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6 février, devoir de mémoire

 

Le 6 février est entré dans l’histoire en 1934 et ne devait plus en sortir.

Il y a 87 ans, jour pour jour, défilaient dans les rues de Paris des manifestants habités par le dégoût de leurs gouvernants taxés de corruption et par l’amour de leur Nation, et désireux de faire entendre leur juste colère. Cela leur coûta une quinzaine d’hommes, tués au cours de cette intervention.

Il y 76 ans, en 1945, un compagnon de ses manifestants, Robert Brasillach, condamné à mort par une justice expéditive aux ordres de De Gaulle, affronta ses bourreaux au Fort de Montrouge. Dans un dernier élan de grandeur d’âme, il leur pardonna cet acte inique.

Aujourd’hui, à ces morts pour la France, rendons un hommage sincère dans nos cœurs, nos foyers, nos paroisses, nos villes… C’est l’entreprise qu’a menée le mouvement nationaliste Jeune Nation. A 9H30 ce matin, une quarantaine de sympathisants se sont retrouvés au cimetière de Charonne, dans le 20e arrondissement de Paris, où reposent Robert Brasillach ainsi que son meilleur ami et beau-frère Maurice Bardèche et son épouse Suzanne Brasillach, la sœur de Robert. Des gerbes de fleurs déposées sur les tombes, Yvan Benedetti, porte-parole du mouvement, suivi de la veuve d’Olivier Grimaldi, fondateur du Cercle Franco-hispanique, ont tenu un discours d’hommage à ces grands hommes.

 

Puis les voix se sont élevées dans le dernier cimetière paroissial de la capitale pour prier et chanter La Cavalcade. Les quelques policiers présents n’ont rien trouvé à redire à cette assemblée de nationalistes convaincus, et non masqués. S’en sont suivies une messe et une petite collation.

En parallèle une vingtaine d’amis de Robert Brasillach se retrouvaient pour une messe célébrée, à la demande de l’Association des ARB (Amis de Robert Brasillach), pour le repos de l’âme du poète assassiné à 35 ans, à Saint-Jacques-du-Haut-Pas, paroisse de la famille Bardèche depuis quelques générations.

« Robert Brasillach : Présent », tel est le cri qui a clôturé la cérémonie hommage au cimetière de Charonne.

Mort, Brasillach est plus que jamais parmi nous, nous guide dans le dur combat mené en faveur de l’intégrité de la nation. Et l’histoire officielle, historiquement correcte, ne pourra jamais nous le faire oublier quelques soient ses initiatives visant à ternir sa mémoire, et la mémoire de toute une génération de combattants amoureux de la France :

« J’ai pu me tromper sur des circonstances, ou des faits, ou sur des personnes, mais je n’ai rien à regretter de l’intention qui m’a fait agir. » Robert Brasillach à son procès. 

Suzi Feufollet

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