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5e mois consécutif de forte baisse de la natalité en France métropolitaine

Cette fois-ci, le doute n’est plus permis. La France, tout comme la Suède et l’Allemagne, subit une forte baisse de sa natalité, comprise entre 5 et 10% par rapport aux mêmes mois de l’année précédente, alors que l’année 2022 a été déjà la pire depuis 1945.

Voici les évolution détaillées depuis septembre 2022, d’après l’INSEE:

Septembre 2022: 57 000 naissances vivantes (61 774 en septembre 2021), soit – 7,7%

Octobre 2022: 57 400 contre 63 639 en octobre 2021, soit – 9,8%

Novembre 2022: 56 200 contre 59 856 en novembre 2021, soit – 6,1%

Décembre 2022: 55 900 contre 61 105 en décembre 2022, soit – 8,5%

Janvier 2023: 53 400 contre 57 200 en janvier 2022, soit – 6,6%.

On remarque que la guerre en Ukraine, qui aurait pu avoir des conséquences sur la natalité 9 mois après son commencement, soit à partir de décembre 2022, n’en a apparemment pas. La baisse ne s’est ni aggravée (ouf!) ni atténuée.

Cependant, si on se souvient que les derniers mois de 2021 ont vu un grand nombre d’injections censées lutter contre le coronavirus, avant que les media ne soient obligés de reconnaître qu’elles n’étaient guère efficaces (on peut penser qu’elles ne le sont pas du tout), et que les conceptions de ces mois correspondent à des naissances à l’été où à l’automne 2022, on ne peut écarter la possibilité que ce sont ces injections qui font baisser la natalité. Les autorités médicales ont l’obligation morale d’étudier d’éventuels liens de causes à effets entre ces injections et la baisse de la natalité car la coïncidence temporelle est bien présente.

L’INSEE a par ailleurs réévalué à la hausse la natalité de 2022 (686 900 au lieu de 683 000) mais celle-ci reste au plus bas niveau depuis 1945 et la mortalité de la même année (658 200 au lieu de 651 000), ce qui la rend supérieure à celle de 2020 et donc la place au plus haut niveau depuis 1945.

Le solde naturel de 2022 s’établit, de manière cette fois-ci quasi définitive, à + 28 700, au plus bas niveau depuis 1945.

En cas de baisse de la natalité de 5% en 2023 et de stabilité des décès, le solde naturel de la France sera négatif en 2023… tout comme c’est déjà le cas pour presque tous les pays de l’Europe géographique.

 

Gontran Paume

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