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Cédric Herrou : quand ira-t-il donc en prison ?

L’information est donnée par l’hebdomadaire Valeurs Actuelles. Le militant d’extrême gauche Cédric Herrou a enfin été arrêté pour ses activités de haute trahison le 25 juillet. Il a été interpellé pour la sixième fois avec 156 colons qu’il tentait d’acheminer à Marseille. Jusqu’à là, il s’en était sorti grâce à son avocat, Maître Zia Ouloumi. Mais cette fois, l’affaire s’est compliquée pour Cédric Herrou, le “passeur de migrants”. Il a été déféré à Grasse où il est actuellement incarcéré .La garde à vue et les perquisitions chez Cédric Herrou ont été fructueuses. Les forces de l’ordre ont retrouvé son lieu d’habitation “dans un état lamentable, jonché d’excréments” selon une source proche du dossier, ce qui est normal, les gens prônant une idéologie nauséabonde ne peuvent qu’aimer vivre dans la crasse. Les forces de l’ordre ont consigné dans la procédure des vidéos et des photographies. Les enquêteurs ont également découvert que Cédric Herrou fournissait de fausses attestations de demande d’asile. Mais l’hebdomadaire a été un peu vite en besogne et  – bénéficiant d’importante protection – le collabo a été libéré.

Ce prétendu « agriculteur », en fait militant d’ultragauche, est issu d’une famille de militants staliniens italiens. Pour l’apolitisme, on repassera. La justice lui reproche l’installation en octobre 2016 sans autorisation d’une cinquantaine de colons Erythréens dans un centre de vacances SNCF désaffecté à Saint-Dalmas-de-Tende. L’occupation de ce centre avait pris fin avec l’intervention des forces de l’ordre au bout de trois jours.

Ce multirécidiviste a déjà été condamné, avec une rare clémence notons-le, par la justice, notamment à 3000 euros d’amende. Le procureur Jean-Michel Prêtre avait dans une autre audience le concernant dénoncé l’usage de ce procès comme d’une « tribune politique » et requis à l’encontre de M. Herrou huit mois d’emprisonnement avec sursis, mise à l’épreuve et la confiscation de son véhicule, ainsi qu’un usage limité de son permis de conduire aux besoins de sa profession, ajouant notamment :

« Nous sommes dans la situation d’un procès qui a été voulu, qui procède d’une stratégie générale de communication, de portage militant d’une cause et qui fait que la justice est saisie aujourd’hui de faits reconnus », a-t-il estimé. « Ce n’est pas à la justice de décider de changer la loi, ce n’est pas à la justice de donner une leçon de diplomatie à tel ou tel pays ».

Herrou bénéficie d’un important réseau de soutien issu du puissant lobby collabo : de nombreuses associations d’extrême gauche antifrançaise (Amnesty, la Cimade, la Ligue des droits de l’Homme…), mais aussi dons et de l’aide d’avocats. Il est également soutenu à l’étranger par le quotidien de gauche The New York Times. Il ne l’a pas été, c’est rare donc à noter, soutenu par le Préfet local, Georges-François Leclerc, qui  était sorti de sa réserve pour contredire dans les colonnes de Nice-Matin l’historien Yvan Gastaut, qui avait comparé ceux qui aident les migrants aux « Justes » qui sauvaient les Juifs pendant la Seconde guerre mondiale, ces derniers les récompensant de la façon que l’on sait.

Rappelons par ailleurs que la violation de l’article L-622-1 du code d’entrée du séjour des étrangers et du droit d’asile est passible d’une peine de 5 ans de prison et de 30.000 euros d’amende. Comme le soulignait un site internet dissident : « Ce qui est ironique, c’est que ce Herrou est un anti-raciste forcené, et qu’en même temps il fait comme si ces envahisseurs africains étaient des petits enfants dénués de toute responsabilité ».

L’identité des envahisseurs qu’Herrou introduit dans notre écosystème est intéressant : il s’agit majoritairement d’Erythréens, c’est-à-dire la communauté coloniale la plus impliquée dans les faits-divers les plus sordides. Cette communauté est d’ailleurs défendue selon le classique thème de, l’inversion accusation par le scribouillard Gilles Vincent, écrivaillon sans talent et loué par le torchon stalinien L’Humanité dans un roman à deux sous (oui, même pas quatre), Ce pays qu’on assassine, dont nous reparleront dans le prochain article consacré aux nombreux crimes commis par les colons érythréens dans nos contrées.

Hristo XIEP

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