Si la propagande, juive en général et israélienne en particulier, n’hésite pas à glorifier ceux qui ont aidé des juifs en d’autres temps, aujourd’hui qualifiés de « justes parmi les nations », force est de constater qu’en Israël la situation actuellement n’est plus exactement la même…

L’histoire qui suit, relatée par l’ineffable Israël-Info.news devrait à l’avenir faire réfléchir tout palestinien aux penchants collabo-sionistes sur la façon dont s’exprime la gratitude des « élus »…

Le héros – dont l’identité n’est pas révélée par sécurité – est nommé ici A.

(Nous respectons comme à l’accoutumé syntaxe et orthographe des auteurs)

https://infos-israel.news/ce-palestinien-a-sauve-des-enfants-juifs-lors-dune-attaque-et-depuis-a-tout-perdu-maison-emploi-famille/

Ce palestinien a sauvé des enfants Juifs lors d’un attentat et a tout perdu : maison, emploi, famille…

« Il y a trois ans, des terroristes ont tiré sur la voiture du rabbin Michael Mark, près d’Hébron, qui a perdu son sang devant ses enfants, et un Palestinien des Territoires a secouru les membres blessés de la famille. Mais les Palestiniens ont réagit et menacé de le tuer, il a été forcé de déménager en Israël, en laissant tout ce qui lui appartenait et a même perdue sa famille.

/…

Afin de comprendre comment sa vie a changé, le journaliste Ohad Hemo l’a rencontré à son domicile quelques heures après la cérémonie au cours de laquelle il a reçu un prix par Israël. L’adresse où habite A. maintenant en Israël a changé, c’est tout simplement la plage et dans une tente. « J’attends que les gens rentrent chez eux et je me douche et je dors dans la tente », a déclaré A. « C’est tout ce qui me reste dans la vie. »

« Ils m’ont congédié de mon travail et personne d’autre ne m’a donné un autre emploi car chaque fois que quelqu’un envisageait de m’embaucher, il me demandait de quel village je viens et tout le monde me disait que je coopérerais avec d’autres palestiniens. « L’Autorité palestinienne est entrée par effraction dans ma maison et a effrayé ma famille. Si je reviens, je sais qu’ils vont m’exécuter. »

/…

A. s’est adressé à l’administration civile pour leur dire qu’il était en danger et que si il devait se rendre dans les territoires, il sera tué. Le comité a décidé d’accepter sa demande et de l’autoriser à vivre en Israël, mais il lui était interdit de travailler. Il se promène depuis deux ans et demi, engagé dans une lutte pour sa survie sans que l’État ne puisse le soutenir.

« Je vis ainsi depuis trois ans et je vais vous dire la vérité, je souffre énormément. J’ai travaillé à Beer Sheva pour 10 NIS par heure. Je n’ai pas de nourriture et je n’ai nulle part où vivre », a déclaré A. « Je suis allé dormir sur le chemin de fer à Beer-Sheva. J’ai travaillé pendant un mois et j’ai reçu. 2 000 NIS. Si je me plains, on va me renvoyer dans mon village », a-t-il déclaré. Je leur ai demandé de me jeter en prison alors le policier m’a jeté dehors et m’a dit qu’il ne voulait pas avoir d’ennuis. «

L’organisation Shurat Hadin, a décidé de venir en aide à A. Il l’accompagne légalement. D’un côté, le comité des menaces, qui n’accepte pas toujours de renouveler son permis de travail et de l’autre, le ministère de l’Intérieur, à qui ils demandent que lui et sa famille obtiennent la résidence permanente. »

Enfin…Au bout de 3 ans et il n’a pas encore gain de cause! Une leçon à retenir pour tous les Palestiniens…

On comprend que la reconnaissance empressée des Israéliens n’encourage pas forcément à la coopération…

Claude Timmerman

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