Wighard Strehlow, docteur en sciences et naturothérapeute, a dirigé de 1993 à 2003 la maison de cure de Sainte Hildegarde sur les rives du lac de Constance et a publié plusieurs ouvrages de référence sur la médecine hildegardienne.
L’intérêt pour la médecine naturelle s’est considérablement développé ces dernières années. Or, dans ce domaine, on doit beaucoup à une religieuse bénédictine, Hildegarde de Bingen (1098-1179), fondatrice de l’abbaye de Rupertsberg et de l’abbaye d’Eibingen. Considérée comme la première naturaliste d’Allemagne et pratiquant la médecine, elle a laissé de nombreux écrits sur divers sujets, dont les plantes et les remèdes naturels.
Le Dr Strehlow, naturopathe, propose donc à nos contemporains de redécouvrir les conseils d’Hildegarde de Bingen pour retrouver la santé. L’ouvrage présente les « règles d’or » de l’art de guérir de sainte Hildegarde, rappelant l’importance du choix des aliments, du repos et du sommeil, de l’exercice physique, sans oublier la prière et la méditation, car l’âme a besoin d’autant d’attention que le corps.
Ce livre est conçu de façon pratique puisqu’un indexe des maladies et de leurs causes ainsi qu’un indexe des remèdes se complètent pour faciliter les recherches des lecteurs. Il contient des recettes pour fabriquer les remèdes naturels et des sélections de menus types en fonction des problèmes de santé à résoudre.
Prévision et guérison selon Hildegarde de Bingen, Dr Wighard Strehlow, éditions du Rocher, 320 pages, 19,90 euros
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Le diable ne se cache plus.
(Vous avez envoyé cela pendant que j’écrivais ce qui suit.) Vous avez raison, mais comme ça du moins on peut voir et viser ce monsieur. J’étais en 2010 pendant quelques mois en Australie et je peux rapporter qu’à côté de leur lycée de garçons situé à Tynong, 74 km au sud-ouest du centre de Melbourne (c’est peu en Australie), la FSSPX a construit une église énorme, plus grande que St Nicolas du Chardonnet, dont la grand-messe de dimanche, bien chantée (en alternance, Dieu merci) par une bonne schola d’hommes et une pareille de femmes, est toujours pleine à craquer, bourrée de jeunes familles hétérosexuelles avec leurs nombreux enfants. Voilà l’autre côté de la médaille ; nil de-spe-ran-dum.
Un grand poète australien, dont le père a fait la guerre de ’14 dans les tranchées en tant que pasteur anglican, a écrit déjà en 1939, en parlant des grandes villes australiennes :
‹ In them at last the ultimate men arrive,
‹ Whose boast is not ‘we live’ but ‘we survive’,
‹ A type which will inhabit the dying earth. ›
‘Y parviennent enfin les hommes ultimes,
‘Qui se vantent non pas de vivre, mais de survivre ;
‘C’est une race qui habitera la planète mourante.’
Il y a là dans l’original en plus une allusion à une forme de salutation en argot australien:
A. Comment ça va, pote, tout va bien ?
B. Je survis, et toi ?
A. Je survis.
Mais vouloir se perpétuer en tant qu’homosexuel, c’est un peu osé, je trouve. Qu’aurait fait Sophocle de cette matière !
Dur dur d’être généalogiste au XXIè siècle!
Puisque c’est l’Australie qui est actuellement à la une, je contribue l’information que le mariage entre oncle et nièce ou tante et neveu n’y a jamais été interdit, et même en ce qui concerne notre Église, une simple dispense y suffit, ce qui doit donc a fortiori être vrai pour les mariages entre cousins. En ce qui concerne ce curieux trio, le frère est un peu plus que le père adoptif, puisqu’il a le même profil génétique que la sœur-mère, si je ne me trompe pas.
Si c’est le sperme de Bradley Tennant, il n’aura pas d’enfant avec sa soeur.
Le frère ne donnant pas son sperme, ce n’est pas un inceste. Il faut que vous rectifiez ce titre.
C’est plus compliqué que cela…
Coucher avec la femme de son frère est un inceste.
Là, la « femme » du frère est un homme, et il n’y a pas coucherie.
Inceste n’est donc en effet pas le terme approprié, mais il faudrait en inventer un nouveau, puisque le phénomène observé n’a jamais existé avant.
Franchement, Sodome, c’était du menu fretin en comparaison de si magnifique époque !
« L’aînée dit à la plus jeune: “Notre père est vieux ; et il n’y a point d’homme dans la contrée, pour venir vers nous, selon l’usage de tous les pays. Viens, faisons boire du vin à notre père, et couchons avec lui, pour que nous conservions la race de notre père”. Elles firent donc boire du vin à leur père cette nuit-là ; et l’aînée alla coucher avec son père. Il ne s’aperçut ni quand elle se coucha, ni quand elle se leva. Le lendemain, l’aînée dit à la plus jeune: “ Voici, j’ai couché la nuit dernière avec mon père; faisons-lui boire du vin encore cette nuit, et va coucher avec lui, pour que nous conservions la race de notre père”. Elles firent boire du vin à leur père encore cette nuit-là ; et la cadette alla coucher avec lui. Il ne s’aperçut ni quand elle se coucha, ni quand elle se leva. Les deux filles de Loth devinrent enceintes de leur père. L’aînée enfanta un fils, qu’elle appela du nom de Moab. C’est le père des Moabites, jusqu’à ce jour. La plus jeune enfanta aussi un fils, qu’elle appela du nom de Ben-Ammil. C’est le père des Ammonites, jusqu’à ce jour. »
@ MCF68
Moabites et Ammonites ne plurent pas à Dieu.
@ MCF68
Et Sodome donna les sodomites. Et Sodome fut détruite par le feu.
On pourrait aussi se poser la question avec qui Caïn a t’il eu des enfants ?
Ce cas n’est pas un inceste puisque le frère n’est pas lié parle sang à la jeune fille. Vous vivez à une époque révolue.
C’est alors que Dieu pour empêcher la branche des enfants de Dieu d’être totalement corrompue par la branche des enfants des hommes , envoya le déluge universel pour étendre la débauche des hommes sous le poids des eaux et détruire les monstres engendrés par la luxure des sans-Dieu à la sensualité insatiable puisque enflammée par les feux de Satan . (…)
» Que l’homme sache que maintenant , les temps sont mûrs «
VkIVE LA POLYGAMIE !
C’est là que ça se passe , Selak Saspas
Direct en enfer , vous êtes un volontaire apparemment .
VIVE LA POLYGAMIE !
Ce n’est pas de la polygamie.