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Aigrie par la victoire des pro-vie, les pro-mort saccagent Buenos-Aires

La grande campagne de désinfection de l’Argentine à la fin des années septante a eu probablement son rôle à jouer dans la victoire de la vie lors du vote sénatorial qui a tenu en échec le lobby de la mort le 9 août par 38 voix contre 31 après 15 heures de débats acharnés. Victoire par ailleurs partielle puisqu’en Argentine, l’avortement est possible dans les cas de viols et de mise en danger de la vie de la mère. Mais ce qui émoustille le plus la gauche, c’est évidemment quand c’est l’enfant innocent qui est sacrifié. Sinon, l’offrande à son prince est incomplète.

Sept casseurs gauchistes ont été arrêtés suite à une nuit de casse et d’émeutes avec attaque des forces de police par les escadrons de la (culture de) mort. Pierres, bouteilles et cocktails molotov furent ainsi lancés et des barricades dressées et incendiées. Dès l’annonce de la victoire de la vie, les fanatiques pro-mort qui occupaient une partie de la Place du Congrès depuis le mercredi 8, ont mis bas les masques. Aux hurlements hystériques des harpies brandissant des drapeaux verts (qui est aussi la couleur de la religion la plus meurtrière au monde), se sont joints les actes de violence, notamment une tentative d’aller attaquer les femmes pro-vie qui célébraient leur victoire heureusement déjouée par la vigilance de la brigade anti-émeutes.

L’ancienne présidente de l’Argentine, la très corrompue Cristina Fernandez de Kirchner, tout comme son mari Nestor Carlos Kirchner (lui-même ancien président), a déclaré : »quelle honte que nous n’avons pas été capable d’atteindre un concensus car le problème continuera comme il le faisait au début des débats. Nous devons faire un effort pour le résoudre ». On voit que pour la gauche, il faut faire revoter les gens jusqu’à ce qu’elle obtienne la victoire, et une fois celle-ci obtenue, pas de marche arrière possible, comme on l’a vu au Portugal et en Irlande. C’est pour cela que les yeux des défenseurs de la vie sont posés sur la possibilité qu’à Donald Trump aux Etats-Unis de mettre fin à l’avortement. Si jamais celui-ci est interdit, alors cela signifiera que l’on peut faire reculer la mort et la barbarie.

Hristo XIEP

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