Nous sommes en droit de nous poser quelques questions en ce qui concerne cette épidémie de Coronavirus 19 et surtout, la façon dont elle est si mal traitée en France.
Pourquoi isoler une population entière – bien portants, porteurs de virus et malades – quand nous savons que cette mesure non seulement ne fait pas reculer l’épidémie mais vraisemblablement la renforce, ce qui est facile à comprendre puisque corrélativement, seuls ceux qui ont des symptômes graves sont testés – donc souvent… trop tard – et qu’aucune mesure n’est prise pour dépister les porteurs de virus asymptômatiques qui contaminent leur entourage à leur insu : même avec un isolement général qui ne peut jamais être à 100%, la croissance de l’épidémie ne peut être qu’exponentielle.
C’est ce qui se passe dans les pays qui ont adopté cette politique : France, Espagne, l’Italie…
Pourquoi poursuivre cette politique d’isolement général alors que l’on sait que cette mesure aboutit aux taux de mortalité les plus importants de 3,5%, 5%, 10%, des taux qui ne font que croître quand l’Allemagne – pour ne parler que d’elle puisqu’elle fait partie de l’Union européenne si chère à micro-Macron – enregistre un taux de mortalité de 0,2% .
D’où vient la différence ?
Première mesure : Angela Merkel a fermé ses frontières, ce à quoi ne se résout résolument pas micro-Macron,
Deuxième mesure : l’Allemagne a choisi de dépister le plus de monde possible et, en conséquence de ce dépistage précoce, de traiter les malades au stade où la maladie a toutes chances d’être enrayée.

Le mépris assassin à l’égard d’un chercheur qui trouve !
Questions :
Pourquoi les « charlots » qui nous gouvernent traitent avec un honteux et souverain mépris les recommandations expresses d’un des plus éminents Professeurs au monde en infectiologie, Didier Raoult, directeur de l’institut hospitalier universitaire de Marseille, mondialement connu et reconnu pour ses travaux et publications, l’un des plus grands chercheurs qui, non seulement cherche, mais trouve ?
Alors que ceux qui nous gouvernent devraient s’incliner devant ses recommandations, tout ce qu’il dit et fait est traité avec un mépris insultant par tous ces insuffisants de la politique et par ceux, tout aussi insuffisants et prétendus médecins, qui passent plus de temps sur les plateaux de télévision que dans les laboratoires de recherche, les cabinets médicaux ou les hôpitaux. La notoriété du Professeur Raoult empêche désormais tous ces « charlots » de pouvoir l’ignorer complètement mais pourquoi font-ils tout pour minimiser l’impact de tout ce qu’il dit et de tout ce qu’il fait ?
Que sont ces recommandations ? elles sont simples : dépister le plus de monde possible, isoler seulement les personnes porteuses du virus et traiter.
Est-ce possible ? les pays qui l’ont fait – outre la fermeture des frontières – voient l’épidémie régresser : Chine, Corée du Sud, Iran, Russie et…Allemagne. Pourquoi pas nous ?

Dépister le plus de monde, est-ce possible ?
Le professeur Raoult affirme que c’est possible. Il demande donc avec insistance d’augmenter les tests afin de pouvoir ainsi traiter tous les porteurs : « c’est de la PCR (réaction en chaine par polymérase) banale que tout le monde peut faire, la question c’est l’organisation, pas la technique… la capacité de diagnostic, nous l’avons, c’est un choix stratégique…. On a pris la stratégie de très peu tester…(mais) on est capables, dans ce pays, comme n’importe où, de faire des milliers de tests et de tester tout le monde ». C’est le choix fait par les coréens et les chinois qui ont maîtrisé l’épidémie en faisant dépistage et traitement.
A cet égard, le Professeur Raoult indique que tous les laboratoires d’analyse peuvent être équipés des moyens de diagnostic adaptés et ce rapidement : techniquement, dit-il, c’est possible, il suffit de s’organiser, après quoi, il faut isoler seulement les personnes porteuses du virus.

Traiter, est ce possible ?
Le professeur Raoult l’affirme : oui, c’est possible, et il a établi un protocole de traitement à base de « chloroquine », médicament très bon marché, utilisé depuis fort longtemps sur des temps longs et dont il connait l’inocuité puisqu’il est utilisé depuis de nombreuses années pour traiter préventivement et curativement le paludisme, entre autres maladies.
De tout ceci, le gouvernement est informé depuis le 25 février.
Le professeur Raoult s’étonne que rien n’ait été fait ( sauf de mettre toute la population sous cloche et d’asphyxier le pays! ndlr).

Qu’attend le gouvernement pour agir efficacement ?
A cet égard, beaucoup de questions se posent :
Comment se fait-il que la « chloroquine », commercialisée sous le nom de « nivaquine » ou «plaquenil », dont l’inocuité est prouvée par le fait même qu’elle a toujours été en vente libre dans les pharmacies, est devenue subitement délivrable seulement sur ordonnance par un arrêté du ministère de la Santé en date du 15 janvier 2020 – médicament désormais classé dans la catégorie des « substances vénéneuses » ?
Comment se fait-il que des voix multiples – qui se prétendent autorisées parmi de prétendus spécialistes – se font entendre dans des journaux, à la TV, pour mettre en garde contre les soi-disant et subits dangers de la chloroquine qui aurait des « effets secondaires graves » (sic) ?
Comment se fait-il que ces mêmes voix, négligeant le protocole proposé par le Professeur Didier Raoult, mettent à l’essai d’autres protocoles, « Discovery » pour l’Europe avec un panel de 800 malades et « Solidatiry », essai international réalisé sous l’égide de l’OMS, alors que, d’une part notre temps est compté dans la résolution de cette épidémie, d’autre part, il s’agirait de nouvelles molécules dont on ignorerait les effets secondaires alors qu’un médicament ancien comme la « chloroquine », assure toute sécurité sanitaire ?

Et « SANOFI » dans tout cela ?
Comment se fait-il aussi que, nous rendant en pharmacie, il nous est répondu que SANOFI, géant mondial de la Santé, avec un chiffre d’affaires annuel de 33,8 milliards d’euros, 81 sites dans le monde dont 18 sites de production en France, a réquisitionné tous les stocks de « chloroquine » existant en pharmacie pour soi-disant, faire des essais de traitement, comme si cette entreprise n’était pas apte à fabriquer, dans les plus brefs délais, tout le stock nécessaire pour réaliser des tests et faire face à l’épidémie ?
Pour neutraliser les effets de cette réquisition pour le moins suspecte et maniant très habilement sa communication SANOFI annonce : sa « mise à disposition gratuite pour traiter 300 000 patients…au vu des résultats qui sont jugés prometteurs ».
Cette annonce est présentée comme si cette mise à disposition était immédiate et qu’il y aurait un lien entre la réquisition et la mise à disposition : il n’en est rien !
En effet, alors qu’en raison de l’urgence, il faudrait bousculer les protocoles, SANOFI indique qu’il « soutiendra les essais cliniques qui vont être déployés sur le plan national dès lors que les conditions protocolaires de ces essais seront réunies conformément aux bonne pratiques cliniques en vigueur et validées par les autorités compétentes »…
Autrement dit, au lieu de faire face à la situation d’urgence qui voudrait que la diffusion de « chloroquine » se fasse le plus possible et le plus rapidement possible – ce qui se fait dans d’autres pays comme les Etats-Unis où Donald Trump a annoncé ce jour, la diffusion de chloroquine dès demain – SANOFI laisse passer du temps, un temps précieux pendant lequel les malades ont le temps de « tomber comme des mouches » et que l’isolement général est en train de renforcer dangereusement et la crise sanitaire, et la crise économique!
Est-ce innocent ?
De plus, SANOFI indique : « en accord avec l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM), nous procéderons à une surveillance particulière des commandes qui nous sont adressées relatives à cette spécialité aux fins de les contrôler et de les contingenter, ceci afin de s’assurer que l’utilisation de ce médicament soit bien conforme à ses indications actuellement autorisées : poyarthrite rhumatoïde, lupus érythémateux …
Autrement dit, alors que ce médicament est connu, qu’il ne présente aucun danger pour la santé, qu’il est utilisé pour le traitement d’autres maladies, bénéficiant à ce titre, des validations nécessaires – de l’AMM (autorisation de mise sur le marché) – que le seul risque serait son inefficacité contre le coronavirus, avec cependant une probabilité très forte que son usage enraye rapidement l’épidémie, SANOFI fait obstacle à la réussite de ce traitement, non seulement en voulant se soumettre à une procédure longue, nous faisant perdre ainsi un temps précieux, mais voulant également surveiller la commercialisation du produit afin de s’assurer que ce médicament n’est pas utilisé contre le coronavirus ! un comble !

Résumons-nous
Une procédure inadaptée d’isolement général, d’absence de test à grande échelle mais seulement sur des malades traités à un stade avancé de la maladie, générant une mortalité qui ne cesse d’augmenter, alors même que dépistage à grande échelle, isolement limité aux porteurs du virus et traitement précoce, adoptés par d’autres pays, permettent d’enrayer la maladie,
Des solutions crédibles méprisées, détournées, alors qu’elles sont proposées par un des plus éminents Professeurs en infectiologie au monde, solutions dont le gouvernement ne consent à en permettre l’usage que « pour les cas sévères et sur décision collégiale des médecins , autrement dit, « attendons que la maladie s’aggrave pour donner un traitement ! ». Du jamais vu ! système qui réduit considérablement la portée du protocole et ne permet pas d’enrayer la contagion,
Des projets de protocoles qui arriveront trop tard et pourront s’avérer dangereux dans la mesure où, comme le souligne le professeur Raoult, les effets secondaires seront méconnus.
Enfin SANOFI qui, non seulement ne met pas sur le marché un médicament qui a toutes les chances d’enrayer la maladie mais le réquisitionne pour le commercialiser « au compte-gouttes » et à condition que cette molécule ne serve pas au traitement du coronavirus !

Conclusion
Si cela ne traduit pas la volonté manifeste de ceux qui ont le pouvoir de décision, de faire obstacle à la solution, cela y ressemble ! Tout ce qui nous sortirait de l’ornière dans laquelle nous ont mis et continuent de nous mettre ceux qui nous gouvernent, tout ce qui permettrait au pays de fonctionner normalement est écarté.
En réalité, non seulement le gouvernement n’apporte pas la solution mais il crée et il EST le problème !

Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !

MPI vous informe gratuitement

Recevez la liste des nouveaux articles

Je veux recevoir la lettre d'information :

Nous n’envoyons pas de messages indésirables ! Lisez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

9 Commentaires
Les plus anciens
Les plus récents Les mieux notés
Inline Feedbacks
Voir tous les commentaires

Abonnez-vous à CARITAS !

Ça y est, le numéro 1 de la tout nouvelle revue Caritas est chez l’imprimeur et en prévente sur MCP.

Nous vous l’avions annoncé dans un précédent mailing : la naissance d’une toute nouvelle revue de qualité, Caritas, la revue du pays réel, et la parution prochaine de son premier numéro de 86 pages. Bonne nouvelle, : ce numéro 1 de Caritas qui consacre son dossier à la Lutte contre la haine anticatholique vient d’être envoyé à l’imprimerie et sera bientôt dans les librairies et les boites aux lettres des abonnés.

Militez,

En achetant le n°1 de CARITAS : Lutter contre la haine anticatholique

En s’abonnant à cette nouvelle revue : la revue CARITAS !