Très beau reportage sur Pegida en Allemagne de l’Est, et plus particulièrement à Dresde, où le mouvement est né. Ceci alors que Bernard Cazeneuve a interdit la manifestation de Pegida à Calais ce 6 février, tandis qu’il avait autorisé la manifestation pro-immigrée de la semaine passée qui avait causé de nombreux dégâts et troubles. Devant ce qu’ils considèrent comme une injustice les responsables français de Pégida ont appelé au maintien de la manifestation. 

Ce reportage expose les racines de Pegida et son histoire, encore très récente. A cette occasion on comprend que l’Allemagne reste divisée et que c’est l’Allemagne de l’Est la moins complexée qui ose encore affirmer son identité. On apprend la réelle influence de Pégida au-delà du dénigrement systématique des gros médias et des sondages truqués, alors que les élections locales démontrent tout l’inverse. Tatiana Festerling, est longuement interviewée et de belles images nous permettent d’admirer la beauté extraordinaire de la ville historique, détruite en 1945, qui a été reconstruite à l’identique, contrairement à de nombreuses villes d’Allemagne de l’Ouest sans âme, alors que Dresde est certainement la ville qui a le plus souffert de la victoire des Alliés en 1945.

Alors que l’Allemagne fait face depuis des mois à un afflux massif de migrants, PEGIDA organise chaque lundi à Dresde dans l’Est de l’Allemagne une manifestation contre “l’islamisation de l’Occident” qui rassemble des milliers de personnes.

En direct de Dresde la manifestation de ce 6 février 2016

A noter que de nombreuses autres manifestions ont été interdites en France aujourd’hui, notamment les manifestations en commémoration des morts du 6 février 1934. La principale aurait du se tenir à Paris à l’appel de l’Action Française. A cette époque déjà le pouvoir des gauches responsable de l’invasion allemande du pays quelque temps plus tard, s’était dressé contre la manifestation des ligues nationalistes, le 6 février 1934, principalement composées des anciens combattants des tranchées de la guerre de 1914-18. La police obéissant aux ordres du gouvernement du Cartel des gauches n’avait pas hésité à faire feu sur la foule. 37 poilus (pour la plupart) qui n’étaient pas morts sous les balles allemandes, sont ainsi tombés sous les balles de la police du Cartel des gauches. Chaque année les identitaires ont pour coutume de commémorer les morts du 6 février 1934 sous les coups de l’anti-France.

Une manifestation à Roquevaire prés de Marseille de l’Action française a également été interdite, ainsi que plusieurs autres ailleurs en France, seule celle de Montpellier semble avoir été autorisée.

Pour de plus amples détails: De l’affaire Stavisky au 6 février 1934

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