turin-et-les-immigresLa situation à Turin pourrait devenir explosive : des centaines de clandestins se révoltent contre les Italiens dans le village olympique du Moi devenu une zone chaude de la ville piémontaise. Depuis quelques jours les violences entre autochtones et allogènes se multiplient.

Ce sont plus de 1300 “migrants”, la plupart des jeunes hommes musulmans d’origine africaine plus une quarantaine de familles, qui occupent abusivement, illégalement, les logements de l’ancien village olympique, le Moi, qui auraient du être affectés à des étudiants.

Le Moi c’est devenue une banlieue africaine en territoire italien ! Matelas et couvertures sous les escaliers, chaises et tables à l’extérieur, parce que les clandestins sont tellement nombreux qu’ils ne rentrent même pas tous dans les 4 immeubles de l’ex-village sportif.

Une guérilla s’est déchaînée mercredi dernier. A cause d’une chaise parait-il, d’après les investigations de la police. Une chaise que les immigrés sont allés réclamer dans un bar proche, rendez-vous des “tifosi” de foot. Mais avant de quitter les lieux, les deux soi-disant “réfugiés” ont voulu aussi emporter une seconde chaise et une petite table. Ce qui a provoqué une réaction des supporters présents qui ont lancé deux bombes explosives en cartons sur les immeubles du Moi. Pour donner une leçon aux clandestins, pour leur montrer que ce ne sont pas eux qui commandent à Turin !

Plus de 300 clandestins sont alors descendus dans la rue pour protester contre des Italiens exaspérés en lançant des bouteilles et des poubelles, en déracinant les panneaux de signalisation, et en criant en chœur des insultes : “racistes”, “bâtards”, “charognes”.

Et maintenant ces clandestins illégaux émettent des menaces, rapporte Il Giornale :

“Vous Italiens dîtes maintenant à vos enfants que nous ne sommes pas des chiens. Tenez-les tranquilles, parce que notre patience finira un jour ou l’autre. Et alors nous-aussi nous irons prendre des bidons d’essence pour les lancer contre les devantures, un mort pour nous, un mort pour les autres.” Et concluent : “Allah guidera notre vengeance”.

La ligue du Nord parle de “désordres désormais quotidiens”. Le préfet de Turin, Renato Saccone, a décidé de renforcer les contrôles et de mettre des dispositifs permanents de policiers et de carabiniers sur les lieux afin de surveiller la situation. Le chef du gouvernement Matteo Renzi évoque, quant à lui, la possibilité de déployer l’armée sur ce territoire de non-droit.

Le “vivre-ensemble” tant prôné devient source de guérilla et de violences. Et pas seulement à Turin, pas seulement en Italie…

Francesca de Villasmundo

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