Depuis le scandale de Cologne, des informations arrivent de partout concernant des agressions sexuelles commises par des immigrés.

Au nom de l’antiracisme, la police a fréquemment reçu des consignes de cacher les agressions sexuelles lorsqu’elles sont commises par des étrangers, surtout s’il s’agit de demandeurs d’asile.

La police suédoise vient de reconnaître ce lundi avoir fait le silence sur une vague d’agressions sexuelles commises contre des jeunes filles par des étrangers lors d’un festival de musique, le We Are Sthlm à Stockholm. Les faits étaient pourtant suffisamment graves pour avoir conduit à l’arrestation de près d’une centaine d’hommes.

Aucune condamnation n’a été prononcée depuis, selon la police.

Le quotidien Dagens Nyheter, qui a le premier informé du scandale, a affirmé que les agresseurs présumés étaient en majorité des demandeurs d’asile mineurs non accompagnés.

“Je ressens une très forte colère en voyant que des jeunes femmes ne peuvent pas aller à un festival de musique sans se faire importuner, harceler sexuellement et attaquer”, a réagi le Premier ministre Stefan Löfven, pourtant responsable du laxisme qui a permis à tant d’immigrés d’entrer en Suède sans difficulté.

 

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