Hier vendredi 15 mars, dans une centaine de pays, les étudiants et les lycéens-collégiens ont fait « grève » pour protester contre les politiciens qui ne prennent pas, selon eux, de mesures fortes contre le réchauffement climatique global.

Une initiative, qui d’après la narration officielle, naît de l’exemple de la jeune Suédoise de 16 ans, Greta Thunberg. C’est la vraie “rock-star” du moment. En première page de tous les grands journaux mainstream de l’univers : tout le monde en parle, lui offre des entretiens ! La consécration définitive est arrivée cette semaine : l’adolescente activiste, promotrice de cette « marche des jeunes pour le climat »,  Climate Strike, en Europe et ailleurs, a été proposée pour recevoir le Prix Nobel de la Paix « en signe de reconnaissance pour son engagement contre la crise climatique et le réchauffement global ».

Lors d’un de ces nombreux entretiens, Greta Thunberg a déclaré au quotidien italien radical-chic La Repubblica :

« Nous sommes en plein dans une crise. Et c’est la plus urgente et grave que le genre humain a eu à affronter. Nous sommes en train de scier la branche sur laquelle nous sommes assis et la majeure partie de la population mondiale n’a pas idée des conséquences possibles à cause de notre incapacité à réagir. »

Mais les choses sont un peu plus complexes : derrière cette mobilisation, derrière cette jeune autiste, affectée du syndrome d’Asperger, se cachent des élites écologistes et fondations américaines qui sont en train d’utiliser les jeunes pour des batailles qui valent des centaines de milliards de dollars !

Greta Thunberg, qui tous les vendredis s’assoit en face du parlement suédois avec une pancarte dans les mains sur laquelle est écrit ‘Skolstrejk för klimatet’, « grève de l’école pour le climat », n’est pas un phénomène spontané né de nulle part mais est habillement utilisée dans une stratégie de marketing.

Andreas Henriksson, fameux journaliste d’investigation suédois, a dévoiler le pot-aux-roses. Après reconstitution des événements, il a découvert que cette grève scolaire faisait partie d’une stratégie publicitaire pour lancer Scenes from the Heart, le nouveau livre de la mère de Greta, la célèbre chanteuse Malena Ernman, et que le grand stratège de cette campagne est un ami de la famille, Ingmar Rentzhog, expert en marketing et publicité. Ce dernier a profité, de son côté, de l’image de la jeune fille pour lancer sa start-up, We Do not Have Time (Nous n’avons pas le temps) ayant pour but d’influencer les décisions des politiques contre le réchauffement climatique. Ingmar Rentzhog se vante pourtant « d’avoir découvert la jeune fille » sur le trottoir et ensuite « d’avoir fait croître sa popularité ». Très rapidement, grâce à Greta, l’icône de We Do not Have Time,  cette start-up décolle, et lance une campagne de  crowdfunding pour environ 2,8 million de euros

Rien de vraiment fortuit, rien de vraiment spontané : l’immédiat succès de Greta est du à une habille propagande, relayée par le monde médiatique politiquement et climatiquement correct, en direction tout particulièrement de ces jeunes générations endoctrinées. Cette campagne climato-fanatique vise à soulever une population juvénile, que l’on a matraqué depuis des décennies avec une propagande sans fin et anxyogène sur l’éminence d’une catastrophe climatique. Et ce dans le but de contraindre les gouvernements à approuver des législations écologiques, véritable carcan pour les classes moyennes et pauvres des pays occidentaux (la révolte des Gilets jaunes prend sa source dans l’augmentation du prix de l’essence et diesel, ces énergies fossiles qu’il faut éliminer selon la doxa écologique !). Ces jeunes sont devenus des proies faciles et dociles entre les mains d’élites et de fondations de milliardaires, telle la Fondation Rockefeller, qui sont en train d‘imposer une dictature globale au nom de la lutte contre les changements climatiques tout en encaissant des milliards de dollars.

Le tout a une saveur d’exploitation d’enfants. Plus grave, cette manipulation de Greta et des jeunes, bien comparable à l’endoctrinement des jeunes esprits pratiqué dans les régimes totalitaires, se fait au nom de la lute contre un « changement climatique » sur lequel les hommes ne peuvent rien … puisque le climat a toujours changé au fil des siècles !

Mais ces mêmes élites globalistes et écologiques l’imputent à l’homme : le grand péché d’aujourd’hui c’est de respirer, la pénitence c’est de payer la taxe carbone !

Francesca de Villasmundo

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