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Censure pro-mort à Hollywood

On sait qu’Hollywood mérite tout aussi mal son nom que Los Angeles, la ville dont il fait partie. Hollywood devrait s’appeler Cursedwood et Los Angeles, Los Demones.  Véritable égout collecteur des tares de la société, ce lieu né de la volonté de la mafia israélite, est le pandémonium de toutes les déviances : infidélité, pornographie, homosexualité, pédophilie, drogue, violence, corruption,  comme il avait été précisé dans un précédent article. Il va de soi que ce milieu est gangréné par la gauche, ceci expliquant cela.

L’information a été donnée par le blog Reinformation.TV le 9 juillet : le puissant lobby de mort tenant Hollywood entre ses serres et saboterait un film destiné à donner une information plus juste sur l’avortement, sujet dont la gauche refuse le moindre débat, dans sa logique de haine et de mort :

« Après avoir été l’arrêté célèbre qui ouvrit la porte à la légalisation de l’avortement aux États-Unis, « Roe v. Wade » est aujourd’hui un film, réalisé par le producteur Nick Loeb et Cathy Allyn. Tourné jusque-là en secret, parfois sous un faux titre pour éviter les bâtons dans les roues, le film essuie à présent les pires ennuis et fait face à une opposition de plus en plus intense, depuis que la perspective pro-vie en a été révélée. Certains de ses acteurs ou de ses techniciens ont claqué la porte, surpris et furieux par la perspective qu’ils découvraient. Et pourtant, Nick Loeb a choisi de montrer les choses telles qu’elles se sont vraiment déroulées. « C’est un film de guerre sociale où nous prenons les deux côtés de l’argument et nous espérons laisser le public décider. » Il sera sur les écrans en 2019.
Ce film de 6,5 millions de dollars, financé indépendamment, veut offrir une histoire équilibrée sur l’affaire de l’avortement, telle qu’elle a été menée aux États-Unis, loin de l’officielle qui a pignon sur rue depuis 45 ans. Nick Loeb et Cathy Allyn ont travaillé sur les sources originelles, transcriptions d’audiences, entrevues, lettres, et discours, qui fournissent environ 50 % du dialogue.
« Plus je lisais à ce sujet, plus je pensais à un film sur une conspiration dans le genre de JFK » a dit Loeb. « J’ai été confronté à des théories du complot, des fausses nouvelles, des statistiques inventées ; beaucoup de gens ont changé leur position de pro-choix à pro-vie, y compris Norma ». Norma McCorvey, alias « Jane Roe », la jeune femme qui fut à l’origine de cet arrêt si controversé et qui devint, par la suite, une fervente opposante à l’avortement, convertie au catholicisme…
« » Roe v. Wade » est l’histoire inédite de la façon dont les gens ont menti, dont les médias ont menti, dont les tribunaux ont été manipulés pour adopter une loi qui a tué plus de 60 millions d’Américains ».
Et on ne le fait pas sans risques. Pour protéger les débuts du tournage dans le secteur de la Nouvelle-Orléans, peu d’éléments en ont été dévoilés, même aux acteurs ou à l’équipe du tournage. Loeb et Allyn sont allés jusqu’à prendre un autre titre pour préserver leurs lieux de tournage. La production se révèle un défi permanent. De ce côté-ci de la barrière, l’engagement ne passe pas, surtout à Hollywood – la participation vaut complicité. Y jouent bien des stars conservatrices comme Jon Voight, Robert Davi et Stacey Dash. « La moitié du casting est pro-vie et la moitié des investisseurs dans le film sont pro-vie » a déclaré Nick Loeb. Mais d’autres penchaient à l’opposé et beaucoup d’entre eux sont partis sans coup férir, comme il l’a rapporté au Hollywood Reporter. Une électricienne l’a violemment pris à parti, jetant son casque sur le sol, avant de quitter le plateau. « Nous avons dû remplacer trois acteurs locaux, dont un qui devait jouer Norma McCorvey, alors même qu’elle avait supplié pour avoir le rôle » ! Et l’Université de l’État de Louisiane est revenue sur son autorisation de filmer sur leur campus, quand le journal universitaire a déclaré que le projet était pro-vie… Même Facebook s’y est mis en bloquant une campagne de fonds sur la page du film ! « Le fait que nous révélions la vérité derrière le mouvement [pro-choix] dérange la gauche » – la gauche et la droite molle, un bel et large spectre ! Dans une bande annonce du film, Nick Loeb n’a pas hésité à faire apparaître Alveda King, nièce du révérend Martin Luther King et l’un des producteurs exécutifs du film, disant cette vérité qui n’est jamais audible par le politiquement correct : « L’avortement est le premier tueur d’Afro-Américains aux États-Unis ».
Pour Nick Loeb, la sortie du film est particulièrement pertinente, à l’heure où le retrait imminent du juge de la Cour Suprême Anthony Kennedy (qui a annoncé sa retraite le 27 juin dernier) donne à Trump une occasion inespérée de nominer un juge pro-vie – qui pourrait renverser l’arrêt Roe v. Wade. Peut-être même, selon ses réalisateurs, que le message du film pourrait avoir une influence positive en la matière. Quoiqu’il en soit, disait Loeb au Hollywood Reporter, « C’est l’une des décisions politiques les plus controversées de l’histoire. Elle nous divise et nous met mal à l’aise. » Il fallait rétablir la vérité – salutaire entreprise. »

Complétons les informations données par nos confrères avec d’autres issues de nos fichiers. Le réalisateur, Nicholas « Nick » Mears Loeb n’est pas le premier clampin venu mais le rejeton de quelques unes des plus puissantes familles israélites des Etats-Unis.  Son oncle n’est autre que le magnat de l’alcool et président du Congrès Juif Mondial Edgar Miles Bronfman Sr, aux sympathies prosoviétiques notoires.  Son grand-père, John Langeloth Loeb Sr, est lié à la fois à la banque Kuhn & Loeb et à la banque Lehman Brothers : en effet, Salomon Loeb a épousé Fanny, la sœur d’Abraham Kuhn. De leur union, est née Therese, mariée à Jacob Schiff et belle-mère de Felix Moritz Warburg, Une autre fille Loeb, Nina, épousa Paul Moritz Warburg. Une troisième fille, Guta, épousa le banquier Isaac Newton Seligman et eut pour gendre Salomon Adolph Lewinson, fils du trisaïeul de Nick Loeb. Les Lewinson-Loeb entrèrent ensuite dans le clan Lehman de par l’union de John Langeloth Loeb Sr avec Frances Lehman, petite-fille du patriarche Abraham Lehman et donc cousine de Henry Morgenthau Jr, le chantre du génocide allemand en 1945. C’est ce qu’on appelle une famille en or. La position de Nick Loeb est curieuse, mais après tout, les Borgia ont bien terminé par un saint.  Je ne m’avancerais pas dans des considérations qui pourraient être interprétées comme conspirationnistes sur les motivations de Loeb, mais on ne m’empêchera pas d’y voir un signe d’une probable réélection de Donald John Trump, avec Loeb jouant là-bas le rôle d’un Zemmour, d’un Finkielkraut, d’une Lévy ou d’un Deutsch.

Hristo XIEP

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