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Un député nationaliste belge condamné à 1 an de prison ferme pour des propos privés

Dries Van Langenhove, ex-député du parti Vlaams Belang de Belgique, a été condamné mardi à un an de prison ferme pour des propos jugés ‘racistes’ tenus par des tiers sur un groupe privé qu’il gérait
Dries Van Langenhove, ex-député du parti Vlaams Belang de Belgique, a été condamné mardi à un an de prison ferme pour des propos jugés ‘racistes’ tenus par des tiers sur un groupe privé qu’il gérait

Dries Van Langenhove, ex-député du parti Vlaams Belang de Belgique, a été condamné mardi à un an de prison ferme pour infraction à la loi sur le racisme et le négationnisme par le tribunal correctionnel de Gand, pour des propos jugés ‘racistes’ tenus par des tiers sur un groupe privé qu’il gérait.

En Belgique, des propos jugés ‘racistes’ et tenus par d’autres peuvent vous envoyer en prison

La censure et la « mise à mort » sociale et politique s’accentue dans tous les pays européens contre les dissidents à l’idéologie du politiquement correct en tous domaines.

En Belgique, des propos propos jugés ‘racistes’ tenus par des tiers sur un groupe privé peuvent envoyer le gérant du groupe en prison et le déchoir des ses droits civiques pendant 10 ans. C’est la mauvaise expérience que vient de connaître l’ex-député du parti Vlaams Belang Dries Van Langenhove.

Il a été condamné à un an de prison ferme pour infraction à la loi sur le racisme et le négationnisme par le tribunal correctionnel de Gand. Il a également été condamné à 10 mois de détention avec sursis pour violation de la loi sur la détention d’armes, à une interdiction d’exercer ses droits civils pendant 10 ans et à une amende.

En marche vers le totalitarisme

Cependant l’histoire est un peu plus compliquée et la condamnation arbitraire. Sur X, Dries Van Langenhove revient sur cette affaire en réponse à une question que lui pose Elon Musk :

« J’ai fondé @schildnvrienden, le mouvement politique de jeunesse le plus grand et le plus influent de Belgique, en 2017. Il a été banni de Twitter quelque temps plus tard, sans raison. Nous avions (prétendument) un groupe FB avec 900 activistes et un chat Discord avec plusieurs centaines d’utilisateurs et dans l’un des groupes, quelqu’un a dit « postez votre mème le plus audacieux ». Les mèmes audacieux mentionnés ci-dessus ont été publiés sur ce fil. Un sujet auquel je n’ai pas participé. Aujourd’hui, 7 ans plus tard, je suis le principal militant nationaliste en Belgique et aux Pays-Bas et je suis lié au parti qui remportera les prochaines élections en Belgique. Le régime veut nous fermer, alors il utilise des mèmes postés par d’autres il y a 7 ans pour me mettre en prison. »

Et il ajoute :

« Même si le juge (et les médias) ont admis que je n’avais jamais envoyé aucun de ces mèmes, il a fait valoir que j’aurais dû faire davantage pour empêcher les autres de les envoyer et il a qualifié ces mèmes de « discours de haine », ce qui est un délit punissable en Belgique. »

Une telle condamnation est générée pour faire des exemples, créer la peur, faire taire les voix dissidentes, obliger la population à s’auto-censurer, à se tenir dans les clous, à être obéissante envers un pouvoir soi-disant démocratique devenu tout puissant.

Ne nous y trompons pas, la dérive vers des régimes totalitaires en Europe s’accentue.

Francesca de Villasmundo

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