petit sapin de Noël rappelant le souvenir, ainsi que les peluche de son petit mémorial ont été incendiés aussi dès leur installation, le tout dans une région fief des antifas (car il est un peu trop facile de mettre ça sur le dos des cités pontoises). Rappelons que l’avocat du ravisseur suspecté de l’enfant est l’avocat emblématique d’un puissant lobby cathophobe qui n’a jamais caché ses liens avec les antifas. Il y aurait là matière à enquêter… Rappelons que le 23 avril 2017, des dégâts avaient été commis dans la ville de Rennes par les antifas, ces derniers vantant leur collaboration avec les colonies de peuplement allogènes dont les exactions s’étalent à longueur de semaine y compris dans les colonnes de la presse officielle. Il faut souvenir que les délinquants ont toujours constitué la force de frappe de l’extrême gauche, l’utilisation des « droits-communs » pour semer la terreur et commettre des atrocités fut notoire, tant sous la Révolution « française » que lors des révolutions « russe », « espagnole » et autres… N’oublions pas que Bela Kun était un escroc, Staline un braqueur de banque et Ceausescu un meurtrier de droit commun…

Sans vouloir reprocher quoi que ce soit à nos amis de la Manif pour tous, les catholiques sud-américains ont su se défendre avec la force du lion et la prudence du serpent quand le moment s’en fit sentir, à l’époque de la Guerre Froide, ce dont Mgr Lefebvre a su rendre justice. Comme dit la chanson : « Les chacals craignent pour leur peau car l’heure des compte viendra bientôt ».

Hristo XIEP

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