L’Église conciliaire sombre dans des scandales sexuels sans précédents, la division est partout, la désobéissance s’érige en maître de toute part, la pauvre unité doctrinale qui pouvait subsister dans le monde conciliaire, malgré des années de modernisme et de progressisme effrénés s’effrite, les églises se vident et les sectes font le plein, et le pape François a une préoccupation primordiale : la montée des ‘populismes ‘ !

Non pas que la mort de l’Église conciliaire et de sa doctrine néo-protestante et néo-moderniste nous rendrait triste. Bien au contraire… Mais l’attitude du pape argentin, plus préoccupé des choses temporelles que spirituelles, témoigne du peu de considération qu’il a pour la désorientation religieuse et morale des fidèles de son troupeau qui ne savent plus à quels vrais saints se vouer pour sauver leur âme ; et du peu d’intérêt qu’il a pour l’apostasie diabolique qui peuple l’enfer !

Lors de ses vœux au corps diplomatique auprès du Saint-Siège, le pape François a donc mis en garde contre « le retour des populismes », la bête noire à éradiquer de la surface de la terre plus que l’empire de Satan qui s’intensifie sur le monde par la faute de bien de ces diplomates initiés à des politiques anti-chrétiennes et promouvant les mœurs contre-nature.

Il a évoqué « la période entre les deux guerres » quand « les propensions populistes et nationalistes prévalaient sur l’action de la Société des Nations » pour en faire un parallèle avec l’époque actuelle : d’après lui « la réapparition de telles pulsions est en train d’affaiblir le système multilatéral, avec comme conséquences un manque de confiance général, une crise de crédibilité de la politique internationale » et « une progressive marginalisation des membres les plus vulnérables de la famille des nations ». Il a montré sa préoccupation pour « la réémergence des tendances nationalistes, qui ne recourent pas à ces instruments que le droit international prévoit pour résoudre les controverses et assurer le respect de la justice, également à travers les Cours internationales ».

Fervent défenseur de ces institutions supra-nationales hostiles au souverainisme, il termine son discours anxiogène par une attaque subreptice aux gouvernements définis par l’establishment politiquement correct de ‘populistes’ : cette attitude déplore-t-il est « parfois le fruit de la réaction de ceux qui sont appelés à des responsabilités de gouvernement face à un mal-être prononcé qui est en train de se développer toujours plus parmi les citoyens de bien des pays ».

Manifestement ce pape argentin se complaît dans la posture d’ami des mondialistes et d’ennemi des nationalistes, identitaires, souverainistes…

Francesca de Villasmundo

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