Bernard Caseneuve vient de préciser:

“L’identité du criminel est en cours de précision mais nous savons d’ores et déjà qu’il pourrait s’agir de Yassine Sahli. Ce personnage avait fait l’objet d’une fiche S en 2006 pour radicalisation qui n’a pas été renouvelée en 2008. Il n’avait aucun casier judiciaire et nous saurons, dans le cadre de l’enquête en cours, si d’autres éléments le concernant permettent de préciser son profil”. “Des instructions ont été données pour que l’enquête se poursuive”, a également indiqué le ministre de l’Intérieur, notamment pour établir l’existence d'”éventuelles complicités”.  “Des personnes ayant pu participer à ce crime abject ont été palcées en garde à vue. L’enquête dira s’ils sont impliqués et, s’ils le sont, de quelle manière”. “La victime est en cours d’identification.”

Le suspect, a également indiqué le ministre, a été neutralisé par un pompier, qui s’est rendu sur place et a agi avec “beaucoup de courage, beaucoup de sang-froid”.

Bernard Cazeneuve a également dit qu’il ne pouvait pas préciser si ce barbare avait des complices, puisque cela risquerait de compromettre des arrestations en cours. Ce qui laisse supposer qu’effectivement le suspect a agi avec des complicités. 

Le ministre a également révélé que le barbare arrêté par ce courageux pompier, habite Saint-Priest, une commune de la banlieue de Lyon. Les pompiers ont été les premiers à arriver sur le lieu de l’explosion terroriste, alors que, semble-t-il, le terroriste était toujours dans sa voiture.

Par contre on ignore le nom de l’innocente victime décapitée dont la tête a été accrochée au grillage de l’usine avec des inscriptions en arabe dessus, ainsi que deux drapeaux de l’Etat islamique (d’après les éléments recueillis) qui étaient également présents, l’un noir et l’autre blanc, tous les deux avec des inscriptions arabes dont la traduction n’est pas encore connue.

40 autres victimes ont été conduites dans des hôpitaux de la région.

Généralement la lâcheté islamiste ne manque jamais d’atteindre ses buts, comme on le constate. N’oublions pas les récentes menaces de ce groupe de barbaresques: « des attentats seront commis par les nôtres qui entreront en Europe avec les clandestins. »

Donc, l’Etat islamique ne manque pas de petits soldats sur le territoire français. Bernard Cazeneuve peut se vanter d’avoir eu du flair lorsqu’il déclarait le 5 août 2014 : “Ce n’est pas un délit de prôner le djihad“!Voir note Il est vrai qu’à ce moment-là le but était d’encourager les musulmans de France à aller décapiter les Syriens…

Rassurez-vous, il ne s’est pas repenti et il est toujours aux affaires, à recommander comme François Hollande, de ne pas faire d’amalgame et à soigner aux petits oignons l’ électorat musulman du Parti Socialiste.

Sans faire aucun amalgame, les attentats islamistes ne datent pas du mois de janvier contrairement à ce que tentent de nous faire croire les médias officiels.

Cette vague d’attentats islamistes remontent au moins à Khaled Kelkal, en 1995. Celui-ci, était un “français”, né en Algérie, mais néanmoins terroriste islamiste algérien, membre du Groupe islamique armé (GIA), qui a fini abattu le à Vaugneray, par la police après une longue course poursuite. Khaled Kelkal était déjà l’un des principaux responsables de la vague d’attentats commis en France durant l’été 1995.

N’oublions pas non plus, parmi les attentats en lien avec le djihadisme cher à Bernard Cazeneuve, les multiples attentats qui ont entouré la fête de Noël de l’année passée… Et dont plus personne ne parle, puisque selon la version officielle, il ne s’agissait que de malades mentaux, islamistes par hasard, sans doute!

Enfin, n’oublions pas les attentats déjoués de Villejuif contre une ou des églises, avec l’assassinat d’Aurélie Châtelain.

______________

Note, indiquant le contexte de cette déclaration:

Le ministère de l’Intérieur nous confirme avoir été alerté au sujet de ce livre “salafiste aux propos radicaux”. Mais bien que la polémique intervienne en plein plan anti-djihad, les services de Bernard Cazeneuve assurent qu’ils ne peuvent rien faire. “On ne peut pas interdire des livres dès qu’ils sont choquants. S’il n’y a pas d’appel à la haine ou d’apologie du terrorisme, on ne peut pas l’interdire. Ce n’est pas un délit de prôner le djihad, ce n’est pénalement pas répréhensible“, affirme-t-on au cabinet du ministre, tout en assurant mener “une expertise juridique” pour s’en assurer. Et le ministère des Cultes de tempérer la polémique, en rappelant que ce genre de contenus n’est pas l’apanage d’ouvrages islamiques : “Si l’on prend la Bible, c’est pareil, il y a également des passages choquants et pourtant, on ne va pas l’interdire”. (Source: Metronews du 29-07-2014 19:12 – Auteur: Aurélien Tardieu)


Attentat en Isère : Cazeneuve donne l’identité… par lemondefr

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